Avant propos :
Tout de suite après le patriarcat antiféministe, car il procède directement de lui, la compréhension du fascisme est pour moi le sujet fondamental. Pour moi le fascisme est né au 19ème siècle et pas après la première guerre mondiale.
Comprendre le monde fasciste d'aujourd'hui et le relier au 19ème siècle est nécessaire et suffisant pour s'en sortir. Car cela ne s'est jamais vu, le temps file vers le futur, vers le 23ème siècle, pas vers le 19ème. Donc comprenons d'abord le 19ème ; comprenons ensuite le 20ème comme étant son exacerbation sans vergogne et mondialisé ; pour comprendre que cela ne peut que cesser au 21ème ; et pour que cela ne nous perturbe pas pour rien. Car celui qui comprend n'a plus peur, et s'il n'a plus peur il peut vivre !
Le 19ème siècle est un monde de chimères nécessaire pour noyer le gros poisson qu'est la Révolution française, très présente car beaucoup de contemporains (je pense à Lamartine) vivront beaucoup d'années au 19ème siècle. La Révolution a libéré les énergies et le siècle précédent dit des Lumières va trouver des myriades de génies, de découvreurs des mers surtout, de théoriciens en balistiques et en pompages ainsi que de commerces en tous genres...
C'est ce 19ème siècle qui a créé et recrée encore toutes les injustices, la barbarie, le cannibalisme spirituel pour le moins, le vol des âmes par la destruction des signes et des identités. Il ne s'agit pas que "de ne pas reconnaître" (au sens reconnaissance des formes ou des topiques), mais beaucoup plus grave, tout a été bon à prendre pour lutter contre l'étrange : humiliation, lapidation en bande organisée (on dit tirs croisées administratifs dans la nove langue d'aujourd'hui).
Ma thèse est que cette inhumanité est née dans le Noyau subjectif psychique de la classe noble qui s'est senti spoliée. Elle a été pleurer et a trouvé du réconfort dans l'Eglise sa compagne d'infortune elle aussi spoliée. On va se débrouiller avec la vanité du gueux pour le nommer empereur (vanité, cupidité et convoitise la encore). La suite on la connait mais c'est bien d'avoir un regard neuf.
Introduction : La foudre est tombée sur le 19ème siècle en plein milieu ! et c'est Franklin qui nous en protège depuis
Ce qui m'apparaît évident de partout où je porte le regard sur le 19ème siècle c'est l'apparition de la dramaturgie.
Le roman de geste, l'épopée, les contes et légendes, qui servent de supports cognitifs et symboliques vont progressivement disparaître. Seule la tragédie s'en sortira et c'est normal car la tragédie et la satyre sont les extrêmes du panel de la représentation. La représentation artistique n'a que deux genres, la comédie et la tragédie. Le 19ème siècle va fusionner les deux pour inventer le romantisme. Disons tout de suite qu'il est le père de l’existentialisme au 20ème. Les deux genres, romantisme puis existentialisme sont "nés" pour nous "faire avaler la pilule de la soumission" laquelle, les "bonnes gens", les "gens honnêtes", ceux qui vont à la messe le dimanche et saluent le comte ou le marquis en toute occasion et pour toute matière, l'ont bien constaté, devient de moins en moins volontaire tout au long du siècle.
Derrière les récits de geste se cache toujours la morale ambiante. On n'attendra pas le 20ème siècle pour parler de moraline.
Ainsi la cognition et la symbolique du roman de geste est de fait propagandiste et sert toujours le pouvoir en place qu'il soit laïc ou religieux, du moment où la liberté de la presse n'existe pas bien entendu. Cette liberté ne sera arrachée au pouvoir républicain qu'en 1885 et c'est ce fait politique qui nous placera dans la catégorie des démocraties libérales ^
La tendance libertaire depuis 1789 mûrie tout au long du 19ème et elle va se heurter à des situations diverses mais croisées qui vont obliger les composantes les plus radicales du mouvement révolutionnaire d'origine tout au long du siècle à se manifester par la propagande dite "par le fait". C'est la définition du situationnisme militant aussi appelé injustement anarchisme. Ce ne sont pas les situationnistes qu'il faut analyser mais bien les situations dans lesquelles "On" les place. Ce sont bien ces situations qu'il convient de diagnostiquer, d'analyser, et de garder toujours en tête pour comprendre au 21ème la fin de ce Monde industriel vieux de 200 ans, émanation de l'empire napoléonien par chimères composées sur une relation triangulaire entre eux-mêmes, les royalistes, les futurs fascistes, et l'église de France, déjà raciste ^^
La réaction radicale du fasciste en herbe sera de construire au mieux un homme nouveau. Pour l'heure un Frankenstein, un golem, mais bientôt automatisé, avec le roulement à bille, la roue dentée conique, le bras de levier, l'arbre à came, le vilebrequin, la marmite à vapeur, le théorème d'Archimède, et ces énergies encore magiques mais si prometteuses qu'on ne comprend pas bien mais qui envoient le dernier de cordée à plusieurs mètres (expérience de la bouteille de Leyde connu sous Louis XV au 18ème siècle). Avant la fin du 19ème siècle l'optique, l'électricité (l'action téléguidée) et le magnétisme (l'action radioguidée) seront unifiées. Toutes ces choses seront décortiquées et comprises au 20ème siècle avec les théories quantiques et nucléaires. Métropolis de F. Lang (1927) est déjà "inconsciencisé" au 19ème siècle. Orwell avec 1984 n'est qu'un remake de Métropolis. Nous aurons l'occasion de le redire quand on traitera du 20ème siècle.
Nous sommes donc au 19ème. Se pose dans les esprits des nostalgiques (revanchards on devrait dire) de l'Ancien Régime des tonnes de questions, plus angoissantes les unes que les autres, t qui en amènent d'autres encore plus flippantes.
Comment détruire cette abomination qu'est la révolution ?
Comment détruire cette entité étrange et arrogante qu'est le Citoyen ?
Ces questions hantent les trois esprits : de la royauté, de l'église, de la grande bourgeoisie.
Heureusement que "On" a l'Empire, et cela dès le début du siècle. Pas de temps à perdre ! Le temps c'est de l'argent...
Malheureusement les bonapartistes vont jouer les invités un peu trop lourds, pesants, et finalement trop "étranges" pour ne pas être cupides. Car hélas il est clair que quand on a un marteau comme seul outil on a tendance à terme, à considérer toute chose comme un clou !
Au 19ème siècle il n'y a pas 3 mais 5 classes : les royalistes, les catholiques, la grande bourgeoisie industrielle, les bonapartistes surtout d'origine militaire. Le reste n'est plus le Tiers Etat mais le Cinquième (de) l'Etat. Pour cette portion congrue de la France du 19ème", nos 4 joueurs de belote vont ré-inventer le servage (abolit sur les domaines royaux par Louis XVI en 1789), qui sera poussé en esclavage, pourquoi se gêner et ensuite pourquoi vouloir changer une idée qui rapporte autant d'argent ? Le français moyen, paysan à la base, ne pourra que dire oui, accepter sa condition de misérable travailleur salarié. Cela est réglementé dès 1804.
La fabrique du consentement à l'esclavage se fera par la symbolique impériale. La cour napoléonienne y a succombé hélas...
On va reprendre la tragédie gréco-romaine en genre et en style pour essayer d'effacer l'Anarchie créée par 1789 et surtout exorciser la peur terrible née après la chute de la tête du Roi.
Il m'est donc extrêmement intuitif d'énoncer que le Monde d'aujourd'hui est un avatar chimérique entre royauté et grande bourgeoisie marchande (qui inclut la finance bancaire), et que tout cela se structure au 19ème siècle.
Tout ce qui se passe dans ce siècle va aller au service de l'impérialisme, le seul système capable de concilier aristocratie et bourgeoisie.
Je pose dans ce billet des bases que je compléterai au fil des mes recherches
...
Début de l'essai :
Le 19ème siècle commence par l'Empire napoléonien, et se termine par l'empire colonialiste de la 3ème république.
Impérialisme tout au long du siècle et conséquence : début des luttes sociales.
Les luttes sociales n'émergent que lorsqu'il y a un état impérial répressif.
Tant que la dictature est distrayante et productive le peuple a ses jeux et son pain. Mais dès lors qu'on essaye de "vouloir rentrer dans une église à cheval" on est un empereur, et un empereur c'est un Dieu sur Terre ! Au moins dans son empire.
Le 19ème siècle est un siècle de mutation sociétale et trouvera sa raison d'être (sic) tout au long du 20ème.
C'est le siècle de l'Avènement des grands empires : Truc, Chinois, Japonais, Français, Anglais, Latin, Russe, Tous les états dits modernes veulent un empire. La guerre de 14-18 ne les pas annihilés au contraire ils ont survécu sous d'autres forme : l'empire soviétique...
Les empires sont toujours là au 21ème mais ça tremble pas mal en ce moment : L'empire de la finance est un empire qui peut être territorialisé, suivez mon regard...
Donc la notion d'empire est le Graal de tout candidat au pouvoir. Le rêve l'ami ricain...
Les royalistes et les grands bourgeois anoblis sous le second empire napoléonien, ceux qui ont la petite particule à présent avant leur nom* se sont compromis pour garder le pouvoir, c'est à dire le triptyque : Argent + Armée + Culte. Avec ça on peut : faire des affaires + poursuivre l'esclavage dans la colonisation. L'avantage avec un empereur c'est qu'il satisfait le laïc autant que le religieux, c'est fondamental à comprendre, car c'est de ce poison là dont nous devons nous libérer, pour être libres !
Le 19ème siècle est le siècle de la révolution industrielle, avec migration des paysans vers les villes industrielles où ils seront à peine des ouvriers et bien moins des salariés, sans perspective de développement personnel autre que Tramway-Boulot-Dodo.
Le siècle commence avec la machine à vapeur et la pile Volta et finit avec le moteur à explosion et l'ampoule électrique. Cela peut suffire à un Senna ou un Prost... (le laser, le transistor, Pathé-Marconi, c'est pour le 20ème siècle)
- Apparition de la photographie en 1828, du kinétoscope d'Edison en 1891, puis du Cinéma le bien nommé spectacle, en 1895
- Domestication de l'électricité et compréhension du magnétisme (les ondes hertziennes 1886 = action à distance sans fil), Houdini s'en félicite, comme de leur côté aussi les disciples de Kardec dont les idées se retrouveront dans la construction utopique de Brasilia.
- La presse évolue elle-aussi, elle obtient enfin sa liberté en 1881 après un siècle de luttes incessantes contre la censure autoritaire des pouvoirs.
Pour l'anecdote, elle participe à l'avènement de la bande dessinée avec Pim Pam et Poum**.
L'expression artistique a été le témoin de ce changement sociétal.
Il n'y avait jusqu'alors que deux sortes d'expression artistique : la comédie et la tragédie.
Le 19ème siècle a là encore travaillé, "à l'insu (lire à l'issue) de son plein gré", pour réussir l'amalgame, la chimère, c'est à dire la dramaturgie, le drame.
Au niveau artistique cela donnera un vocable nouveau. Le romantisme est le premier pas vers l'individualisation ontologique. C'est effectivement du Warhol bien avant l'heure. Tout le monde, enfin tous ceux qui le peuvent, les nantis, de toutes sortes, de toutes classes, de tous milieux, nourrit le secret projet de la fortune individuelle. La symbolique ici c'est "la Ruée vers l'or".
Le 19ème siècle c'est la naissance du romantisme, lequel va immédiatement supplanter :
- le classicisme réaliste en peinture (à cause de la photographie), cela ira jusqu'au fauvisme en passant par l'impressionnisme. Ensuite la bande dessinée se basera sur le fauvisme et l'expressionnisme. Le flambeau des contes et légendes sera repris par la BD a partir de Bécassine.
- le classicisme viennois de Beethoven° sera remplacé par la dramaturgie wagnérienne °°.
- le roman en écriture enterrera l'épopée, alors que la poésie se consomme avec déchirure oblige***.
Au niveau des sciences physiques et mathématiques :
L'avènement de l'électromagnétisme avant la fin du siècle assène un coup puissant à la physique classique, pourtant newtonienne. Pour la petite histoire, il faudra l'intervention de Einstein pour réhabiliter cette ancienne physique dès lors rebaptisée mécanique classique, en précisant que cette intervention est anachronique puisqu'elle se fait en 1905.
Ce qui annonce les théories ondulatoires de la matière au siècle suivant est le fait que les mathématiques vont inventer des outils nouveaux qui permettront de courber l'espace et de poser la question de l'existence du temps même. Celui-ci devenant une banale dimension, comme les autres. Les groupes font leur apparition avec le jeune Galois, aussi jeune qu'est le siècle. Les ensembles sont définis comme outil mathématique. On établi l'ensemble des nombres complexes si utile à la description future du Réel atomique et quantique. A la fin du siècle une nomenclature, celle de Peano avec les ensembles, les inclusions, les fonctions, permettra la démocratisation des mathématiques ce qui contribuera au succès de l'éducation nationale de 3ème République.
Hilbert à la toute fin du siècle finira pas circonscrire les infinis et les gradua-lisera, un peu comme le ferait un bouddhiste des anges et des dieux.
Mine de rien, on passe avec Riemann d'un espace quadrillé euclido-cartésien à un espace courbe, avec des parallèles qui se rejoignent à l'infini. Si c'est pas diabolique ça, c'est qu'on n'est pas catho !?
L'action à distance est étudiée sérieusement et Faraday introduit en 1830 la notion "fantomatique", "nébuleuse", de champ d'action. Les mathématiciens en feront des champs vectoriels, et Maxwell formulera cet étrange et nouveau concept physique en 1873 par ses célèbres équations qui n'ont eu de rivale jusqu'à celle de Schrödinger en 1925.
La matérialité du monde se concrétise (pléonasme assumé) dès 1803 avec Dalton qui réhabilite définitivement Épicure et permet à Mendeleïev en 1869, plus chimiste, de classer les atomes, comme "éléments périodiques". Avec le concours de Avogadro et sa loi sur les gaz parfait en 1811, encouragé par Ampère, la théorie atomisme finira par supplanter la pensée positiviste. Thomson l'enterre massivement en réussissant en 1899 à peser non pas le noyau, trop facile, mais l'électron lui même !
En 1899 on sait que l'atome existe, qu'il bipolarité électriquement, on connait ses structures, ses poids et ses diffusions cristallines et gazeuses. On se le représente comme un pouding, mélange compact et pesant d'électrons et de protons (le neutron n'est pas connu) qui s'équilibrent. On peut rire mais c'est sur que la représentation du Monde a bien changé en 1 siècle.
Ainsi la représentation physique du Monde à mutée en 100 ans. En contrepartie, les philosophes n'ont plus la puissance cognitive pour assimiler le feu d'artifice des sciences "modernes"
Au niveau de la pensée le siècle est dominé par deux figures situationnistes :
- l'aspect philosophique de la mort de Dieu annoncée par Zarathoustra
- le monnayage de la valeur du travail édictée par Marx
La sociologie + anthropologie + psychologie vont fonder la structure qui permettra à la pensée humaine de chercher la contradiction dans l'infiniment petit (Darwin, Kelvin, Thomson, Planck, Pasteur, Mendel) et dans la transcendance (Freud)
Introduit en 1893 par Durkheim le terme anomie défini la diminution des moyens traditionnels de contrôle.
Ne pas oublier l'émergence de la métapsychologie avec Freud, qui est une réaction au point précédent trop matérialiste.
Et que l'homme descend à présent du singe avec Darwin
Tout pour à présent pouvoir rire de la prétendue supériorité des aristocrates. Car ceux-ci le savent, ils ne sont plus à la hauteur.
Il faut poser un repère ici car je pense que c'est précisément à cet endroit que naît le fasciste. C'est là que je vais creuser...
Les uns inventent donc le fascisme, la nationalité, l'identité nationale, l'éducation nationale, alors que les autres vont vers la patrie comme réunion des tous les pays de France, inventent le communautarisme et le collectivisme. les premières inventions seront bien exploitées et appliquées en masse au 20ème siècle : le siècle des mondialisations des conflits !
A Suivre...
PS : il me vient des idées qui m'apparaissent pertinentes en écrivant ce billet, je ne veux pas les perdre et je veux aussi pouvoir les rattacher à leur émergence, c'est pourquoi je pose ici ces nota bene.
- NB 1 pour mémo : au 21ème siècle La vision de Warhol était la bonne. La seule. Pas celle de Dali, encore moins celle de Picasso. Duchamp est plutôt un nihiliste, en ce sens c'est un escroc et je suis sur qu'il me comprendra, c'est un punk avant l'heure. Kandisky m'apparaît être un des seuls à comprendre la mutation à venir (la physique quantique).
- NDA 2 pour mémo : La 4D c'est que tout le monde est le Monde avec son smartphone.
Renvois :
* Ainsi monsieur Dupont qui vit près du pont deviendra Monsieur "de Pont", monsieur Laroche qui vit sur son rocher deviendra Monsieur "de Laroche", et madame du Mur de la Ville, qui vit au pied des remparts de la ville ou dont peut-être un aïeul a participé à la construction de la muraille, lorsqu'elle se mariera avec le monsieur du Pont, aura des enfants qu'elle fera baptiser "du Pont de Murville". Pour les curieux l'abbé qui baptise s'appelle Jean-Jacques, ni Paul ni Pierre... C'est comme cela que ça se passe dans le monde merveilleux d'Edouard Bern.
** 1997 pour Pim Pam Poum. Il faudra attendre 1905 pour voir apparaître Bécassine
*** je pense à Baudelaire, Musset, Rimbaud, Verlaine... Tous des déchirés
° né à Bonn le 16 décembre 1770 et mort à Vienne le 26 mars 1827
°° né à Leipzig le 22 mai 1813 à Leipzig et mort le 13 février 1883 à Venise
^ démocratie, chacun connaît la traduction en grec ancien. Mais on oublie que démocratie veut dire liberté individuelle, et en premier, avant celle d'entreprendre, celle de prendre un tonneau, pourquoi un tonneau, de monter dessus et de parler, en place publique. C'est à dire que le stationnement est un acte démocratique (les sittings de certaines manifestations pacifiques en sont en bon exemple). L droit de stationner a par la suite et par le pouvoir d'alors, été mué en obligation de circuler (et ça c'est à cause de la structure politique du monde du moteur à explosion qui a évincé le cheval au profit de la voiture consommatrice de matériaux fossiles qu'on peut facilement et sans vergogne arracher et voler aux territoires pré-existants).
Démocratie libérale veut dire régime qui garanti non seulement la liberté individuelle mais aussi la liberté de la presse. C'est donc que l'écrit, qui reste et ceci explique cela, à le même 'droit de cité" c'est le cas de le dire, que l'oralité du professeur, celui qui professe. La liberté de la presse s'arrache en 1985, alors que l'imprimerie est inventée depuis 1450.
^^ si vous parlez à mon ami Pierrot qui est portier de nuit au Roxy Hotel Club, il vous confirmera cela : "les Croisades, la Barthélémy, la Shoah, sont les résultats d'un même processus".