Entre le patron de presse qui revendique , pour son journal, " une conception de la liberté de la presse et de l'indépendance du journalisme, " peut-être y a-t-il une certaine idée de la liberté revendiquée par le lecteur - abonné de surcroît - qui se retrouve , comme le salarié est libre de travailler, en échange de l'argent des capitalistes. Ces derniers se concurrençant, au risque de disparaître.
Les limites de la liberté de l'éditorialiste, et celles du lecteur, pour être compatibles, doivent-elles être complices. Ou convient-il de défendre la liberté contre ses excès , imaginée au nom de la démocratie.
Salut et Fraternité.
ALLEZ SAVOIR.