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Billet de blog 15 novembre 2013

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La « modération » du journal Nice Matin.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

La « direction éditoriale » de certains médias, devrait pouvoir être, « interpellés» par les lecteurs. Comme nous le faisons, parfois, en citoyens responsables, envers, entre autres, certains « torchons » qui nous donnent, comme disait, Pierre Desproges, à propos du journal (Minute) « la nausée et les mains sales ».

Nice Matin, ne me donne (pour l’instant) ni, « la nausée » ni, « les mains sales » mais je l’interpelle !

Depuis début Février 2012, plus de 950 commentaires postés, par une  « Azuronaute » sous le pseudonyme de « Gigi la Niçoise »,  ont été publiés dans le journal NICE MATIN, et, plus d’une centaine d’autres, « modérés », donc, supprimés.

Exemple : Ce commentaire, concernant l’article : Bijoutier de Nice: le second braqueur présumé en prison. Publié par Nice Matin le vendredi 08 novembre 2013 à 21h 23. « Gigi la  Niçoise », : Pourquoi mon message a-t-il été supprimé par le service de modération de Nice Matin ?........Était-il, injurieux, diffamatoire ou raciste, attentatoire aux bonnes mœurs, à caractère violent ou pornographique, susceptibles par sa nature de porter atteinte au respect de la personne humaine et de sa dignité, de l'égalité entre les femmes et les hommes, de la protection des enfants et des adolescents ou, encourageait-il, la commission de crimes et/ou délits, incitait-il, à la consommation de substances interdites, de messages incitant à la discrimination, à la haine ou la violence, était-il, hors sujet, était-il, publicitaire, répétés (par accident ou volontairement), ou agressifs envers un autre internaute ? Je vous demande, instamment et avec la plus grande vigueur, de lire, à nouveau, mon commentaire supprimé, avec la grille de lecture de la charte de Nice Matin, dont vous avez un aperçu ci-dessus, et, soit, de le rétablir dans son format d’origine, soit, de ne pas supprimer celui-ci.

Ci-joint, mon commentaire supprimé,  (Posté le 11/11/2013 à 08h28) : « Les guillemets ironiques, (c'est leur appellation grammaticale) désignent une utilisation particulière des guillemets pour indiquer que le terme ou l'expression mis en exergue n'a pas sa signification littérale ou habituelle. Ils sont utilisés pour prendre ses distances avec le terme ou l'expression mise en exergue. Ainsi, un journaliste pourra rapporter un terme susceptible d'être considéré comme diffamatoire en l'entourant, par prudence, de guillemets. Si le « modérateur » d’un journal, supprime le commentaire contenant, les guillemets en question, c’est, soit, qu’il ne sait pas lire correctement le français, soit, qu’il a reçu des instructions de suppressions, données par le rédacteur en chef, parce que, la « rédaction en chef » considère que certains lecteurs sont incapables de lire correctement la signification de ces guillemets et donc risquent de croire, à tort, que la phrase a un sens diffamatoire, ce qui est l’inverse de ce qu’a écrit l’auteur du commentaire supprimé, puisque, l'expression, ou, le mot, mis en exergue n'a pas sa signification littérale ou habituelle……………Lorsque « Alyssia » poste le commentaire suivant, (je cite un extrait) : Ben c'est sûr c'est un "bicot", Carrossois comme le braqueur, et qui a quitté la France le lendemain du braquage...Forcément c'est lui coupable...(Fin de citation).

Alyssia, n’affirme pas cela de façon diffamatoire et au premier degré, mais, AU CONTRAIRE, elle s’indigne, s’insurge et…. fustige, CEUX QUI DIFFAMENT REELLEMENT. ………..Gigi la Niçoise. ». (Fin de citation du commentaire de « Gigi la Niçoise).

Qu'est-ce que, ce type de suppression, peut signifier ? Le « modérateur »

ne saurait-il pas lire, correctement, le Français ? Ou, serait-ce, le rédacteur des rédactions de Nice Matin (en l’occurrence, Mr Olivier Biscaye) qui, en prenant ce genre de décision, se comporterait, en, « pourvoyeur d’ignorance » ? Cette, deuxième supposition, si elle était avérée, serait d’une gravité extrême. En effet, « Peut-ont, rédiger, dans un « média de masse » un article, en tenant compte, du fait, que certains lecteurs sont incapables de lire correctement la signification de la typographie (usage des espaces, de la ponctuation, (donc des guillemets), des majuscules, des abréviations, de l'italique pour les titres des livres et des journaux, etc.) ?  Et, doit-ont supprimé un commentaire écrit en Français qui tient compte, de la typographie correcte, parce que, certains lecteurs, ne maîtriseraient pas correctement la langue française, et risqueraient de croire, à tort, que la phrase a un sens diffamatoire ?

Si, un média de masse, n’a pas, officiellement, une « vocation éducative » il y contribue néanmoins, de façon, positive ou négative. Ceux qui savent que l’ignorance est la cause de tous nos maux, ont une responsabilité à laquelle ils ne peuvent pas se soustraire sous peine d’être interpellés et mis en cause, pour, « complicité » avec les « pourvoyeurs de souffrances ».  

 Dans un autre commentaire de « Gigi la Niçoise » il est question de significations grammaticales. (Ci-joint ce commentaire, concernant un « éditorial » : Le billet d'Olivier Biscaye, directeur des rédactions: "Enfin, moi président"

Publié par Nice Matin le mercredi 13 novembre 2013 à 08h58.

 Gigi la Niçoise

Posté le 13/11/2013 à 15h48.

Monsieur Biscaye, lorsque, à propos de la situation dans laquelle se trouve le Président Hollande, vous écrivez : « une chienlit sans nom qui impose au chef de l’Etat un courage hors du commun, une expression franche, inique pour tout dire. ». Utilisez-vous le mot «inique » dans le cadre d’une… paronymie ? Qui, comme vous le savez est un rapport lexical entre deux mots dont les sens sont différents mais dont la graphie et/ou la prononciation sont fort proches, de sorte qu'ils peuvent être confondus à la lecture ou à l'audition. On pourrait dire qu'il s'agit d'une homonymie approximative. Je pense dans le cas de votre texte à (inique/unique). Il peut également s'agir de votre part d’une figure de style : la paronomase, qui consiste à rapprocher des paronymes au sein du même énoncé, ou plus précisément une Paronomase implicite, un type particulier de paronomase, dans lequel le rapprochement n'est qu'implicite, car seul l'un des deux paronymes est cité. En fait, celui qui est cité prend la place de l'autre, dans une phrase où c'est l'autre que l'on attend. Par exemple dans « pour respirer un peu d’airs vrai », ce n'est pas « vrai » qu'on attend, mais « frais », bien qu'il ne soit pas cité. Et dans le cas de votre phrase : « un courage hors du commun, une expression franche, « inique » pour tout dire. » C’est « unique » que l’on attend. Mais évidemment je peux me tromper et peut-être avez-vous employé « inique » dans sa signification première qui est : Qui n'est pas juste, pas égal ; qui manque d’équité. Je vous remercie de m’avoir lu……………Gigi la Niçoise. (Fin de citation)

Le commentaire, ci-dessus, a, également été supprimé, pourquoi ? Mr Olivier Biscaye, rédacteur en chef, pensait-il avoir été « pris en flagrant délit » de rédaction   incorrecte de la langue française ?  La « leçon » (qui n’en était pas une) de grammaire, était-elle incompatible avec son lectorat ? La critique, même, « la plus subtile », de son « saint » texte, malgré les précautions de l’auteur du commentaire, était-elle, inadmissible ? Ou peut-être, a-t-il employé le mot « inique » à bon escient, (selon son point de vue, ce qui serait, dans ce cas, admissible) signifiant par l’emploi de ce mot : « une chienlit sans nom qui impose au chef de l’État un courage hors du commun, une expression franche, (injuste, inéquitable) pour tout dire. » Et cela, en lieu et place du mot que l’on attendait : « unique ». Si, telle était sa réelle intention, alors, mon présent « billet », n’est constituée que, d’arguties inutiles.

Marc Francis.

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