Les lectures du jour ne me semblent pas à la hauteur de l’enjeu : trop adressées aux seuls croyants. Loin des préoccupations de nos contemporains. Alors je me fait curé l’espace d’un instant pour annoncer un passage d’évangile dont nous avons tous besoin.
Quand je parlerais en langues, celle
Des Hommes et celle des anges,
S’il me manque l’amour,
Je suis un métal qui résonne, une
Cymbale retentissante.
Quand j’aurais le don de prophétie,
La science de tous les mystères et de
Toute la connaissance,
Quand j’aurais la foi la plus totale,
Celle qui transporte les montagnes, s’il
Me manque l’amour,
Je ne suis rien.
Première épître de Paul au Corinthiens, chapitre 13.