« Adonaï. Mon …petit Dieu -Où -tu -es-je-suis-
Reviens, je te transporterai dans mon cœur qui est parti de la terre, il s’est envolé avec toi »
C’est la dimension qui me manquait pour savoir le prix de l ‘art et de la terre.
Marie ne pourra être qu’à ce prix.
Les Marie perdues de la terre ont un mal battant à la place d’un cœur,
un quasar de chair et de sang.
Plus tard, j ‘ai introduit une exposition de mes œuvres à Paris:
le «Rêve de Marie »en trois langues, arabe, hébreu, français.
Il s'est inscrit en treize battements de cœur et
quatre versions vertigineuses de la femme à l’horizon d ‘un jeune homme.