Ils ont beau te haïr Hugo, poursuit ton chemin
Et les épines du capitalisme jamais n'auront raison de toi
Leur rage est désespoir, liées sont leurs mains
Peuvent-ils seulement combattre le peuple ébloui?
Chavez est au dessus d'eux
Sa cause est celle des preux
De ceux qui n'ont que leurs mains
Et dont l'espoir est demain
Qu'ils crèvent de leur rage les imprérialistes
Qu'ils se noient dans leur colère les capitalistes
Minoritaires ils sont sur cette terre amère
Nous les jetteront tous à la mer
Hugo, le Peuple te salue
Toi notre dignité, notre gloire
Ton courage est une sublime voie
Qui nous libére du Capital et de son poids
Comme Fidèl qui jamais n'a cédé
Je te salue oh! toi Hugo
Qu'ils crèvent de leur rage
Le monde n'est pas poésie!
M.