« Il y a un moment où L'HUMANITE DOIT PREVALOIR sur le crime » (R. BABINTER). Formule à sens multiples. Par humanité, je ne réclame pas la peine de mort pour ceux qui commettent des crimes, même les plus graves, seulement leur inculpation (pour utiliser un vieux terme) ; mais je demande à ce que, par humanité, l'on fasse respecter les droits humains dans un des pays qui les a vu naître !
Objet : Enedis, filiale à 100 % du groupe EDF : DESTINATION CRIME ! 75 ans après la proclamation par les Nations Unies de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme
Mail du 10/12/2023 destiné à titre principal à Mme LAIGNEAU, Présidente du Directoire d’Enedis, et à tous ceux ayant pouvoir pour permettre que soient stoppés les agissements électro-criminels du gestionnaire-tortionnaire de réseau (EDF et son PDG, Luc REMONT, également informés). Ce mail sera publié sur mon compte Linkedin.
Mme LAIGNEAU,
Des investigations récentes menées lundi dernier (photos et vidéos ont été réalisées à cette occasion), m’ont permis d’établir que l’anomalie réseau que vous-même et votre société avez provoquée délibérément dans un but hostile et criminel le 14/09/23 – surtensions permanentes sur le réseau associées à des fréquences autour de 5 kHz (100 fois la fréquence de 50 Hz) – s’étend en fait à tout un bassin de distribution d’électricité englobant de manière certaine plusieurs départements (l’Indre, le Cher, etc.). Pour un rappel des faits, voir infra mail du 25 septembre dernier (dans lequel je démontre que les dénégations d’Enedis sont totalement fallacieuses : https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:linkedInArticle:7112020205035233280/).
Mme LAIGNEAU, je vous ai déjà alerté à plusieurs reprises sur les effets sanitaires susceptibles de se produire, à moyen et long terme, du fait de l’exposition de la population à la pollution électromagnétique, totalement indésirable et dépourvue de toute raison d’être technique, qui résulte de l’anomalie encore actuellement présente sur le réseau électrique, soit maintenant presque 3 mois après son apparition.
Comme chacun des lecteurs de ce mail l’aura compris, je suis la cible de cette nouvelle attaque électromagnétique qui est, de façon évidente, dans la continuité de toutes celles qui l’ont précédé depuis le 3 novembre 2021, jour où commencèrent les représailles punitives exercées par Enedis et vous-même contre ma personne (j’engageais en effet à la même époque une première action judiciaire contre votre société !).
Après presque 3 mois d’exposition, les divers troubles qui permettent de caractériser ensemble le tableau clinique très caractéristique de l’électrohypersensibilité (EHS) ont fait, chez moi, leur réapparition ou se sont aggravés : céphalées et sensation de brouillard mental, acouphènes intenses, sensations vertigineuses, troubles du sommeil, troubles du rythme cardiaque, nausées, dysesthésies, troubles cognitifs, asthénie physique et psychique. Je prends notamment de la Lamaline pour tenir le choc... Mais je souffre désormais de troubles anxieux invalidants médicalement constatés.
Je tiens à attirer en outre l’attention de tous les lecteurs de ce mail, en particulier toutes les autorités sanitaires, sur le fait que de très nombreux groupes de population non-EHS sont susceptibles de pâtir des émissions électromagnétiques, continues et ubiquitaires, qui se produisent actuellement sur des milliers et sûrement même des dizaines de milliers de kilomètres de lignes électriques !!! On peut faire la liste de ces groupes de personnes vulnérables : fœtus et nouveau-nés, enfants, femmes enceintes, personnes âgées, personnes atteintes de troubles cardiaques, neurologiques (épilepsie, migraine, autisme, etc.), ou de maladies neuro-dégénératives. C’est donc le devoir de tout médecin informé de cette anomalie de donner lui-même l’alerte auprès des autorités compétentes (article 44 du Code de déontologie médicale).
Mais Enedis aurait elle-même, plus que nul autre acteur institutionnel, des obligations à respecter :
Comme tous les Gestionnaires de réseau de distribution (GRD), la société Enedis se voit assigner des obligations de « service public de l’électricité » (articulation des articles L. 121-2 et L. 121-4 du code de l’énergie). Or, tel que décrit à l’article L. 121-1 du code de l’énergie, le service public de l’électricité a pour objet de « concour(ir) […] à la sécurité publique ». « Matérialisant le droit de tous à l’électricité […] (il) est géré […] dans les meilleures conditions de sécurité, […]».
Veillant « à tout instant […] à la sécurité et à la sûreté du réseau qu’il exploite » (article L. 322‑9 du code de l’énergie), le GRD doit prendre toute mesure adéquate pour préserver la sécurité des personnes, y compris la mise hors tension de l’ouvrage dont le fonctionnement compromettrait cette dernière (article R. 323-35 du même code).
A supposer que ce rappel à Enedis de ses obligations ne soit pas suffisant pour qu’elle remédie à l’anomalie qu’elle a elle-même provoquée, je profite de ce jour anniversaire de la proclamation de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme le 10 décembre 1948 pour en rappeler quelques formules qui me paraissent, dans les circonstances présentes, particulièrement congruentes :
« (…) la méconnaissance et le mépris des droits de l'homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l'humanité et que l'avènement d'un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l'homme »
« (…) il est essentiel que les droits de l'homme soient protégés par un régime de droit pour que l'homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l'oppression »
Article 3
Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.
Article 5
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
Article 8
Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par la constitution ou par la loi.
Mme LAIGNEAU, sachez enfin que des acteurs institutionnels, et non les moindres, sont en train de se mobiliser et que la République elle-même est en train de s’armer pour répondre aux agissements infâmes dont votre société et vous-même êtes coupables !
COPIE DE CE MAIL AU PARQUET DE CHATEAUROUX
Salutations révoltées,
Ludovic GOUESBET
https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:linkedInArticle:7139551758082568192/