Un article du club mis en une de médiapart, sur le financement de la rénovation énergétique...
En France comme ailleurs dans le monde, il y a un défi à relever, celui des économies d'energie. Quand on est un particulier, on est un peu perdu dans le maquis des lois et des subventions que l'on peut demander pour être aidé. Il n'y a pas que sur les subventions, d'ailleurs, qu'il faudrait être aidé.
Si on ne mettait pas la charrue avant les bœufs, on commencerait par faire un bilan des logements existants, ce qui permettrait de préparer les modifications à apporter.
Qui pourrait faire ce bilan?
Voici ma réponse:
Deux observations, vu du coté profesionnel
1> il est temps de programmer l'obligation, à l'occasion d'une ou l'autre des occasions d'éffectuer des gros travaux, ou de la mise en vente ou de la mise en location, un diagnostic global, complet, de la cave au grenier, de la recherche des fissures à la conformité de la détection incendie, en passant par la recherche intégral de l'amiante et des autres produits CMR (cancérogène, mutagène et reprotoxique), y compris dans l'ameublement, les produits d'entretien...
2> le financement?: deux pistes: avantages fiscaux directs, exonératioin de tva.
Mais surtout, associer un cout plancher des loyers et des prix de vente, comme en 1948 pour sortir les immeubles locatifs de l'insalubrité. De ce fat abec la même logique, les logements "libérés" seraient ceux satisfaisant à minima un "profil" HQ2SE: Haute Qualité en Sécuruté et Santé Environnementale. Tel le concept des cibles HQE, on pourrait définir un "bouquet" de critères d'insalubrité (ceux existant déjà dans la boite à outil des ARS ou des CAF) à atteindre en un certain délais. Ce qui permettrait effectivement d'avantager les proprétaires d'immeubles sains ou en court de curage.
Oui, il est temps d'utiliser les rougaes de la fiscalité foncière pour limiter les plue values uniquement aux immeubles ré-habilités "durablement"...
Toutefois, il faudra bien accepter que l'éradicatioin de l'amiante va couter 50 miliards dans les 50 prochaines années. Aucune provision n'est envisagée à ce jour, juste un début de plan d'aide aux HLM: 400 millions par an de pret bonifié... et non pas de suvention... au lieu de 2,5 milliards que demandait l'USH.
Quant aux profesionnels "indépendants", il faudrait effectivement que'ils ne soeint aps attachés aux fournisseurs d'energie ou fabricants de solutions, comme le sont les professionnels du RGE: Rien ne Garantie l'Efficacité, dixit l'UFC.
Une solution? Un architecte dans chaque groupement de commune, ou commune de plus de 5000 habitats, commis d'office*, au service des habitants, locataire ou propriétaire, en charge du conseil initial, et du controle in fine.
36000 communes en france, 26000 architectes dont plus de 50% établis seuls, dans nos quartiers ou nos campagnes... en capacité de ménager un service technique mis à disposition des institutions, avec permanence en Mairie...
Avec un dispositif de ressources en lignes via un site dédié avec profil d'accès (adminstration, profesionnels, habitants), chacun pourrait suivre la siuation locale toute en se renseignant que les solutions innovantes et écologiquement durable.
Un architecte utopiste?
* bien entendu, le service gratuit pour les habitants, ne serait accessible qu'aux foyers fiscaux situés en dessous d'un plafonds de ressousrces qu'il resterait à fixer. Et par ailleurs, l'archi commis d'office ne pourrait bien évidemment pas suivre les travaux...