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Billet de blog 23 janvier 2024

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Représailles à distance via le réseau électrique : STOP A ENEDIS !

L'électro-harcèlement est un service public. Publication n°5 d'une série de 11 mails adressés à Mme Marianne LAIGNEAU, Présidente du Directoire d'Enedis (LINKYLEAKS) : mail du 08/10/2023

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Courriel destiné, à titre principal, à Mme LAIGNEAU, Présidente du Directoire d’Enedis et transmis pour information au Médiateur national de l’énergie (dossier MNE n° D2023-XXXXX). Copie en sera faite au Parquet de Châteauroux, à la Préfecture de l’Indre. L'Autorité concédante de la distribution d’électricité (SDEI 36) fait partie des destinataires de ce mail.

Objet : Représailles à distance et tentative d’assassinat à petit feu via le réseau électrique : STOP A ENEDIS !

Mme LAIGNEAU,

Vous et Enedis, société dont vous présidez le directoire, avez engagé une lutte à mort contre ma personne, qui a commencé très précisément le 03/11/2021, pour la seule raison que j’ai osé attaquer en justice, à bon droit, cette société et mettre en cause le système Linky ! Le jour même du commencement des premières représailles exercées par Enedis sur ma personne, j’ai fait dresser un PV de constat (que je peux transmettre sur demande), et il en a été de même à plusieurs autres reprises lors de ces mois de harcèlement électromagnétique au long cours à travers lequel vous et votre société cherchez à porter atteinte à ma vie ! A chaque fois, j’ai pris soin d’indiquer précisément les faits en cause et leurs circonstances, et il en a été de même lors des 6 auditions de ma personne auxquelles il a été procédé lors de l’enquête préliminaire : donc, impossible de prétendre que « les faits ou les circonstances des faits de la procédure » ne pourraient être clairement établis par l’enquête !

Donc, le 03/11/2021, Enedis, par un acte de sabotage, totalement délibéré, du réseau électrique dont cette société devrait en principe assurer la bonne gestion, trouvait le moyen d’augmenter de façon extrêmement notable le rythme et la durée d’émission des Courants porteurs en ligne (CPL) Linky : jusqu’à 7 à 8 heures par jour… La manœuvre était aisée : la cellule de supervision Linky basée sur Tours, via des transmissions hertziennes, délivrait l’ordre au concentrateur principal de la commune de Neuillay-les-Bois de passer « en mode de communication forcée » (ce qui veut dire d’émettre des signaux CPL Linky de façon totalement répétitive et à intervalles rapprochés) : un mode de fonctionnement de cet équipement qui est distinct du « régime normal d’exploitation » !!! Ce fait a pu être clairement établi à plusieurs reprises, notamment à la faveur de l’intervention d’un laboratoire de mesures accrédité, le labo Exem, le 10/02/2022.

Depuis cette date, il y a eu bien peu de périodes de répit (d’ailleurs toujours en lien avec les circonstances de l’affaire, comme lorsque le 3 mars 2022, à la faveur de la parution d’un article sur l’affaire dans la PQR, disparaissait très étonnamment l’anomalie Linky qu’Enedis avait provoquée 4 mois plus tôt, avant qu’elle ne revienne 8 jours plus tard, le 11 mars, après que, deux jours auparavant, vous fut signifiée ma décision de faire appel du jugement rendu par le TJ de Châteauroux…). Peu de phases de répit, disais-je, mais en revanche des représailles nombreuses, à répétitions, conduites avec une cruauté et un acharnement sans nom et qui, toutes, m’ont été préjudiciables ! Tous les lecteurs de ce courriel savent que, depuis le 14 septembre dernier, se déroule une nouvelle séquence de représailles, que j’ai déjà parfaitement caractérisée, et qui demeure encore aujourd’hui d’actualité.

Donc, depuis le 03/11/2021, depuis plus de 23 mois maintenant, la société Enedis a commis crime sur crime, représailles sur représailles, actes de sabotage sur actes de sabotage, fraude sur fraude (cf., à titre d’exemple, l’expertise totalement « bidonnée » du 19/12/2022, à laquelle le SDEI, c’est-à-dire l’Etat, a d’ailleurs pris part !), et, jusqu’à présent, en toute impunité ! Mais de tels crimes ne sauraient rester impunis. Et, vous voyez, moi, contrairement à vous, je ne me cache pas, je viens vous accuser publiquement, prenant tout le pays à témoin, vous et la société Enedis d’être coupables de crimes d’une gravité sans nom ! Je profite à cet égard de ce courriel pour inviter les diverses autorités sollicitées dans l’affaire, notamment judiciaire, militaire (gendarmerie), administratives (préfecture, autorité concédante, mairie), à cesser de se défausser de leurs responsabilités et à dire enfin stop à Enedis, l’harceleur-saboteur-tortionnaire de réseau !

Il convient ici de faire preuve d’un peu de logique ; de deux choses l’une : ou je dénonce des crimes imaginaires, et alors il faudrait que la justice me condamne pour cela (soit dit en passant, je veux bien devenir un nouveau Dreyfus, ce serait un immense honneur !), ou les crimes que je dénonce sont réels, et alors c’est le devoir des autorités d’agir pour qu’un terme y soit mis dans les meilleurs délais et le devoir de la Procureure de la République d’engager des poursuites pénales contre mon agresseur ! Mais, si l’Etat me condamne, il commettrait une infamie sans nom et devrait nier, pour cela, la montagne de faits et de preuves sur laquelle mon combat est assis ; si l’Etat vous condamne, vous et Enedis, il ne fera que rendre la justice et me rendre justice. J’ajoute que si les autorités, telles des autruches, continuent de s’enfouir la tête sous le sable, j’estimerai de mon devoir de transmettre à tous les parents dont les enfants sont scolarisés dans l’école primaire Désiré BAILLY de la commune de Neuillay-les-Bois, un avis d’alerte concernant les attaques en cours dont cette école est une des victimes collatérales… Je rappelle que, récemment, la directrice même de cette école m’a indiqué être elle-même « au courant » de ces attaques ! ECOLE = ZONE A PROTEGER.

Veut-on des preuves irréfutables des violences et  des crimes en cours ? C’est très simple. Le 14 septembre dernier, jour où a commencé l’attaque encore en cours, j’ai réalisé 4 vidéos (pour le moment, une seule de ces vidéos a été publiée sur mon compte Linkedin, mais les autres ont déjà été remises à mes avocats !). Il est rarissime que, le même jour, je réalise autant de vidéos ; mais, ce jour-là, j’ai compris tout de suite que des choses très remarquables étaient en train de se passer. En effet, sur les diverses vidéos tournées, on peut observer les valeurs de tension, mesurées en millivolts (mV) au moyen d’une sonde de tension, faire le yoyo à plusieurs reprises : c’est qu’Enedis, à ce moment-là, se livrait à des réglages sur le réseau en vue de préparer sa nouvelle attaque ! Qu’est-ce qui le prouve ? Le fait que les vidéos montrent, dans la gamme de fréquences mesurée par la sonde (soit la bande 3 kHz-10 MHz), des valeurs osciller, de façon quasi instantanée, entre 15 mV (voire moins) et 1500 mV (voire plus), aussi bien dans un sens que dans l’autre : il n’y a bien sûr que le « gestionnaire » de réseau pour pouvoir opérer de tel « prodige ». Pour user d’une analogie, c’est comme si, instantanément, le courant à 230 V passait à 2.3 V, et inversement, de 2.3 V à 230 V ! Il n’y a bien sûr que celui qui a la main sur le réseau, qui peut le « manipuler », pour pouvoir accomplir ainsi ce genre de « prouesse », en l’espèce augmenter ou baisser le niveau de tension des courants électriques circulant sur le réseau d’un facteur 100 ! Ce fait est d’autant plus remarquable que mon propre lieu d’habitation est équipé de filtres à l’efficacité démontrée permettant d’atténuer notablement le niveau d’électricité sale, c’est-à-dire les surtensions présentes sur le réseau (en l’occurrence dans une gamme de fréquences allant de 10 kHz à 2 MHz). Or, les mesures que j’ai pu réaliser, chez moi et hors de chez moi, à la suite de l’apparition de la nouvelle anomalie électrique apparue le 14/09/23, mettent en évidence que les surtensions en question sont omniprésentes au niveau de la boucle de distribution d’électricité concernée, qu’elles sont permanentes, et que les valeurs mesurées sont partout les mêmes : d’où il faut conclure que les filtres que j’utilise sont inefficaces sur les surtensions en question et, en fait, qu’Enedis a trouvé le moyen de « contourner » l’action de ces filtres en injectant sur le réseau des courants alternatifs de fréquences immédiatement inférieures à celles sur lesquelles ces derniers sont actifs. Bien joué Enedis ! Mais, ne serait-ce pas l’attaque de trop ? Il faut savoir à cet égard que, dans la gamme de fréquences mesurée par la sonde (de 3 kHz à 10 MHz), je mesurais habituellement chez moi, du fait de l’action des filtres, des valeurs autour de 30 mV (mais toujours supérieures à 20 mV) : actuellement, les valeurs mesurées s’établissent autour des 1500 mV, c’est cinquante fois plus, et trente fois plus que la valeur limite de 50 mV, au-delà de laquelle, dans cette gamme de fréquences, le niveau de tension des signaux électriques est jugé indésirable pour des personnes souffrant d’électrohypersensibilité, ce qui est mon cas, comme Enedis le sait très bien !

Enedis me persécute avec un acharnement sidérant, chacun l’aura bien compris sauf à vouloir refuser les faits et nier l’évidence, parce qu’au fond j’apporte la preuve que c’est tout un pays qui se trouve actuellement sous une botte criminelle – pas seulement la botte d’Enedis d’ailleurs, mais aussi, indirectement, celle d’un lobbie industriel tout-puissant, dont vous êtes, Mme LAIGNEAU, un des membres très actifs : j’ai nommé le lobbie des soi-disant smart grids, des réseaux dits « intelligents », tellement intelligents que vous savez d’ailleurs parfaitement les transformer en instruments de torture et d’oppression ! C’est qu’Enedis, véritable relais institutionnel de ce lobbie, est prête, coûte que coûte, et à grands renforts de greenwashing (d’écoblanchiment en bon français), à faire prospérer son business très lucratif, fût-ce en cherchant à éliminer quiconque se mettrait en travers de sa route. CQFD.

Mme LAIGNEAU, je crains vraiment pour vous que l’attaque en cours ne soit l’attaque de trop. Il va bien falloir qu’Enedis rende des comptes : quant à vous, je ne doute pas un instant que vous finissiez par payer très cher vos « forfaitures » !

Salutations révoltées.

Ludovic GOUESBET

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