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Billet de blog 12 janvier 2015

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Drôle d’entretien sur France 2 par Pujadas et son invité Lilian Lepère

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Drôle d’entretien !

Drôle d’entretien sur France 2 par Pujadas et son invité Lilian Lepère

Drôle de communicateurs !

QUESTION : pour quelle raison son patron monsieur Michel CATALANO presse le jeune Lilian LEPERE d’aller se cacher ? Puisque les criminels avaient laissé partir toutes les autres ouvriers ? Quelle besoin bizarre de se « faire peur » tout seul ? Les frères Chérif et Saïd Kouachi avaient même noué des liens de sérénité avec le patron ?

Drôle d’entretient où le journaliste Pujadas oublie de poser des questions simples : à quel moment les deux criminels ont laissé partir le patron ? Avant l’arrivée des policiers ? Avant la sortie des criminels ? Parce que les choses sont bizarrement contradictoires, on n’arrive pas a avoir la bonne version des l’enchainement des faits.

On vient d’apprendre que le patron, monsieur Michel CATALANO a même soigné une blessure de l’un des criminels, monsieur CATALANO leur a offert même un café !

Bizarre la « prestation » (la très longue prestation sur le plateau de télévision) où chaque chose qu’on apprend ne donne pas des éclaircissements

Est-il possible que le jeune Lilian LEPERE n’ai reçu aucun appel sur son portable ? Aucun de ses amis en a essayé de l’appeler ?

Mais le plus surprenant de tout ce le changement de version des faits. L’on savait que monsieur CATALANO avait pris pour des policier ce couple de criminels et que sortant de son industrie l’un de ces criminels lui dit « partez… nous ne tuons pas des civils… » Phrase qu’a fait TILT et que après il est allé prévenir les policiers. On a entendu cette version dans toutes les chaines de télévision et de radios ! Ou bien ce n’est pas lui qu’avait dit cette phrase ? Mais comment les journalistes auraient put entendre cette phrase si monsieur CATALANO était encore dans son usine ? Et s’il était déjà dehors alors comment avait put soigner les blessures ?

Drôle de mise en scène où aucune émotion n’est venue toucher le plateau de télévision. Pourriez-vous monsieur Pujadas en faire une deuxième prise ?

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