Paul Jorion anthropologue-économiste

Pour qu'un économiste ne soit pas "langue de bois, sans doute faut-il qu'il ait fréquenté d'autres sciences qui s'avouent " humaines" et non                "exactes". C'est cette prétendue exactitude "exact-attitude" dirait l'idole des ex-jeunes  qui a embrouillé et gelé les discussions sur le progrès,  la productivité, le profit, la moralité des parachutes dorés etc. bref l'idéologie qui veut qu'un salaire soit un coût et que des dividendes ne le soient pas. Vous rappelez ces fondamentaux de cette science politique , idéologique devrait t-on dire.Ce qui est matéhmatique en économétrie n'est qu'outils au service de la philosophie politique qui la met ennpratique.  Il faut continuer à marteller que la robotique et le développement de l'informatique et des sofwarse sont un bien en soi s'ils libèrent l'homme de tâches pénibles et répétitives. A condition que celui qui en est libéré soit aussi le bénéficiaire de l'évolution de son poste de travail. La fiscalité également est sous gérée parce qu'elle n'a pas de cadre ideologique clair. Inscrite dans une idéologie humaniste , elle serait alors un outil formidable de justice sociale. Il faut déconstruire point par point les fausses idées de progrès malheureusement acceptées et relayées par la presse comme une fatalité. Des hommes comme Joron   - rares- contestent et tentent de remettre à leur place les fausses idées cans un capitalisme sans limite. Pour donner écho à cette pensée élémentaire il doit en passer par la globalisation de son analyse, c'est cette perspective, peut-être catastrophiste,  qui peut aujourd'hui avoir une effet cathartique