Prendre le parti d'être en visitation de sa propre identité
Ce n 'est pas un cri-monumental souhait d' intériorité-frontières invisibles-
Un cri de pudeur - Une éclaircie , une brèche dans la souffrance de la guerre-
Un monument de passion pourle moment privilégié qui rompt les liens, « pas un seul être »
,Muré dans la renaissance d’un mariage de sa vie intime et des vieilles choses,compagnes , posées comme balises de protection contre l’envahissement des blessures .
 l ‘abri du jardin « petit et pourtant multiplié comme ouvert et toutefois plein de cachettes ,rustique et toutefois courtois .On écoute des gouttes d’eau dans la fontaine délabrée , afin que le silence ne soi luiseulement un présent mais pulsation à ce qui fut il y a longtemps ;cela s’appelle -t -il des fantômes ?»
"Je vois de plus clairement en ce dont j 'aurais besoin pour surmonter en moi cette monstrueuse et cruelle rupture de l 'année quatorze ...de la solitude protégée , en un mot , il me faudrait beaucoup.et Personne pendant ce temps là ,ps un seul être....... quelques vieilles chose s autour d e moi susceptibles de suppléer les relations humaines , par ceque partageant largement , sans être à proprement parler personnelles
, cette souffrance et cette joie qui sont tout bonnement humaines .Voilà ce dont j 'ai la nostalgie , voilà ce que j 'attends comme un attend -eh bien , comme un attend un miracle "
Et plus c