S'ouvrir à l'amour, avec une grande facilité, c'est dans la nature féminine. N'est-elle pas toujours inquiète de "ce que les autres allaient penser". Tout en essayant de résoudre, elle-même, ce qui correspond à ses rêves, en regrettant - en se plaignant - même, que les conditions idéales ne se présentent jamais, ou qu'elle ne les trouve pas. Elle est, comme beaucoup d'autres, amenée à se surprendre à prier, - on ne sait qui -, pour que ses voeux se réalisent : trouver un maître - pardon - un homme parfait.
À une jeune fille de 19 / 20 ans, qui, tout à coup, sans que rien ne le laissait pressentir, décide d'arrêter ses études et de quitter la fac, à la question traditionnelle : " Mais qu'est-ce que tu vas faire, sans diplôme ". La réponse fut très féminine : " Je vais me marier et avoir un enfant ".
Certes, dira-t-on, nombreuses sont les femme mariées qui ont un emploi. La plus heureuse est celle qui a un emploi, un mari, et un enfant. Une autre, travaillant et formant un couple heureux, aimant, mais qui n'enfante pas; d'abord surprise, puis inquiète, et enfin, elle et lui envisageant l'adoption; et découvrant les affres causées pas l'Administration, d'où la recherche de l'enfant à aimer, à l'Étranger.
Élever un enfant n'est-il pas preuve de l'amour que peut donner, se donner, le couple femme-homme, vivant ensemble, avec ou sans les règles édictées par la société, hors la loi, hors religion, tout simplement - disons naturellement - comme des êtres humains, comme vit la nature, les arbres, les animaux, les poissons, les insectes...et les oiseaux. Alléluia.
Et puis, lorsque les circonstances - qu'il n'y a pas lieu de décrire , ni de commenter ici - font que les couples se séparent, divorcent, et que vient la question cruciale de la garde des enfants, donc de leur résidence alternée, il restera toujours que la femme aimera garder l'enfant qu'elle a mis au monde, et que l'homme, quel que soit le cas , gardera, ponctuellement, l'enfant qu'une femme a mis au monde.
Sans perdre de vue, aussi, que la femme , mère célibataire, ou veuve avec un enfant, sera heureuse de trouver l'homme qui l'accueillera, dans le mariage ou non, et qui la chérira en élevant son enfant.
Quant aux couples qui se séparent, c'est parfois dans leur esprit : par amour. Mais là, çà ne se dit , ni se voit pas toujours.
Salut et Fraternité.
ALLEZ SAVOIR.