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Billet de blog 6 juillet 2015

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La gifle de Varoufakis à nos crustacés fossilisés.

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Comment vouliez-vous qu'ils puissent s'entendre, se comprendre, s'apprécier ? Les uns (nos bons politiques) ne sachant rien faire d'autre de leur tête, de leurs bras et de leurs jambes, se cramponnent au bastingage de la bonne soupe gratis, au siège pour la vie, ce siège qu'il croit garanti par le godillisme, la trahison des engagements vis à vis des électeurs, le servilisme à l'égard de la bureaucratie Bruxelloise, du FMI, des banques, des multinationales et des puissants en général. L'autre ( Varoufakis) a un vrai métier qu'il aime, une fierté, un sens de l'honneur et surtout un respect pour ses concitoyens, qu'il n'a jamais été prêt à brader. Il n'est pas cupide, ce qu'il a, ce qu'il gagne lui suffit amplement, il ignore ainsi cette cupidité qui pourrit nos démocraties, il n'a pas besoin de courtiser ces élites méprisables qui nous mènent droit à la catastrophe. Alors, sa mission d'éclairage et de désenfumage terminée, en quelques mois, le Monsieur démissionne et laisse la place. C'est étrange comme on peut regretter un tel homme, alors que la multitude de ceux que nous voudrions voir remettre leur mandat, ou leur titre attribué par un maître complaisant, s'accrochent en nous faisant désespérer chaque jour un peu plus. Merci pour la leçon M. Varoufakis et bon vent !

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