Nouvelle Publication du 30/01/2024 d'un article et d'une vidéo sur mon compte Linkedin (courriel à l'attention de M. Luc Rémont, PDG d'EDF, toujours en préparation) :
LINKYLEAKS FLASHBACK / Toutes les explications nécessaires à la compréhension de la vidéo suivante tournée le 14/09/2023, jour de l'apparition d'une anomalie réseau de très grande envergure (dont l'existence a été niée par Enedis, je le rappelle au passage : https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:linkedInArticle:7112020205035233280/).
Le lien vers la vidéo : https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:7158042705724342273/?originTrackingId=4s7hqfUjSzKdJ4GfzYOzfQ%3D%3D.
Première vidéo d’une série de quatre (toutes en possession de l'un de mes avocats), tournées le même jour, et dont la dernière a déjà été publiée : https://lnkd.in/evXJFjDB
Cette vidéo a été tournée entre 13 h et 14 h le 14/09/2023. Elle met en évidence que des gestionnaires de réseau, Enedis et, possiblement RTE, se sont livrés à des actes de sabotage du réseau électrique – un crime puni par la loi et passible de 15 ans de prison − dont le résultat a été l’apparition d’une anomalie réseau qui a déjà été signalée à divers acteurs institutionnels, dont le PDG même du groupe EDF, M. Luc Rémont, et diverses autorités, dont le Ministère de la Santé et de la Prévention (à travers, en particulier, une saisine du CORRUSS, en raison du risque sanitaire impliqué par une exposition continue aux émissions électromagnétiques engendrées par cette anomalie).
Votre message
À : REMONT Luc Sujet : EDF et son PDG à l’heure des choix : POUR OU CONTRE l’utilisation par Enedis du réseau électrique et du CPL Linky en tant qu’armes par destination
Envoyé : vendredi 12 janvier 2024 15:57:42 (UTC+01:00) Brussels, Copenhagen, Madrid, Paris a été lu le vendredi 12 janvier 2024 16:29:16 (UTC+01:00) Brussels, Copenhagen, Madrid, Paris.
Grâce à la vidéo, on assiste, comme en direct, aux réglages ayant permis la production de l’anomalie concernée : VOIR CE QUI SE PASSE APRES LA SIXIEME MINUTE DE LA VIDEO (valeurs de tension faisant le yo-yo entre grosso modo 15 mV et plus de 1400 mV, soit quasiment un facteur 100 entre ces valeurs !).
NB : au moment où j’ai tourné la vidéo, j’ignorais que les surtensions mesurées « contournaient » l’action d’atténuation de mes filtres (cf. infra).
Anomalie problématique en réalité à plusieurs titres : à côté de la dimension sanitaire, cette anomalie implique un gaspillage d’énergie électrique dépourvu de toute justification fonctionnelle, elle entraîne aussi une usure prématurée des lignes électriques et des appareils qui leur sont connectés (à titre d’exemple, chez moi, 2 lampes tactiles se sont déjà retrouvées HS, une multiprise, etc.).
Les caractéristiques de cette anomalie réseau sont les suivantes :
- Surtensions permanentes associées à des fréquences du courant électrique fourni autour de 5 kHz : l’utilisation d’un « mesureur d’électricité sale », sonde de tension permettant des mesures dans la gamme 3 kHz-10 MHz, donne constamment des valeurs de tension autour des 1400-1500 millivolts (mV), pouvant s’élever jusqu’à 1600 mV ou descendre jusqu’à 1250 mV, en fonction de l’état du réseau. L’activation d’un dispositif de filtres de limite basse 10 kHz s’avérant inefficace pour réduire cette pollution électrique, on doit en conclure qu’elle est effectivement associée à des fréquences du courant alternatif situées entre 3 kHz et 9 kHz.
- Emissions non-stop, 24h/24.
- Une zone géographique très étendue est concernée correspondant à une grosse pastille couvrant tout le centre de la France. Une dizaine de campagnes de mesures – des photos datées ont été réalisées à titre de preuves que je tiens à la disposition de la justice - a permis de constater que plusieurs départements sont concernés de façon certaine : l’Indre, le Cher, la Creuse, le Puy-de-Dôme (où j’ai séjourné en quête d’un refuge environnemental), etc. Dans la zone testée, il n’est pas un seul site où l’anomalie réseau n’ait été retrouvée (alors qu’une centaine de sites ont été testés). Ce seul fait constitue déjà par lui-même le signe indubitable d’une anomalie, car, en principe, d’un site à un autre, on peut trouver des écarts très conséquents dans les niveaux de tension mesurés, et, généralement, des valeurs, non pas à 4 chiffres (sauf présence d’appareils générateurs de pollution électrique type onduleur, chargeur de voiture électrique, pompe à chaleur, etc.), mais plus basses, à 2 chiffres (lieux avec une pollution électrique réduite), ou 3 chiffres (niveaux de pollution standard).
- L’étendue spatiale très considérable de cette anomalie conduit à penser qu’elle a été engendrée tout en amont du réseau de distribution d’électricité et donc au niveau même d’un site majeur de production. Au regard de la situation géographique de la zone impactée, on est conduit à penser, avec une forte présomption, qu’il pourrait s’agir de la centrale hydro-électrique d’Eguzon (une cinquantaine de km à vol d’oiseau de la commune où je réside : Neuillay-les-Bois).
- Dernière caractéristique et non la moindre qui donne toute l’explication de l’intérêt pour Enedis d’avoir souhaité le déclenchement de cette anomalie : la pollution électrique (et électromagnétique qui l’accompagne) n’est pas arrêtée, comme indiqué supra, par le dispositif de filtres équipant mon lieu d’habitation. On ne comprend rien à la survenue de cette anomalie si on ne la situe pas dans le contexte de la « guerre » que me livre la société Enedis depuis que j’ai osé l’attaquer en justice et mettre en cause le système Linky.
- Enedis est l’évidente et principale responsable de cette attaque commencée le 14/09/2023 (qui a été complétée le 17 décembre dernier par la reprise de l’anomalie Linky en durée, à la suite de l’intervention, un dimanche, d’un véhicule estampillé Enedis tout près de chez moi : https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:linkedInArticle:7142558424365428738/ ).
Nonobstant, vu l’ampleur géographique de l’anomalie apparue à la mi-septembre 2023, on est forcé de conclure que de hauts responsables au sein du groupe EDF ont agi en complicité avec la société Enedis pour provoquer l’anomalie en question (pour mémoire : Enedis, comme RTE, est une filiale à 100 % du groupe EDF).
Publié par
Ludovic Gouesbet Enseignant du secondaire (philosophie) au sein de l'Education nationale - 128 articles
Et transmis au Parquet de Châteauroux.