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Billet de blog 26 août 2010

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New-York Times: Alors , vous pensez que c'est de la danse africaine?

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

http://www.nytimes.com/2010/05/23/arts/dance/23african.html

Aumoment ou les noirs se sortaient des terribles années 60, ils eurent, en manière de défiance ce slogan:

«Je suis noir et j ‘en suis fier. "

Beaucoup de langues africaines n'ont pas de mot pour "danse".

Les mots qui définissent le mouvement de la musique, la danse viennent tous de la langue des colonisateurs.

Partout sur le continent, ce que nous appelons la danse est une partie automatique de la cérémonie et la fonction sociale.

Pour M. Davis, il est encore plus important de connaître l'intention de la danse que sa musique. Chaque danse marque une occasion: travail ,famille, saison, l'âge.

Ilpeut être utile de dire qu ' il n 'y a pas d e danse africaine«authentique» telle que pratiquée en Amérique. Chuck Davis, lefondateur de l'événement Brooklyn, a expliqué dans un entretientéléphonique: «Nous essayons de montrer des danses africaines avecprécision,mais, ce sont des représentations théâtrales.L'authenticité se passe dans l'espace et sur le sol. "

Mouminatou Camara se spécialise dans les danses de la Guinée. Et elle décrit les danses pour rites masculins et féminins de passage, des danses de cour à la pleine lune, danses de la force masculine, des danse spour les hommes, les danses des hommes plus âgés, les danses de chasse, toutes les danses de femmes et des danses du samedi soir avant le Mariage du Dimanche

C'est le contraste entre une danse africaine et une autre que le chorégraphe Reggie Wilson, qui a beaucoup voyagé, trouve stupéfiant.

«Quand je suis allé à l'Afrique occidentale, mon cerveau entier a explosé",

a-t-ildéclaré dans une interview.

«Je suis toujours en train d'en ramasser les morceaux "

Il se souvient avoir grandi àMilwaukee , comme un noir, donc comme un Afro -Américain ,à partir du moment ou je suis allé au lycée, je suis devenu un Africain -Américain

Dans la plupart des danses traditionnelles , la musique est le langage de la percussion, mais M me Green cite exceptions.

Les Masai bondissant (Kenya et nord de la Tanzanie), par exemple,chantent leur propre musique pendant qu'ils se déplacent . ....la connexion entre la musique et l a danse est profonde ,chaque mouvement correspond à un battement , chaque battement te dit debouger ,

Elle bat le rythme avec ses mains sur la table

quand j ‘entends ça, (elle marque l ‘accent) alors , je sais que je dois bouger , dit -elle .

Même si cela était voulu, un état inaltérable serait impossible , "les danses sont mourantes " .

Comme dit Mr. Davis aux afro-américains qui apprennent ces danses :

Vous avez là le meilleur des deux mondes, vous êtes dans ce temps etvous maintenez le contact avec la -bas .

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