A - l'admonestation
Monsieur,
Je ne me suis jamais inscrit sur votre liste et en la matière vous devez savoir que l’opt in est obligatoire (consentement préalable)
Je me permet de vous signaler à stop spam (agence gouvernementale) et quel que soit le message politique je vous rappelle la loi concernant les messages en nombre (celui-ci ne comprotant en plus aucun lien de désinscription)
Salutation X... Y...
B - La réponse
Réponse : "Désinscription OK, mais pas seulement
Dans ma liste d'envois du 27 03 à 21h31, je n'ai pas trouvé l'adresse avec laquelle vous me répondez : … en revanche j'ai retiré... qui doit être équivalente
Contrairement à votre allégation, le message à l'origine de votre admonestation comporte dès ses premières lignes et en rouge la mention « Désinscription sur simple demande ». Chacun comprend aisément qu'il suffit pour cela d'utiliser l'onglet « Répondre » et d'annoncer : « STOP ! »
Je mets d'ailleurs un point d'honneur à désinscrire dès sa première demande toute personne qui le souhaite
Depuis le 12 septembre 2011, je vous ai déjà adressé 16 messages dont je peux vous rappeler les titres et les dates d'envoi. Or, je n'ai pas reçu jusqu'à présent la moindre demande de radiation de votre part
Votre comportement correspond alors à celui déjà décrit dans l'article intitulé : « Contre la liberté d'expression, les embusqués du KGB-français »
En faisant STOP SPAM dans Google, on trouve immédiatement tout un arsenal permettant à tout un chacun de dénoncer avec la qualification « spam » tout ce qu'il voudra, mais on ne trouve strictement rien permettant de protester contre des démarches comme la vôtre, qui donnent abusivement la dénomination de SPAM à des courriels qui ne font que défendre le droit de chaque citoyen à une information pluraliste et non biaisée
On retrouve là le savant calcul de verrouillage de l'information et de violation du grand principe voltairien de la liberté d'expression, trop bien connu au niveau des médias, qui vient d'avoir un retour de manivelle notoire et salutaire avec la déferlante du Pénélopegate
La révolution internet permet de prédire à coup sûr que cette grande fissure affectant le barrage de la censure n'est que la première. Soyez assuré qu'il y en aura d'autres, même s'il existe encore quelques embusqués du KGB-français qui, comme vous, par calcul obscurantiste, crient encore pouvoir colmater les brèches d'un barrage devenu anachronique
Ce présent courriel qu'il est donc impossible d'adresser à "l'agence gouvernementale stop spam", je ne vais pas manquer de le diffuser par les autres moyens dont je peux disposer, et vous voudrez bien noter au passage qu'il n'est pas possible de mettre un censeur derrière chaque internaute ou derrière chaque distributeur de tracts
A chose publique, débat public. J'ai préservé ici votre anonymat, mais je vous mets au défi de vous engager publiquement, nominalement dans un débat et d'essayer d'y trouver une justification à votre engagement
Ortograf-FR (Louis Rougnon Glasson) g269-h03 mars 2017
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