« Si j’étais aux manettes et que l’Algérie arrêtait Boualem Sansal, je brûlerais l’ambassade ».
« Le Monde » s’honore quand il rapporte ces propos tenus par le benjamin des fils de Nicolas Sarkozy.
Ils indignent nos frères algériens.
Le quotidien du soir était aussi dans son rôle quand il publiait un article sur ce qui est désormais devenu "l'affaire Bayrou".
« Mediapart » mérite notre reconnaissance quand il fait office de publication de salubrité publique.
On ne peut en dire autant du « Figaro » et de son rédacteur en chef qui se déshonorent dans la façon qu’ils ont de vouloir protéger un premier ministre qui porte l’entière responsabilité de ce qui lui arrive.
Saluons le courage du député de LFI qui a osé dévoiler à l’Assemblée nationale ce qu’était Bétharram, cet établissement religieux par lequel le scandale arrive.
Félicitations pour la radicalité de la réaction des Verts.
Je méprise tous ceux qui organisent une digue de protection autour d'un haut personnage de la Nation parce qu’ils ont la trouille de devoir affronter le suffrage universel.
Des enfants ont été martyrisés et violés, ces crimes parmi les plus odieux ont été commis et le ministre de la Justice, garde des Sceaux, ministre d’Etat, au mépris de son devoir de réserve, lance une polémique politicienne contre ceux qui ont contribué à les porter à notre connaissance.
A vomir.
Je suis membre du PCF depuis mai 1968.