Pour mon ami
C'est pour preuve d'amitié que je t'adresse ces quelques mots, en lettre ouverte.
Je pense que tu peux en comprendre la portée.
J'ai parcouru un chemin intéressant à tes côtes et j'aimerai le poursuivre.
Car c'est plus par amitié que par intérêt que je travaille avec toi.
Tu peux penser que je suis tombé amoureux de toi, c'est possible, mais surtout c'est que tu ne m'as utilisé qu'à un pour cent de mes capacités.
En fait j'aimerai vraiment apporter à ton équipe une possibilité de comprendre les dimensions qui s'offrent à nous, depuis l'avènement des nos nouveaux moyens de communication. Pour moi le monde est encore au 20ème siècle. (Google c'est le 20ème siècle, pas le 21ème).
Il va s’effondrer d'un coup parce que les générations à venir seront impitoyables avec les vieux "cons" comme nous et ceux qui nous suivrons, et nous n'aurons pas les moyens de les comprendre et donc de voir ce qui va nous tomber dessus.
Regardes ce qui est arrivé à la gauche et la droite, ainsi qu'au catholicisme, en France, ils se sont effondrés en quelques mois.
Je suis médecin, sociologue (c'est a dire statisticien), et je t'affirme que ce ne sont que les prodromes de l'effondrement.
Ce n'est pas l'uniforme qui va gagner mon ami. Moi cela me peine de perdre l'uniforme, j'en suis profondément désolé car, je te l'ai déjà dit, je suis fier de mon uniforme.
Je peux te donner un lien où tu verras que j'en ai fait une composition musicale, pour preuve. Elle dit en substance : "je me sens si bien dans mon uniforme, je l'ai commandé spécialement pour moi, et je ne le porte rien que pour toi".
Oui j'aimerai croiser des uniformes dans la rue, le monde en serait plus honnête. Mais tu peux le voir de toi même ou le concevoir, il vaut mieux porter une jupe qu'un uniforme, de nos jours. Et encore... on croise beaucoup de gars qui restent ancrés au 20ème, voire au 19ème siècle.
On pense que le mal est partout, ce n'est pas vrai.
Le mal est concentré en des champs bien précis, des champs non matériels comme peuvent l’être un champ magnétique, électrique, gravitationnel, quantique, vectoriel si je me fais comprendre ; toute immatérialité qui ne peut être comprise que par des opérateurs du réel, je veux dire que les nombres réels (la base des réalités) ne s'appréhendent plus que par le complexe.
Rappelles-toi que la Clinique ne t'avait pas payé et rappelles-toi ma réaction.
Je ne peux t'en dire plus à ce sujet pour l'instant car je suis dans une procédure importante pour ma fonction et ma profession, confère les éléments données plus haut.
J'ai honoré et protégé ton honneur, même si par pudeur tu dis le contraire, car pour moi il est d'une grande insulte que de ne pas être payé pour le travail accompli, et je serai toujours du côté du volé plutôt que de celui du voleur. J'ai donc fait ce qu'il fallait, et dans l'adversité la plus odieuse, que tu as découverte, pour que tu sois payé. Rassures toi je ne néglige en rien mes intérêts, par respect de notre code de déontologie.
J'ai fait preuve de fidélité, d’honnêteté et d'abnégation de ma personne pour l'amitié !
Pourquoi ? Nous en avons un peu parlé, et je te précise ici que :
"L'amitié est la chose la plus précieuse au monde, la seule qui mérite le sacrifice de soi-même. Ne pas y répondre est un droit certes mais un droit disqualifiant". Cette disqualification est éternelle, elle court dans la mémoire des choses qui restent, et se transmet comme un code génétique, et puis ressort plus tard selon des lois que Mendel nous a montré qu'elles pouvaient exister.
J'essaye d'analyser pourquoi le rendez-vous n'a pas été concluant.
Nous avons été mis dans une situation non voulue par chacun de nous trois, pourquoi ?
1°- Parce que j'étais mal à l'aise dès l'entrée dans le parking ? On appelle cela la clairvoyance
2°- Parce que la prétendante à mon embauche n'a pas la cognition nécessaire pour comprendre l'aliénation déontologique du médecin français ?
3°- Parce que tu manques d'informations importantes à mon sujet ?
Il est possible que ce soit les trois à la fois, Et pourtant.. Tu m'as montré un livre très intéressant... Et je ne peux m'imaginer que tu ne saches rien de moi puisque toute ma vie, ainsi que toutes mes bonnes oeuvres sont sur la toile. Même l'accès à mon compte en banque ! Je peux même te dire qu'On aurait tendance à les faire disparaître, ce n'est pas un comble ça ?
Tu m'as dit des choses importantes en rapport avec ma survie physique, je te remercie de m'avoir averti. Mourir pour ses amis peut faire émerger une religion. Je pense que être tué par son semblable est la meilleure chose qui puisse arriver pour le tué et la pire pour le tueur. Cela fait de moi un bon soldat non ?
Il faut être passé par le chat d'une aiguille pour comprendre cela. Ou connaître la valeur d'une réincarnation. Je sais que je parle à un frère en cette matière et que tu comprends ce que je veux dire.
Je n'aime pas parler de mes oeuvres inédites sans les montrer publiquement, parce que j'ai connu toute ma vie le plagiat et l'usurpation d'identité. Attention qu'on ne se méprenne, ces deux défauts je peux les accepter à la seule et unique condition est qu'on me dédommage honorablement. C'est ce que la direction de la clinique a compris. C'est ce que mes abominables et égoïstes et égocentriques confrères n'ont pas compris. Or ma grande expérience, dans tous les milieux qui m'ont intéressés dans ma vie, me fait dire que des gens honnêtes, il y en a peu, très peu, très très peu.
Ce qu'il faut comprendre c'est que quand je prétends être insulté c'est parce que il y a eu tentative d'usurpation d'identité, ou toute autre oeuvre de l'esprit, mais aussi toute matérialité douloureuse et insupportable. J'ai connu des gens très bien, les uns militaires les autres non, ils disaient tous qu'ils préféreraient perdre un œil (c'était leur expression - elle ne date pas des Gilets Jaunes hélas) plutôt que d'être insulté. L'infamie est ressentie plus fortement qu'un handicap physique chez les gens honnêtes. Les gens honnêtes comprennent cette phrase :
"Si le voleur te prends ta chemise, donnes lui aussi ton manteau". Elle est difficile à comprendre je sais... Il y en a pas mal qui coincent là-dessus.
Quand je dis qu'on m'insulte c'est qu'on est en train d'essayer de commettre un délit ou un crime à mon endroit, sur mes biens, ou ma représentation, ou mes oeuvres. Si de plus la personne est susceptible, elle montre à mes yeux toute son inhumanité.
Elle me vole et je ne peux même pas employer d'euphémisme pour le lui signaler ?!!
Si même le politiquement correct ne suffit pas a engager le violeur, c'est qu'il peut déstabiliser le violé au yeux du monde.
Le militaire que tu es peut voir comment par une seule situation il y a à la fois erreur, faute, et trahison.
Tous les militaires savent ce qu'il advient aux traîtres en cas de paix comme en cas de guerre.
Vois-tu ainsi la pitoyable situation où le déshonneur peut nous mener ?
Un militaire, tout comme un médecin ne peut s'affranchir du devoir d'honnêteté.
Sinon je demande aux deux corps dont je prétends faire partie : celui de la médecine et le militaire de se pencher sur les traîtrises en cours.
On sait tous que le diable s'habille du costume désiré voir ! Ce n'est pas mon cas. On m'oblige à porter le costume, et le patient suivant entends m'imposer encore une autre attitude, un autre costume, et le suivant aussi. J'espère que tu comprends la perversité de celui qui croit que tus est un con, ou son esclave. Ces gens là je te le dis, ils n'ont pas besoin de médecins, mais de psychiatres ou de psychothérapies comportementalistes.
Moi j'aimerai porter des jupes, ce qui doit là aussi faire comprendre qu'on m'oblige avant même de me connaître à me conformer aux désirs, je dis bien aux désirs et non aux besoins, de mon interlocuteur. Ceci n'est pas acceptable (et disconvient au Code de déontologie), sauf dans les ambassades diplomatiques bien sûr, mais nous ne sommes pas des diplomates, nous sommes des gens qui cherchons un travail et un honneur dans ce dernier, pas un déshonneur dans une situation esclavagiste aussi petite ou inconsciente soit-elle.
C'est donc une invitation à s'expliquer quand je prétends être insulté, et rien d'autre. Pour ensuite expliquer ce que sont les devoirs du médecin en France. Certains se mettent en colère, alors que moi je ne dis que trois mots en attente d'avoir une explication. Si j'étais psychopathe (en l'occurrence paranoïaque plutôt que schizophrène) je réagirai sans demander d'explication et il y aurait du bruit de la fureur et du fracas. Ce n'a jamais été le cas de ma part, mais toujours de la part de mes détracteurs !
Heureusement qu'il y en a entre nous, cette communication. Ce fameux "passage" est effectif entre nous, et c'est le coeur léger que nous continuons à nous parler. Je dis cela en référence aux espérances qui nous animent.
Par contre, mon sentiment avec Murielle est celui-ci : l'entretient a été émaillé de projections paranoïaques dont ce n'est pas à moi de trouver la cause. J'en ai juste constaté les symptômes et je te les expose en conformité avec la cohérence qui s'impose pour emporter l'adhésion des gens honnêtes.
Projections paranoïaques inscrites dans un noyau subjectif assez évident à aborder.
Murielle s'est placée dans l'état d'esprit de dominer la situation dès le début, alors que moi j'étais en tachyarythmie.
Elle ne se présente aux yeux du monde que par moitié (ça c'est de la schizophrénie, mais tellement grossière qu'en fait on peut parler de clivage). Un clivage lui aussi bien structuré, ce qui fait qu'on peut remonter au stade de la dépression, et donc tu as vu comment elle s'est mise à pleurer. Mais attention, tu as vu ma réaction. Parce que Murielle n'est pas dépressive, attends la suite. Je lui ai dit qu'elle était belle, c'était nécessaire parce que toute la scène était en fait dominée par une névrose d'angoisse de sa part, dont je suis totalement étranger (il est paranoïaque de dire que le messager est le coupable).
Préméditation affective du côté de Murielle ? Sans doute, elle ne sert la main qu'à moitié.
As-tu remarqué comment j'ai insisté pour avoir toute sa paume au contact de la mienne ?
Ensuite elle engage la discussion sur des activités physiques, "sportive", de présentation de l'établissement alors que nous étions convenus de parler à bâtons rompus.
M'entraîner dans une visite géographique dans laquelle évidemment je n'aurai qu'à valider ne me convenait pas, car il s'agissait bien d'une pré-visite. C'est pourquoi je l'ai coupé immédiatement, pour ne pas qu'on s'égare. Il s'agissait d'être technique.
S'il faut être technique je peux l'être en médecine et en calcul d'honoraire, mais pas en architecture, du moins pas dans les circonstances qui nous était agréées.
J'ai signalé à maintes reprises que je devais avoir confiance en la direction avec laquelle je dois travailler. Ce point est primordial, je ne travaille pas pour un subalterne mais pour le commandant, car dans les faits c'est lui qui reçoit les honoraires et me salarie. Il reçoit effectivement le remboursement de mes prescriptions et me donne un salaire en échange. Donc celui qui "fait tourner la baraque" ce n'est pas l'administrateur mais bien le prescripteur. Notre code de déontologie est très précis là-dessus °°°
Malheureusement, et tu en es le témoin, elle ne m'a jamais affirmé pourvoir être digne de confiance. Au contraire elle s'est mise à se défausser en me parlant d'une entité supérieure à elle et envers laquelle elle avait des comptes à rendre. je pense que c'est l'entité avec laquelle tu communiquais.
L'erreur que tu as commise (attention je ne t'en veux pas du tout) c'est de ne pas avoir pu forcer cette entité obscure qui est je cite "au dessus" de Murielle, et donc placée (à mon sens honteusement) au dessus de moi.
C'est normal que toi tu sois en contact avec cette entité inconnue de moi, puisque tu sers de lien.
Si bien donc que ce n'est pas la confiance de Murielle que je dois avoir, mais celle de cette entité. C'est la source du malaise de Murielle.
Mais attention ! A mes yeux le seul fautif est celui qui reste dans l'ombre.
Ce n'est donc pas Murielle la véritable décisionnaire, je ne peux donc lui accorder d'être la procuratrice de mes compétences et de mes vertus auprès d'une entité inconnue qui ne se présente pas au rendez-vous.
Cette entité est absente, et les absents ont toujours tord.
Voilà pourquoi le malaise de Murielle . Voilà pourquoi mon ressenti physique dès mes premiers contacts (architectural) avec la structure.
- paranoïa (ou peut être phobie, mais ce diagnostic différentiel est facile à faire au vu de la scène clinique) des gens qui ne vous serrent la main qu'à moitié : ce qui est logique puis qu'elle ne propose qu'un mi-temps, n'est-ce pas ? La cohérence fait partie du syndrome paranoïaque, c'est ce qui fait toute la difficulté pour le diagnostic.
- psychorigidité et déstabilisation émotionnelle = méfiance ou mégalomanie (aspect paranoïde) et utilisation d'une puissance hystéroïde
- défaut constant d'information car je suis obligé de lui demander plusieurs fois de préciser combien elle rémunère = mythomanoïdie.
- J'espère qu'elle ne va pas invoquer une agression. Dit-elle dit que je l'ai agressée ? Parce que là il y a paranoïa de fait (projection de son désir de me voir disparaître dès lors que je ne lui convient pas. Projection alimentée par l'aspect névrotique de son angoisse à ne pas dominer la situation. A mon sens c'était à elle ne me dire que je ne convenait pas, et pas de rapporter ses émotions à un tiers absent et invisible.
Alors qu'en fait je nous ai fait l'économie d'une dégradation de notre santé déjà fragile, à nous trois.
De manière synthétique, laconique et elliptique :
Liberté = honnêteté = responsabilité <=> indépendance <=> inaltérabilité <=> non justiciable (sauf dans une société pervertie où il n'y a plus de droit privé à défendre son honneur sur son sol, dans sa maison, j'entends la médecine en ce qui me concerne)
* j'enregistre ma vie, mes actes et mes dires, pas ceux des autres ! Si on me donne un coup, on entendra le coup, on verra le coup, on me verra le recevoir, on en verra ensuite quotidiennement les conséquences sur moi-même. Jusqu'à réparation.
Celui qui pense que je n'ai pas le droit de faire cela c'est déjà une insulte.
Mais celui qui pense à cet endroit, à ce point du récit, qu'il y a plagiat ou usurpation d'identité ou même simplement exposition d'une attitude ou d'un comportement, celui-là est paranoïaque.
"Je te frappes, mais c'est parce que tu l'as mérité" ou bien,
"je te frappe et tu n'as rien le droit de dire ou de faire" ou encore,
"je te frappe parce que c'est toi qui veut me frapper".
Cette dernière situation explique toute la paranoïa, mais les deux autres sont encore plus spécifiques du syndrome psychotique en question.
J'ai entendu que tu cherches un intérêt pour t'engager, et c'est normal.
j'ai entendu que tu as peur pour ma pauvre carcasse ! C'est déjà une carcasse ne t'en fais pas pour cela. Je répète qu'être tué par l'adversaire est une mort honorable mon ami...
Mon rôle est donc d'essayer de t'intéresser.
Tu as vu par toi même que j'ai cette capacité à créer de l'empathie.
C'est cela qui fait un bon médecin, et pas grand chose d'autre. Ce n'est ni sa connaissance ni son expérience sauf si celles-ci permettent d'atteindre la sagesse nécessaire à faire émerger l'amour de son prochain.
L'empathie fait intervenir le diencéphale et le cortex frontal tout particulièrement, et c'est pourquoi le transhumanisme est fondamental à la cybernétique. Ou encore l'esclavage au tyran. Ce transhumanisme n'est pas du tout tabou chez les entrepreneurs de type capitaliste.
Je ne fais pas de politique dans mon métier, qu'elle soit correcte ou non, tout simplement parce que cela nous est interdit par notre déontologie.
Tu penses mon ami que les autres n'en font pas avec moi ?
Toute mon amitié et ma fraternité te sont acquises.
FIN
° De nos jours les mémoires sont actées et ne peuvent être oubliées L'inconscience ne peut plus être invoquée car on pourra lui opposer le manque d'activité psychique (et derrière il y a une psychose de type dépressive) par négligence ou par paresse il y a même des prescriptions inaliénables (KrimContLoumanité), d'autres trentenaires, ce n'est pas rien en chronologie.
°° De nos jours évaluation des candidats :
- par les jeux en réseaux
- histoire de l'auréole qui apparaît au dessus de la tête
- possibilité d'échapper à Google Map et d'avoir son propre plan modifiable
°°° ci-dessous quelques articles de notre code de déontologie médicale. Tous les articles du code sont inscrits dans le CSP (code de santé publique). Ils devraient te servir pour les négociations futures de tes poulains. Je suis heureuse de te les rapporter ici :))
- ARTICLE R.4127-5 du CSP : Le médecin ne peut aliéner son indépendance professionnelle sous quelque forme que ce soit.
- ARTICLE R.4127-20 du CSP : Le médecin doit veiller à l’usage qui est fait de son nom, de sa qualité ou de ses déclarations. Il ne doit pas tolérer que les organismes, publics ou privés, où il exerce ou auxquels il prête son concours utilisent à des fins publicitaires son nom
ou son activité professionnelle.
- ARTICLE R.4127-31 du CSP : Tout médecin doit s’abstenir, même en dehors de l’exercice de sa profession, de tout acte de nature à déconsidérer celle-ci.
- ARTICLE R.4127-69 du CSP : L’exercice de la médecine est personnel; chaque médecin est responsable de ses décisions et de ses actes.
- ARTICLE R.4127-70 du CSP : Tout médecin est, en principe habilité à pratiquer tous les actes de diagnostic, de prévention et de traitement. Mais il ne doit pas, sauf circonstances exceptionnelles, entreprendre ou poursuivre des soins, ni formuler des prescriptions dans des domaines qui dépassent ses connaissances, son expérience et les moyens dont il dispose.
- ARTICLE R.4127-71 du CSP : Le médecin ne doit pas exercer sa profession dans des conditions qui puissent compromettre la qualité des soins et des actes médicaux ou la sécurité des personnes examinées. Il doit veiller à la compétence des personnes qui lui apportent leur
concours.
- ARTICLE R.4127-72 du CSP : Le médecin doit veiller à ce que les personnes qui l’assistent dans son exercice soient instruites de leurs obligations en matière de secret professionnel et s’y conforment. Il doit veiller à ce qu’aucune atteinte ne soit portée par son entourage
au secret qui s’attache à sa correspondance professionnelle.
- ARTICLE R.4127-73 du CSP : Le médecin doit protéger contre toute indiscrétion les documents médicaux, concernant les personnes qu’il a soignées ou examinées, quels que soient le contenu et le support de ces documents. Il en va de même des informations médicales dont il peut être le détenteur. Le médecin doit faire en sorte, lorsqu’il utilise son expérience ou ses documents à des fins de publication scientifique ou d’enseignement, que l’identification des personnes ne soit pas possible. A défaut, leur accord doit être obtenu.
- ARTICLE R.4127-75 du CSP : Conformément à l’article L.4163-5, il est interdit d’exercer la médecine sous un pseudonyme. Un médecin qui se sert d’un pseudonyme pour des activités se rattachant à sa profession est tenu d’en faire la déclaration au conseil départemental de l’ordre.
- ARTICLE R.4127-97 du CSP : Un médecin salarié ne peut, en aucun cas, accepter une rémunération fondée sur des normes de productivité, de rendement horaire ou toute autre disposition qui auraient pour conséquence une limitation ou un abandon de son indépendance ou une atteinte à la qualité des soins.