COMPLICES DE CRIMES DE GUERRE
Combien faudra-t-il encore de morts, d’enfants, de vieillards et de femmes massacrés sous les obus des avions et des chars de l’armée Israélienne, pour que l’on puisse constater un frémissement d’émotion chez les commentateurs de nos chaînes de télévision ? Jusqu’à quel point peut-on être emplis de haine quand un enfant palestinien n’a pas droit à la même compassion qu’un enfant israélien ? Combien faudra-t-il de morts en Palestine pour que l’on considéra qu’il s’agit d’un crime de guerre. Et puisque nos honteux commentateurs télévisuels évoquent souvent l’antisémitisme à l’égard des populations d’origine juive, à combien estiment-ils répréhensibles, le nombre d’arabo-musulmans tués pour y voir du racisme. Le ministre de la Défense Israélien YOAV GALLANT est-il exonéré d’appel au meurtre lorsqu’il dit à propos des gazaouis : <ce sont des animaux, nous allons les traiter comme des animaux <
Comment cela se nomme-t-il : NETOYAGE ETHNIQUE, GENOCIDE ?
Je laisse à nos amis Israéliens le soin de choisir leurs soutiens, mais je me permets une simple remarque sur la valeur de la compassion des Lepénistes liés historiquement à ceux qui furent les bourreaux du peuple juif.
Une seule solution s’impose pour un règlement pacifique de ce terrible conflit : cessez-le -feu et création de deux Etats indépendants. Pour la paix des peuples Israélien et Palestinien, pour la paix du monde. Que nos zélés commentateurs de la télévision surmontent leur parti-pris et usent de leur privilège pour rendre l’humanité plus vivable.