Ma réflexion à un commentaire sur le blog de Juan Branco initié il y a deux semaines. (ref : https://www.youtube.com/channel/UCMOrzCo7Jdp6qqEX24CXuog/community )
Quelqu'un ici a commenté ceci (txt copié-collé) ""Il y a trois choses qui détournement l'homme du chemin de la vertu : honneur, lubricité et richesse (Spinoza) . On peut instaurer n'importe quel système si l'humain ne change pas alors ça recommencera!""
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... ? ... ... ?..?... ça fait réfléchir grave... ... hm, voyons voir disait l'aveugle à son pote qui était sourd... hm, ça marche pas pareil dans l'autre sens : voyons voir disait le sourd à son pote qui était aveugle... Putain de complexe !
Spinoza ? d'aucuns pensent qu'il est l'antésite pardon, l'anticipe (passé) pardon, l'an-disciple, l'indicible, enfin l'antéchrist quoi ! A chacun ses symboles...
Spinoza ? je suis pas sur qu'il pense à l'honneur mais plutôt à l'orgueil, ni à l'hubris mais plutôt à la démesure que peut engendrer les impatiences et autre 'Hurry Deep' (hâte profonde). Pour la richesse je suis d'accord, mais j'enlève celle du coeur.
L'homme ne change pas depuis qu'il est homme. Il ne souffre que de la violence de la nature en Vérité et a besoin de son semblable pour la joie du partage des douceurs qu'il arrive à dispenser, gratuitement. Les égoïstes, profiteurs, jaloux, et autres exploiteurs et régisseurs des malheurs qui sont au Monde ne répondent pas à ce critère. Ils ne souffrent plus car ils ont appris à sublimer leur souffrances en plaisir par inversion des valeurs et ils se confessent à eux-mêmes, lorsqu'ils le peuvent, que la souffrance de l'autre leur permet de supporter voire de jouir de la leur. Ceci n'est pas humain.
Une évidence : la révolution à été sociale en 1968, mais la société est toujours celle héritée de la guerre de 39-45. Vous êtes les petits enfants de 68. La Nature transmet l'info à chaque génération mais l'expression phénotypique peut attendre une génération avant de s'exprimer à nouveau. Nous sommes les récessifs, et ne s'expriment au monde que les dominants lesquels oppriment donc les récessifs. Chez l'homme, deux récessifs deviennent expressifs. Les progressistes parlent d'évolution et les réactionnaires de décadence. Matrice anarcho-fasciste... Le Tout c'est le chemin et non le but, car ce dernier n'est jamais l'expression finale de l'intégrale du chemin parcouru pour y arriver. Hélas oui, l'homme ne change pas et ses martyres non plus.
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