Le végétarisme, l'idéal ? Environnement, santé, désir que diminue la violence animale, à cause de notre goinfrerie, de notre inconscience, L'AVENIR !
Oui, sauf que je dépéris au bout de quinze jours trois semaines quoi que je fasse, aucune force, une langueur de convalescente. Ce n'est pas faute de raffoler des fruits, légumes, oléagineux, ferments lactiques, oeufs et fromages aussi, de varier les présentations, de faire preuve d'imagination, de choisir les meilleurs produits...
Un coup de restaurant de temps en temps en bonne compagnie conduisant à quelques bienfaisants excès, mais le reste du temps, je tourne à vingt-trente grammes de viande ou poisson quotidiens glissés dans mes portions pour être bien, peu mais régulier.
En prenant des avis à droite à gauche : il serait question d'acides aminés mal distribués, d'une insuffisance de protéines animales par rapport aux végétales, ou alors chercher du côté de l'atavisme ?
Déjà, je ne consomme plus de lapin, ni de cheval...
Il faudrait continuer pour que tête et corps s'accordent, et même avec un chat qui, lui, contrairement à son collègue en vidéo, ne sera jamais végétarien.
Le régime crétois peut-être ? De plus, il irait avec ce beau temps !