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DES CRIMES EN PSYCHIATRIE PARFAITEMENT CONNUS DEPUIS DÉBUT 2024 DE LA PRESSE, DES POLITICARDS, DE LA JUSTICE, ETC. MAIS TOUJOURS ACTUELLEMENT CACHÉS À TOUTES ET À TOUS PAR EUX À CE JOUR EN 2025
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Le 01/12/2023 je me suis présenté au commissariat de police de 06500 Menton à la suite de conseils demandés par moi à www.service-public.fr avec l’idée d’avoir une expertise psychiatrique pour aider ma femme à résoudre à mon avis certains de ses problèmes. L’officier de police a interrompu mes propos et demandé un examen médical pour moi au Centre hospitalier la Palmosa de Menton que j’ai accepté. À celui-ci on m’a mis dans un lit, enregistré ma tension artérielle et deux fois pendant à chaque fois seulement à peine dix secondes j’ai pu “discuter” avec le médecin des urgences. J’ai compris que j’allais être interné à tort en psychiatrie et ai vite porté plainte contre celui-ci plusieurs fois grâce à mon portable auprès de l’accueil du tribunal judiciaire de Nice. J’ai eu l’occasion de voir mon certificat d’hospitalisation pour alors le CHU Pasteur 2 de Nice. Le motif de celle-ci était illégal aussi bien du point de vue médical (je n’ai jamais été agité) que du point de vue juridique (un seul mot : AGITATION). J’ai passé une nuit à Pasteur 2 puis le lendemain ai été amené au Centre hospitalier Sainte-Marie de Nice. J’ai demandé alors plusieurs fois : “Est-ce que je peux ne pas prendre les médicaments en attendant de voir l’expert psychiatre près les tribunaux à ce sujet ?” ce qui m’a été à chaque fois alors refusé. Plusieurs fois j’ai demandé aussi : “Je veux voir l’expert pour lui apprendre la psychiatrie !” Je ne savais pas alors qu’étant en service dit libre la loi n’avait rien prévu en matière aussi bien de privation de liberté que d’expertise pour me protéger alors d’abus psy éventuels de toutes sortes. Pendant mon hospitalisation du 02/12/2023 au 11/01/2024 à Sainte-Marie jamais je n’ai eu l’occasion de discuter du contenu de mes propos lors de ma déposition de deux minutes au commissariat de Menton. Les psys m’ont posé beaucoup de questions mais en réalité que toujours seulement sur mon passé et à l’un d’entre eux (un homme) je lui ai déclaré alors ceci : “À l’âge de 40 ans j’ai revu à ma demande à Sainte-Anne à Paris le psychiatre qui m’avait expertisé au Centre d’orientation éducative de Versailles à l’âge de 17 ans. Il m’a dit : vous êtes à l’âge où vous devez envisager d’arrêter vos médicaments sauf si vous voyez des couteaux…” J’ai commencé à me sevrer en 2004 puis davantage en 2008 jusqu’en 2019 : pendant cette période je n’ai pris seulement qu’un comprimé par jour d’aripiprazole 5 mg ou que seulement sa moitié en coupant celui-ci en deux avec un couteau : 2,5 mg. De 2020 à 2023 je n’ai jamais pris le moindre médicament psychotrope. Une des psys au cours de mon hospitalisation à Sainte-Marie m’a dit un jour : “Quand vous êtes arrivé vous étiez psychotique !” Je lui ai répondu aussitôt : “C’est un mensonge !” et ensuite je n’ai jamais revu celle-ci car sans doute avait-elle compris la vérité sur mon hospitalisation à tort. Au cours de celle-ci deux crimes ont été commis sur ma personne à mon avis au regard de la loi. Me faire prendre des médicaments sans ne me dire jamais auparavant le but de leur prescription et faire des expériences sur moi sans ne me dire jamais auparavant non plus la vérité à leur sujet. Un jour l’appareil à mesurer la glycémie à indiquer 2,2 g et un autre jour lorsque j’ai demandé à l’infirmière : “C’est quoi cette gélule ou c’est quoi ce comprimé ?” celle-ci a alors fait un acte manqué et m’a répondu alors sans réfléchir : “C’est de la metformine !” En 2019 j’avais arrêté l’aripiprazole 5 mg car depuis environ deux ans j’étais soigné pour un diabète de type 2 dont c’est moi qui ai découvert sa cause : l’aripiprazole comme indiqué sur sa notice. Je n’avais pas manqué alors de déclarer cela à mes deux dames psy de Sainte-Marie. Mais avant ma sortie pour mon avenir l’une d’elle m’a fait une ordonnance de deux comprimés d’aripiprazole 10 pour laquelle je lui ai demandé : “Pourquoi me prescrivez-vous une telle dose aussi forte ?” Elle me répond : “La schizophrénie est une maladie chronique !” et après ma sortie environ un mois plus tard en mesurant moi-même ma glycémie j’ai découvert une récidive alors de mon diabète de type 2. Où cette dame psy a-t-elle appris la psychiatrie ? J’avais pourtant fait remarquer à un psy ou à une psy de Sainte-Marie : “Pour le Pr Edouard Zarifian si après trois ans de traitement il n’y a pas eu de rechute il faut arrêter alors les médicaments !” et aussi : “Pour la Haute Autorité de Santé prescrire un antipsychotique diminue l’espérance de vie des schizophrènes de 15 à 24 ans !“ Au cours de cette hospitalisation quatre fois j’ai demandé grâce à mon portable ma sortie contre avis médical à l’accueil du tribunal judiciaire de Nice et toujours les psys me l’ont alors ensuite à chaque fois refusée. Peu avant ma sortie le 11/01/2024 en remplissant mon questionnaire de satisfaction pour Sainte-Marie à la demande de l’une de ses infirmières je n’ai pas manqué sur celui-ci de faire remarquer alors ceci : “L’hôpital Sainte-Marie de Nice ne pouvait pas concevoir l’erreur et la faute médicales commises auparavant à l’hôpital de la Palmosa de Menton !” Peu de temps après j’ai reçu un bulletin de liaison de Sainte-Marie avec son compte rendu d’hospitalisation pour moi. J’y ai découvert alors le diagnostic de “propos incohérents et délire de persécution” qu’avait fait l’officier de police de Menton pour justifier sa demande d’examen médical pour moi à la Palmosa le 01/12/2023 mais aussi le diagnostic de l’une de mes psys de Sainte-Marie à ma sortie le 11/01/2024 à savoir : “schizophrénie paranoïde enkystée”. Ces deux diagnostics sont une erreur médicale car les faits rapportés par moi le 01/12/2023 au commissariat de police de Menton étaient tous des faits réels et non pas le produit d'une imagination psychopathologique de ma part. Pourquoi c’est l’État qui est coupable des abus, des illégalités, des erreurs, des fautes, des délits, des crimes, etc. décrits ci-dessus à mon encontre, selon moi ? C’est l’État qui est responsable de l’enseignement de la psychiatrie en France grâce à des professeurs comme ceux de Fondamental, du Vidal, etc. Cliquez sur les liens ci-dessous :
https://www.fondation-fondamental.org/
https://www.vidal.fr/maladies/recommandations/schizophrenie-1620.html
Ceux-ci recommandent aux psys et aux schizophrènes notamment ceci : “Le patient doit être informé du maintien du traitement à vie”. Ma santé psy a toujours été parfaite de 2001 à 2025 c’est-à-dire avant, lors de ma déposition au commissariat de police de Menton, lors de mon hospitalisation à tort en psychiatrie à Sainte-Marie en 2023-2024 et aussi après celle-ci à ce jour en 2025. Je ne prends plus depuis 2019 aucun médicament psychotrope en raison je le rappelle d’un diabète de type 2 dû à l’aripiprazole. Je prends malgré tout depuis peu un somnifère léger car je suis très choqué, très démoralisé, très fatigué, etc. par le comportement de la justice à mon égard. Il me vient que l’officier de police du commissariat de Menton n’a pas jamais pu obtenir l’examen médical qu’il avait souhaité alors pour moi car le médecin spécialiste tel que prévu par la loi à ce sujet ne pouvait réellement pas alors se déranger.
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Le 16 décembre 2025,
Lucien JEWCZUK
Photo ci-dessus : le tribunal judiciaire de Nice