PLAINTE CONTRE M. LE PROCUREUR RÉPUBLIQUE DE 06000 NICE À M. LE PROCUREUR GÉNÉRAL DE 13616 AIX-EN-PROVENCE CEDEX 01
Lucien JEWCZUK
06500 MENTON
LE PROCUREUR GÉNÉRAL PRÈS LA COUR D'APPEL
AIX-EN-PROVENCE
13616 AIX-EN-PROVENCE DEXEX 1
Monsieur le procureur général près la cour d’appel d'Aix-en-Provence,
J’ai l’honneur de vous faire part des faits suivants en psychiatrie et en justice décrits par moi ci-dessous pour lesquels je porte plainte contre mes abuseurs ci-dessous mais ne porte en aucun cas plainte contre ma femme pour les faits ci-dessous à mon encontre : elle est malade psy.
Les faits gravissimes en psychiatrie sont les suivants :
Le 01/12/2023 je me suis présenté au commissariat de police de 06500 Menton à la suite de conseils demandés par moi à www.service-public.fr (je peux communiquer une copie des courriels que j’ai reçus autrefois en réponse au miens de la part de celui-ci à ce sujet) avec l’idée de demander une expertise psychiatrique pour aider peut-être ma femme à résoudre ses problèmes de santé psy jamais améliorés en réalité par les psys eux-mêmes même lorsqu’elle a accepté deux fois pendant à chaque fois deux ans des soins psy une fois par semaine. J’ai fait la déclaration suivante à l’officier de police de ce commissariat de police de Menton : si je rentre chez moi ma femme me tue immédiatement ; elle me donne des coups ; elle a tenté de me tuer avec une paire de ciseaux ; elle me dit plusieurs fois par jour qu’elle veut tuer nos deux petits chiens avec son révolver ; je n’ai aucun droit de regard sur notre compte en banque depuis plus de cinquante ans ; notre mariage n’est pas consommé dans la fidélité réciproque actuellement en 2023 à ce jour depuis 1973. L’officier de police a interrompu alors mes propos et peu de temps après a demandé un examen médical pour moi à l’hôpital de la Palmosa de Menton que j’ai accepté. À celui-ci on m’a mis dans un lit, enregistré ma tension artérielle et deux fois pendant à chaque fois seulement à peine dix secondes j’ai pu “discuter” avec le médecin des urgences. Celui-ci m’a dit : “Votre femme ne peut pas être dangereuse après cinquante d’amour !” Je lui réponds : “Qui croyez-vous moi ou ma femme ?” Il me dit : “Vous êtes délirant je vous hospitalise en psy !” J’ai compris que j’allais être interné à tort en psychiatrie et ai vite porté plainte contre celui-ci plusieurs fois grâce à mon portable auprès de l’accueil du tribunal judiciaire de Nice. J’ai eu l’occasion de voir mon certificat d’hospitalisation pour alors l’hôpital Pasteur 2. Le motif de celle-ci était illégal aussi bien du point de vue médical (je n’ai jamais été agité) que du point de vue juridique (un seul mot : AGITATION). J’ai passé une nuit à Pasteur 2 puis le lendemain ai été amené à Sainte-Marie à Nice. J’ai demandé alors plusieurs fois : “Est-ce que je peux ne pas prendre les médicaments en attendant de voir l’expert psychiatre près les tribunaux à ce sujet ?” ce qui m’ a été à chaque fois alors refusé. Plusieurs fois j’ai demandé aussi : “Je veux voir l’expert pour lui apprendre la psychiatrie !” Je ne savais pas alors qu’étant en service dit libre la loi n’avait rien prévu en matière aussi bien de rétention de liberté que d’expertise pour me protéger alors d’abus psy éventuels de toutes sortes. Pendant mon hospitalisation du 02/12/2023 au 11/01/2024 à Sainte-Marie à Nice jamais je n’ai eu l’occasion de discuter du contenu de mes propos lors de ma déposition de deux minutes au commissariat de Menton. Les psys m’ont posé beaucoup de questions mais en réalité que toujours seulement sur mon passé et à l’un d’entre eux (un homme) je lui ai déclaré alors ceci : “À l’âge de 40 ans j’ai revu à ma demande à Sainte-Anne à Paris le psychiatre qui m’avait expertisé au Centre d’orientation éducative de Versailles à l’âge de 17 ans. Il m’a dit : vous êtes à l’âge où vous devez envisager d’arrêter vos médicaments sauf si vous voyez des couteaux…” J’ai commencé à me sevrer en 2004 puis davantage en 2008 jusqu’en 2019 : pendant cette période je n’ai pris seulement qu’un comprimé par jour d’aripiprazole 5 mg ou seulement que sa moitié en coupant alors celui-ci en deux avec un couteau : 2,5 mg. De 2020 à 2023 je n’ai jamais pris le moindre médicament psychotrope. Une des psys au cours de mon hospitalisation à Sainte-Marie m’a dit un jour : “Quand vous êtes arrivé vous étiez psychotique !” Je lui ai répondu aussitôt : “C’est un mensonge !” et ensuite je n’ai jamais revu celle-ci car sans doute avait-elle compris la vérité sur mon hospitalisation à tort. Au cours de celle-ci deux crimes ont été commis sur ma personne à mon avis au regard de la loi. Me faire prendre des médicaments sans ne me dire jamais auparavant le but de leur prescription et faire des expériences sur moi sans ne me dire jamais auparavant non plus la vérité à leur sujet. Un jour l’appareil à mesurer la glycémie à indiquer 2,2 g et un autre jour lorsque j’ai demandé à l’infirmière : “C’est quoi cette gélule ou c’est quoi ce comprimé ?” celle-ci a alors fait un acte manqué et m’a répondu alors sans réfléchir : “C’est de la metformine !” En 2019 j’avais arrêté l’aripiprazole 5 mg car depuis environ deux ans j’étais soigné pour un diabète de type 2 dont c’est moi qui ai découvert sa cause : l’aripiprazole comme indiqué sur sa notice. Je n’avais pas manqué alors de déclarer cela à mes deux dames psy de Sainte-Marie. Mais avant ma sortie pour mon avenir l’une d’elle m’a fait une ordonnance de deux comprimés d’aripiprazole 10 pour laquelle je lui ai demandé : “Pourquoi me prescrivez-vous une dose aussi forte ?” Elle me répond : “La schizophrénie est une maladie chronique !” et après ma sortie environ un mois plus tard en mesurant moi-même ma glycémie j’ai découvert une récidive alors de mon diabète de type 2. Où cette dame psy a-t-elle appris la psychiatrie ? J’avais pourtant fait remarquer à un psy ou à une psy de Sainte-Marie : “Pour le Pr Edouard Zarifian si après trois ans de traitement il n’y a pas eu de rechute il faut arrêter les médicaments !” et aussi : “Pour la Haute Autorité de Santé prescrire un antipsychotique diminue l’espérance de vie des schizophrènes de 15 à 24 ans !“ Au cours de cette hospitalisation quatre fois j’ai demandé grâce à mon portable de mon lit ma sortie contre avis médical à l’accueil du tribunal judiciaire de Nice et toujours les psys me l’ont alors ensuite à chaque fois refusée. Peu avant ma sortie en remplissant mon questionnaire de satisfaction pour Sainte-Marie à la demande de l’une de ses infirmières je n’ai pas manqué sur celui-ci de faire remarquer alors ceci : “L’hôpital Sainte-Marie de Nice ne pouvait pas concevoir l’erreur et la faute médicales commises auparavant à l’hôpital de la Palmosa de Menton !” Peu de temps après j’ai reçu un bulletin de liaison de Sainte-Marie avec son compte rendu d’hospitalisation pour moi. J’y ai découvert alors le diagnostic de “propos incohérents et délire de persécution” qu’avait fait l’officier de police de police de Menton pour justifier sa demande d’examen médical pour moi à la Palmosa le 01/12/2023 mais aussi le diagnostic de l’une de mes psys de Sainte-Marie à ma sortie le 11/01/2024 à savoir : “schizophrénie paranoïde enkystée”. Pourquoi c’est l’État qui est coupable des abus, des illégalités, des erreurs, des fautes, des délits, des crimes, etc. décrits ci-dessus à mon encontre, selon moi ? C’est lui qui est responsable de l’enseignement de la psychiatrie en France grâce à des professeurs comme ceux par exemple de Fondamental ou comme ceux du Vidal lesquels comme prétendu bon conseil aux schizophrènes prétendent entre autres notamment ceci : “Le malade doit être informé du maintien du traitement à vie”. J’ajoute : l’officier de police du commissariat de Menton n’a pas jamais pu obtenir pour mon examen le médecin psy tel que prévu par la loi sur une liste spéciale psy dans un cas comme le mien.
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Les faits gravissimes en justice sont les suivants :
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Pour aussi bien les faits gravissimes en psychiatrie que ceux gravissimes aussi en justice décrits par moi ci-dessus je porte plainte contre tous mes abuseurs évoqués ci-dessus mais ne porte pas plainte contre ma femme pour les faits ci-dessus de celle-ci à mon encontre : elle est malade psy.
Dans l'attente des suites que vous donnerez à ce courriel, je vous prie d'agréer, Monsieur le procureur de la République près la cour d’appel d'Aix-en-Provence, l'expression de ma plus haute considération.
Le 7 décembre 2025,
Lucien JEWCZUK