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Billet de blog 9 janvier 2022

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Pour une obligation de respect de l'auditueur dans les médias

Les moeurs actuels des médias ne permettent pas à l'auditeur des médias les plus communs d'entendre des façons de poser les problèmes et de les résoudre qu'il ne connaît pas: c'est une forme de censure évidente et un non respect de la démocratie.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

texte d'une pétition écrite (vite et mal?) après avoir essayer d'entendre Yannick Jadot sur France Inter perpétuellement coupé par les "journalistes" ....si ça vous intéresse hypothétiques lecteurs, voici le lien:
https://www.mesopinions.com/petition/medias/respect-obligatoire-auditeur-medias/167107

Pour un respect obligatoire de l’auditeur dans les médias.
Les interviews d’hommes politiques (ou à fortiori de femmes!), et d’autant plus qu’ils sont étiquetés « petits » ou « extrémistes » par les journalistes (à l’exception incroyable pour l’extrême droite type Zemmour qui n’aurait jamais existé sans l’appui conscient ou insconscient de la plupart des médias ) suivent des mœurs insupportables depuis bien longtemps : invités sur des plateaux à un contre trois ou quatre qui les mets déjà en position difficile, on leur coupe systématiquement la parole et le droit de développer leurs raisonnement et les informations qu’ils voudraient transmettre à l’auditeur. Ce fonctionnement caricatural (par exemple aujourd’hui samedi 9 janvier sur France Inter à propos de Yannick Jadot, et on peut trouver bien pire, Ruffin etc...) atteint parfois de tels sommets qu’on a l’impression de mieux connaître l’opinion du journaliste sur le candidat que la façon de poser (et de résoudre) les problèmes de l’invité ! Ce fonctionnement n’est pas seulement un manque de respect élémentaire de l’invité, mais aussi et surtout de l’auditeur. En coupant et en massacrant quasiment systématiquement ces pensées à leur goût trop dérangeantes, Ces journalistes et ses intervieweurs ne donnent pas à l’auditeur le droit d’entendre des manières de penser et de poser les problèmes qui pourraient les faire réfléchir et changer leur vision des choses. Ils enferment le cerveau de l’auditeur dans une seule direction, la leur (en général pas très dérangeante comme par hasard pour l’ordre social dans lequel ils occupent par leurs salaires et leur mode de vie une situation dominante). Ils imposent leur vision des choses sous apparence de donner la parole à tout le monde. Bref, par leurs mœurs d’évidence anti-démocratiques, ils prescrivent à l’auditeur ce qu’il doit penser. Nous demandons que ce genre de mœurs soit enfin éradiqué (et sanctionné) car le respect de l’auditeur devrait être une condition élémentaire du métier de journaliste politique.

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