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Billet de blog 30 mars 2011

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Érotisme à la chinoise – Grand Art

 

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Mon intérêt pour cette choré graphie est lié à la finesse des soies et chuchotements des beaux draps de la passion.

http://www.nytimes.com/2011/03/24/arts/24iht-dance24.html?ref=arts

Quandune femme seule - le tout aussi tristement célèbre Pan Jinlian -passe et s'arrête pour regarder l'orgie, elle attire l'attention deXimen. Ilcourt chez elle, et ils dansent une scène de l'amour passionné,avec Pan refusant de s'arrêter, même lorsque son mari plongé dansles ténèbres, le nain Wu Dalang, apparaît à la fenêtre. Lorsquela colère Wu rentre chez lui, le couple assassiner lui, et Pans'enfuit à devenir cinquième Ximen (mais non définitif) femme,ouvrant la voie à un conte de l'intrigue familiale et de la débauchequi a captivé les lecteurs pendant des siècles.

Au centre de cette danse l'anti-héros de "Jin Ping Mei,« l'insatiable et corrompu Ximen Qing.

"Jin Ping Mei’ was written in the Ming dynasty, in a rotten society,” Ms. Wang said during an interview at her spacious studio. “But the social phenomenon is the same now. People will do anything for money and they want everything quickly — there is no moral concept. If you have money, you’re No. 1.”

If you are only seeking money, you will take the wrong road and you will never return,” Ms. Wang said. “You have to maintain your purity. I will do whatever I need to preserve my own integrity.”

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