Dans une élection récente, non seulement les votes blancs ont été décomptés avec les nuls, donc considérés, arbitrairement, comme non exprimés, mais, de surcroît, - ( doit-on dire comme d'habitude ) - le pourcentage d'abstentions est si élévé - plus de 75 % - que le résultat est faussé, l'Élu ne représente, en réalité, que 13% des inscrits.
Peut-on légitimement penser que, si tous les inscrits s'abstenaient - sauf le candidat , bien entendu - celui-ci serait élu d'une seule voix, la sienne.
Et là, bien sûr, toutes les voix s'élèveraient, pour crier à la dictature, le premier décret pris par l'Élu étant de supprimer, non seulement le droit de vote, mais la ctoyenneté - donc la perte de tout ce qui y est rattaché - à tous les abstentionnistes.
Tous crièrent à la révolution. Ils firent donc un tour complet sur eux mêmes...et revinrent au point de départ.
C'est alors qu'ils réclamèrent, à cors et à cris, la légalisation du vote blanc comme exprimé, afin de permettre l'exclusion du ( ou des ) candidat indésirable. D'autant, ajoutèrent-ils, que la Justice a jugé, et puni, les actes de certains d'entre eux.
Le mandat impératif est-il justifié. Doit-il être rétabli , À tous les citoyens d'en décider, tous ensemble...sans armes...dans les urnes. Pour ne pas crier: " aux larmes ! citoyens. Faut-il rire ou pleurer, fiction ou utopie..
Allez savoir.