Le plus beau, car le moins logique c'est d'annuler les festivités tout en se portant candidat à l'organisation des jo au moment même où l'ex juge Trévédic affirme qu'on en a encore pour plus de dix ans.
Christian Seignobos se livre à une remarquable analyse des raisons du soutien de populations à Boko Haram:
«Boko Haram, c’est aussi l’expression d’un communautarisme»
une population riveraine du lac tchad, les Buduma ou Yedima, s'est vue déposséder de sa place centrale dans le commerce et les trafics transfrontaliers par les haoussa venus des villes et soutenus par le pouvoir central, d'où leur ralliement à la cause de Boko-Haram.
Science de l'égalité et mensonge de propagande.
Quand le Conseil constitutionnel fait un appel du pied pour des QPC visant à invalider la loi travail, la gauche de la gauche part en vacances et se met aux abonnés absents, Mélenchon compris, ça ne concerne en effet que les travailleurs. C'est carrément honteux de voir que les seuls QPC déposées l'ont été par la droite au profit du patronat.
Selon le premier ministre, le Conseil constitutionnel « valide » l’article le plus critiqué par les opposants syndicaux et de gauche, qui consacre la primauté de l’accord d’entreprise sur la convention de branche en matière de durée du travail.
Or, le Conseil constitutionnel ne s’est prononcé ni sur ce point ni sur les autres mesures clés du texte (licenciements économiques, accords « offensifs » pour l’emploi, référendum d’entreprise...), précisant même que ces articles pourraient « faire l’objet de questions prioritaires de constitutionnalité » (QPC).
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2016/08/04/le-conseil-constitutionnel-censure-partiellement-le-texte-de-la-loi-travail_4978570_823448.html#CCuD2i7ILmrBXcRS.99
Je parierai que dans l'attente des présidentielles, les politiques vont préférer surfer sur la contestation idéologique que d'utiliser les recours pratiques vis à vis d'une loi qui établit pourtant deux types de traitement selon que votre entreprise a un syndicat ou non, itou pour les heures supp avec cette inconstitutionnalité évidente de ne pas toucher à celles des routiers.
Faites confiance en vos hommes politiques, la légende veut qu'ils n'aient aucun intérêt à vous faire croire que la réalité n'est pas ce qu'elle est.
Ordinateur semi quantique de Google, à ce jour il est capable de faire aussi bien qu'un grand calculateur doté d'algoritmes performants même si la stabilisation du système n'est pas encore optimale, dernier exemple sur ce qu'il est capable de faire en méthode combinatoire, seul domaine où il excelle (recherche de la meilleure solution possible parmi un très grand nombre), l'optimisation de la trajectoire de sondes spatiales afin de visiter plusieurs planètes
1.000 variables imbriquées
Ce n'est pas un ordinateur universel mais un calculateur très performant et surtout potentiellement beaucoup plus performant pour tout ce qui concerne les domaines d'optimisation (aérodynamique, hydrodynamique, sidérurgie, recherche dans une banque de données etc...) où les bornes limites sont connues. et modélisables.
En bref à ce qu'il me semble c'est un retour aux calculateurs stochastiques des années 1970 et ses méthodes de programmation, qui fut détrôné par le microprocesseur pour des questions de prix de revient et de vitesse.
L'application la plus notable jusqu'à présent me semble être dans les tests d'optimisation mathématiques et leurs dérivés algorithmiques suscités par ces expériences, ce qui renouvelle les recherches en optimisation combinatoire.
Les grincheux en soulignent les limites, les optimistes le potentiel, mais sur le seul domaine de l'optimisation posséder un tel outil avec de telles capacités c'est se donner un moyen de domination concurrentielle, sur le plan militaire et civil et comme par hasard l'on trouve les grincheux du côté de ceux qui n'y ont pas accès et les enthousiastes du côté de ceux qui on fait progresser son fonctionnement depuis cinq ans.
Ce qui permet de garder du sens critique.
Lorsqu'on saura capter en temps réel ou légèrement différé les états quantiques de photons, l'on saura à coup sûr envoyer le traitement et le suspendre en fonction de ces états, à moins que des outils probabilistes ne viennent remettre dans la boucle les parties de traitement affectées par la décohérence.
Mais il est à noter de la tectonique des plaques aux réseaux neuronaux, que la communauté scientifique a démontré leur inannité, jusqu'à ce que des individus scientifiques eux aussi fassent la démonstration irréfutable du contraire.
C'est ce qu'on appelle une technologie de rupture, semblable au passage des ordinateurs à lampe au microprocesseur.
L'ordinateur fluidifique.
En matière de curiosité scientifique un autre type de calculateur, enfin ainsi appelé, qui a comme mérite de procéder tout comme l'ordinateur quantique d'une révolution dans la manière de procéder à une analyse de problème, il s'agit de l'ordinateur fluidifique. qui analyse en temps réel les caractéristique de tout fluide passant dans ses arcanes, sa conception permet d'être l'éprouvette et l'outil d'analyse en temps réel, la chimie et la biologie étant les premières concernées.
Ca fleure "bon" l' invention d'automatisation bien française destinée à faire face à la disette budgétaire qui limite l'emploi de laborantins. Que voulez vous l'évolution toujours les lois de l'évolution. On n'a pas de pétrole mais on a des idées et pein de chômage qui va avec.
Dans les deux cas la rupture est autant sociale que technique, le niveau atteint dans le traitement automatisé de l'information excluant le technicien supérieur et le réservant aux ingénieurs et surdiplômés de pointe de chaque discipline, math, physique, chimie.
