Borne de départ du 25 août, anniversaire de la Libération de Paris en 1944. Jour de liesse sur les photos des libérés. Extraordinaire jour de communications à tous les niveaux, sur les versants liberté...Ce jour, 25 août 2015, ça fait 71 ans. Aucun point commun pour faire un billet, que je pensais nommer Nouveau cap. En France, si c'est la paix, il n'en va pas de même de par le monde. Et ceci nous préoccupe et nous sépare. Trop, pas assez. Longtemps, longtemps, longtemps...Nous communiquons, mieux que des lions. Et chez MDP ou ailleurs, paresser n'est pas de mise. Ceci n'a peut-être pas trop à voir, avec un simple poème de 2005. Seule raison, le sujet paresse. On en parlait le 24.
L'Homme et la Paresse.
" La paresse capte l'homme, de multiples façons,
" Elle prospère à coup sûr, sans la motivation,
" Et la motivation, elle demeure tout petit,
" L'éducation fournit, des marques pour la vie.
" Heureusement pour ceux, qui sont nés sans personne,
" Viennent d'autres amours, que des êtres leur donnent,
" Et puis parfois le ciel, apporte son soutien,
" Un soutien personnel, ma foi c'est mieux que rien.
" Puisque la vie est là, il nous faut la croquer,
" Agir, bâtir, offrir, parler, crier, chanter,
" Avant que dans un trou, elle ne nous abandonne,
" Nous laissant en paresse, et aussi sans personne.
" La paresse n'est pas belle, mais enfin elle repose,
" Quoiqe ce n'est pas vrai, quand elle devient la cause,
" De l'endormissement, de l'être et de l'esprit,
" Qui l'amène à déchoir, et insulte la vie.
" Ne paraissez pas trop, habités de paresse,
" Mes frères mes compagnons, et faites qu'apparaissent,
" Dans vos yeux sur vos lèvres, les envies de la vie,
" De l'amour jusqu'au bout, vivez je vous en prie.
" Car vivre c'est agir, et agir c'est aimer,
" C'est fabriquer des liens, invisibles effacés,
" Qui fortifient le coeur, en le faisant sourire,
" Oubliant la paresse, jusqu'au jour de partir.
Bernard Lepage.