c'est scandaleux, la france est en guerre, ceux qui se déclarent comme ennemis sont au mieux en liberté avec un bracelet électronique, sauf que comme a dit le dernier, l'égorgeur, empêché de partir en syrie, si je ne peux pas combattre en Syrie je me ferai une église ici. Ils sont en conflit contre tous ceux qui n'ont pas leur vision du monde et l'on les laisse s'organiser, palabrer entrre eux, sans jamais les arrêter avant le passage à l'acte.
Il faut que ça cesse, ce sont nos ennemis, ils veulent casser nos sociétés cosmopolites qui vivent du désir de vivre ensemble quelque soit les origines ethniques, cultuelles ou culturelles des citoyens. Leur désir d'aller combattre là bas pour s'en prendre aux irakiens et aux syriens pas d'accord avec leur vision du monde est un marqueur suffisant, vouloir s'en prendre aux citoyens de là bas c'est vouloir s'en prendre aux citoyens d'ici. Des mesures drastiques de protection de la population contre cette minorité asassine doivent être prises préventivement. Nous sommes en guerre et ils se sont déclarés nos ennemis. Le pouvoir politique qui trouve normal de balancer là bas aux mêmes des bombes au risque d'atteindre des innocents préfère jusqu'à présent exposer ici la population que de nous protéger contre un ennemi clairement identifié.
C'est un principe largement admis qu'il faut des mesures de droit à la hauteur de la dangerosité des individus mais l'erreur face à l'extraordinaire confrontation à ces potentiels meurtiers de masse est de laissser son application à à l'appréciation des magistrats qui ont pour formation initiale bien ancrée en eux sur les affaires courantes et heureusement qu'il est toujours préférable pour la paix sociale de donner sa chance in fine à un citoyen pénalement répréhensible que de l'envoyer se désespérer et moisir voir se durcir en prison.
Face à ceux et seulement ceux là qui se déclarent nos ennemis et dont les meurtres de masse de nos concitoyens sont la réification de leurs convictions, les empêcher d'aller au bout de leurs convictions et de passer à l'action, c'est les protéger autant nous mêmes qu'eux précisémment, comme on dit ce sont quand même nos frères.
Ce que visent nos gouvernants en évitant non pas de changer la nature de la république mais en lui donnnat les moyens de la protéger c'est de sauver une certaine image de la gauche quitte à ce que des citoyens français en meurent.
Ce président d'image laissera celle d'un Laval: comme lui dans la guerre (contre le terrrorisme) le vaincu doit donner des gages de bonne volonté au vainqueur pour ne pas durcir ses positions. Dur avec les faibles, lâche envers les plus résolus, telle meurt la gauche
Plus de 200 morts à terre, toute religion confondue et un président qui nous parle des principes de droit qu'il ne veut pas restreindre, laissant de facto le monopole de l'indignation réformiste à l'extrême droite, masque honnête parce que protecteur de leur haine communautaire revancharde.
Salauds bien protégés qui font le choix de nous exposer tous.
Peut on être de gauche et vouloir que tous les français, c.ad. toutes le communautés vivent en sécurité en ne s'en prenant qu'aux radicalisés?
C'est toute la question.
En l'abscence de mesures nous pourrons dire ce que nous en pensons lors de la prochaine élection.
D'aucuns iront pleurer sur l'inégalité sociale, le jeune de 18 ans était fils de professeur. D'autres falsifieront l'histoire en disant que c'est notre engagement militaire en irak et en syrie qui en est la conséquence alors que l'intervention française n'est que réaction à leurs exactions.
Le seul point commun récurrent de tous ces assassins est l'abscence de père, le plus souvent avec une déshérence de violence sociale y compris dans les rapports aux femmes, fut ce leurs mères qui tentent de les retenir, vous y ajouter un discours de radicalité à la daesch sur les comptes facebook et vous avez ces soldats qui passent à l'acte de manière aléatoire. On peut donc les profiler, jusqu'à présent ce n'est pas le cas.
NB Ah les cons confondre celui qui a faim tu nourriras, celui qui est nu tu vêtiras avec l'église balayée par la révolution française car trop liée au pouvoir en place, ou trop envahissante dans les rapports sociaux sous la république, confondre donc spiritualité et institution, ces incultes nous plongent au moindre évènement traumatisant dans un obscurantisme niais, nous sommes tous charlie ou nous sommes tous l'église.
PS moi aussi je perds la boussole et pas à cause des évènements, je viens d'enterrer mon beau frère, mon seul ami, qui avait intégré la résilience. Faute d'avoir été aimé comme enfant, son pari fut de se donner la capacité d'aider les jeunes, d'aimer les siens même si ils n'étaient pas de lui, à Arvert le centrre d'aquariophilie, aqua17 destiné aux enfants de l'école va porter son nom.
Ces enfants qu'il promenait dans les îles pour leur faire découvrir les plantes endémiques qui apprenant sa mort en classe ont dit, c'est pas possible il était trop gentil, le maire voulait lui faire la surprise, persuadé qu'il continuerait grace à l'immunothérapie à survivre au point de ne pas avoir préparé du tout adminsitrativement son décès, c'est raté. Il a survécu deux ans dont il a bien profité, juste avant, la nuit d'avant, de participer à la fête des vieux gréments à bord du bateau à voile ostréicole traditionnel qu'il avait avec une association restauré.
Prenez soin des vivants avant qu'ils ne disparaissent.
Moi je pars du travail, le nouveau directeur de l'institut Limayrac a imposé une structuration hiérarchique qui a eu pour effet d'éteindre toute passion dans laquelle puisait chacun pour donner le maximum pour les étudiants. Résilience. La seule préoccupation maintenant en cas de dysfonctionnement est d'ouvrir le parapluie plutôt que de l'analyser pour savoir comment mieux faire, doublé d'un climat malsain par compétition aux primes.
Comme au ministère de l'intérieur, dans les services de renseignements ou dans les rapports policiers gendarmes que ce soit pour intervenir ou prévenir.
Du coup j'arrête, je reprends ma liberté à la fin du mois de septembre, je ne vais quand même pas les lâcher en pleine rentrée et après, justement parce que je suis libre, je serai le seul à connaître de ma décision.
Portez vous bien.
Hasta la vista donc.