Comme beaucoup parmi nous, les commentateurs, la lecture de cet article a été insupportable. Pourtant, il faut remercier Joseph Confavreux, car son "compte-rendu"..- revue d'une presse que je ne lis ni n'écoute - m'a médusé. Me trouvant inculte devant tant de médisance et de médiocrité ... qu'auraient dit nos grands maïtres.
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Boileau : C'est un méchant métier que celui de médire. À l'auteur qui l'embrasse, il est toujours fatal. Le mal qu'on dit d'autrui ne produit que du mal. Les médiocres sont légion- dans l'art dangereux de rimer et d'écrire. Il n'est point de degré du médiocre au pire.
Molère : Contre la médisance il n'est point de rempart. À tous les sots discours, n'ayons donc nul égard. Efforçons de vivre avec toute innocence. Et laissons aux causeurs une pleine licence.
La Bruyère : Je définis ainsi la médisance : une pente secrête de l'âme à penser mal de tous les hommes, laquelle se manifeste par les paroles.
Dont acte !
Salut et Fraternité
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