 
     
     
    Schizophrénie "le patient doit être informé du maintien du traitement à vie" le Vidal
Le titre de cet article est un extrait du site https://www.vidal.fr/maladies/recommandations/schizophrenie-1620.html#prise-en-charge à son paragraphe intitulé "Conseils aux patients" dans lequel celui-ci écrit : "Les VIDAL Recos sont des synthèses des recommandations thérapeutiques de l'ANSM, de la HAS et des sociétés savantes françaises et internationales, rédigées par le comité scientifique VIDAL et des experts du domaine."
J'ai écrit sur ce conseil ci-dessus du Vidal mais ai perdu pour des raisons malencontreuses le contenu non seulement de mes articles à ce propos sur Internet mais même aussi le contenu intégral de toutes mes plaintes lesquelles étaient toutes une "preuve" de la malédiction de conseil.
Ci-dessous je cite de mémoire un extrait de l'une de mes plaintes toujours non enregistrée à ce jour par M. le procureur de la République de Nice :
Monsieur le procureur de la République,
Je réactive toutes mes précédentes plaintes […] depuis que j’ai commencé à les déposer auprès de vous-même le 12/10/2023.
Je rappelle ou rajoute les faits suivants dont j’ai alors été effectivement victime :
Des dirigeants, des responsables, des experts, des psys, etc. des sites [...] recommandent les antipsychotiques à vie alors que pour la Haute Autorité de Santé ceux-ci diminuent l’espérance de vie des schizophrènes de 15 à 24 ans et que pour le Pr Edouard Zarifian (1941-2007) s’il n’y a pas eu de rechute après trois ans de traitement il faut les arrêter.
Les psys m’ont recommandé à tort ces antipsychotiques à vie à moi aussi alors que ma santé était pourtant parfaite avant et lors de mon hospitalisation à tort tout à fait illégale au Centre hospitalier Sainte-Marie de 06000 Nice pour laquelle depuis un an je vous écris régulièrement pour vous apporter des précisions qui me reviennent sur les faits à ce sujet dont j’ai été victime.
Pour ceux-ci je souhaite porter plainte contre le Centre hospitalier la Palmosa de Menton, le CHU Pasteur 2 et le centre hospitalier Sainte-Marie de Nice et contre les dirigeants, des responsables, des experts, des psys, etc. des sites cités ci-dessus par moi.
[…]
Les trois avis de la CADA relatifs aux documents toujours non communiqués (dont le certificat d’hospitalisation), etc. à ma généraliste et à mon psychiatre par les trois hôpitaux cités ci-dessus dans mon affaire ci-dessus vous ont déjà été communiqués par moi autrefois dans mes plaintes précédentes à vous-même conformément à la loi.
Dans l’attente des suites que vous donnerez à ce courrier, je vous prie d’agréer, Monsieur le procureur de la République, l’expression de ma plus haute considération.
Le 19 juillet 2005,
Lucien JEWCZUK
 
                 
             
            