Carnage à Gaza et bal des faux-culs
Commentant l’attaque du Hamas, trop de pleutres viennent susurrer : « Certes, ces terroristes sont des barbares, je les condamne sans réserve MAIS …». Même si l’on peut comprendre la révolte des Palestiniens dépouillés de leur terre par l’ONU, une abomination reste une abomination et on ne peut trouver de circonstances atténuantes à des meurtres de masse. Des crimes demeurent des crimes et les terroristes du Hamas ont ravi la vie de victimes qui, elles, sont innocentes et ont été tuées au hasard. Déjà des journalistes, plus sourcilleux qu’à l’ordinaire, se plaisent à baver : « ces visites de kibboutzim détruits sont organisées par l’armée israélienne, tiens, tiens », « restons prudents, on ne voit que des sacs mortuaires, les corps décapités ont-ils bien perdu leur tête sous un couteau ou suite à l’explosion d’un projectile ? ». Pourquoi devrait-on manifester des pudeurs de gazelle et « préserver l’équilibre » ? Quel équilibre pourrait donc exister entre deux parties dont l’une a fait de la mort une religion et dont l’autre accorde une telle valeur à une seule vie, qu’elle a accepté en 2011 d’échanger le sergent Gilad Shalit détenu dans la bande de Gaza contre la libération de 1027 prisonniers palestiniens ?
Honte éternelle à tous ces hypocrites ignobles, incapables du moindre sentiment humain !
Michel W.