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Billet de blog 25 octobre 2015

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Après le licenciement, le refus de donner des machines

Après le licenciement de près de 320 personnes, Impérial refuse de donner pour un Euro symbolique des machines déstinées à la casse.Je suis à l'initiative d'un projet de scop, visant à fabriquer une cigarette "bretonne", dur combat que celui de créer ou de sauvegarder des emplois en France.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Après le licenciement de près de 320 personnes, Impérial refuse de donner pour un Euro symbolique des machines déstinées à la casse.

Je suis à l'initiative d'un projet de scop, visant à fabriquer une cigarette "bretonne", dur combat que celui de créer ou de sauvegarder des emplois en France.

En effet, après avoir reçu un accord de principe sur la cession des matériels de fabrication déstinés à la féraille, nous avons travaillé dur pour fournir un prévisionnel et un business plan à ITG (préalable à la cession des groupes de fabrication). Hors, le jour de la présentation de ces documents (28 septembre 2015), sans réelle consultation de ces derniers, notre DRH nous annonce froidement que la porte de la cession est et restera fermée.

Que de temps perdu pour nous, pour ces salariés déjà licenciés qui croyaient à ce projet.

Mais ne renonçant pas facilement, nous avons en projet de faire du tabac à rouler avec du matériel acheté. La donne ne sera pas la même, moins de salariés, pas de cigarettes, mais une envie de créer une scop avec une juste répartition des richesses et la satisfaction de travailler pour soit et pas pour rémunérer un actionnaire trop gourmand.

Ce sera également l'occasion de développer nos réseaux pour travailler avec un maximum de produits locaux.

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