Le prix de l’éveil

C’est comme la fin d’une religion , d’un règne. C’est le grand tournant…
Le doute s’installe inexorablement, nos sens en miroir s’interpellent …Raisons et colères éveillent nos consciences abruties. le respect, la crainte se transforme en dégout. La fin de l’obscurantisme, de l’oppression est proche. Nos intuitions s’allument malgré les angoisses qui avilissent nos forces dépossédé. Le maigre éclairage obstrué devient par nos sens devenus aiguiser, un feu de joie. Nous sentons les dangers tel les bêtes de somme, mûrir de nous. Tristes de constater que nous ne sommes plus représentés par aucun gouvernements, notre bien être s’effrite, nous humons l’embrouille et notre regard s’affine en regardant derrière pour analyser notre futur de plus en plus restreint si nous continuons à laisser faire. Les preuves machiavéliques des l’entourloupettes suprêmes mondialisées pleuvent, au regard de nos frères Grecques, Espagnols …Portugais, Maliens… Irakiens, Ivoiriens, Centrafricains…Et Palestiniens qu’on laisse crever comme des chiens sans eau, sans électricité, sans vivres, médicaments et sans dignité. Nos automatismes dépressifs ont laissé détruire notre environnements et le peuplement de la planète.

Décidément que reste-t-il de notre humanité ? Aucune espèce n’est arrivée à ce point de non-retour Nous n’avons jamais été plus en danger qu’aujourd’hui. Cela tient qu’a un fil avec lequel il nous faut se lier pour rembobiner la vie.
Soit, le jeux d’impression de milliard de faux billets fini part imploser tout seul, soit ce sont les peuples qui le feront éclaté c’est inexorable… Risques sanglants. La dette est nôtre, nous l’avons laissée fabriquer. nous serons purgés pour la rembourser. Les leurres sont levés et au bout des lignes, nos élites frétillent encore sous nos nez d’esclaves dépossédés, calomniés, humiliés dans les gamelles de ces ogres psychopathes addicts qui ne peuvent plus s’arrêter de se goinfrer, tel des junkies. Nous nous sommes débattu bec et oncles pour ne pas voir en face notre image dégénérée. Nous avons planté nos têtes folles dans les sables mouvants, des espoirs vains, perdus d’avance. Nous ne voulions pas croire que nous puissions être capable de tels génocides contre nous-mêmes, contre l’humanité, contre la terre.

J’ai perdu en route des amis, de la famille qui se refusent de voir la réalité, c' est trop anxiogène pour eux ou bien ils n’ont pas encore été dépouillé. Cela viendra . C’est le prix de l’éveil.
Je ne suis qu’un passeur d’images parmi tant d'autres avec l’espoir simple de survivances. Nous n’avons plus rien à perdre. Nous n’avons plus rien , juste une dette , non fictive celle là , envers nous tous, envers la vie sur terre . Il nous faudra tout réinventer….
