« La Nupes, de l’euphorie à la désillusion », tel est le titre de « une » de la livraison du "Parisien" de ce 21 août.
Si le peuple de gauche et de l'écologie abandonnait le sort de la Nupès aux logiques partisanes de ses composantes, Emmanuel Macron et Marine Le Pen auraient atteint leur objectif commun : diviser le monde du travail et de la création.
Or, ce dernier ne tire sa force que de son rassemblement, de son unité, respectueux de sa diversité et réalisés sur des projets qui changent sa vie.
La Nupes est née de cette volonté populaire exprimées dans les urnes à l'occasion des dernières élections présidentielle et législatives. Pas, comme le prétend l'article du "Parisien", de l'opération du Saint-Esprit.
Seule l'expression aujourd'hui d'une même volonté, d'une même ambition peut empêcher le retour en arrière et l'accession au pouvoir de "la fasciste propre sur elle".
Si beaucoup de ses idées mortifères ont déjà contaminé l'atmosphère dans toute l'Union européenne et au-delà, il n'est pourtant pas trop tard.
Du moins faut-il l'espérer.
L'article de Julien Duffé, dans le "Parisien" est ici :
https://docs.google.com/document/d/1mA1LPtdhK6AgIxoRuNj-v8JZxYcb9REnJ6Q3_u9pzE0/edit?usp=sharing