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Billet de blog 24 janvier 2015

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Le climato-scepticisme comme genre littéraire

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Oulala, il est courageux Hubert Reeves : un écologiste de conviction qui s'exprime sur le site du Point.fr, ce serait comme Mélenchon d'aller parler sur le site de Valeurs Actuelles :

http://www.lepoint.fr/invites-du-point/hubert-reeves/reeves-le-temps-d-agir-nous-est-compte-21-01-2015-1898203_1914.php

C'est vrai, on oublierait presque que c'est la mer qui fournit l'essentiel de l’oxygène que nous respirons, ce qui semble menacé en cas de trop forte pollution aux phosphates venant des cours d'eau terrestres.

Bon, cela n'a pas empêché un brillant commentateur climato-sceptique de laisser libre cours à ses obsessions. Je copie-colle car je trouve cela assez drolatique, un modèle de ce genre littéraire à part entière :

"Hubert Reeves, à l'origine astrophysicien spécialisé en phénomènes thermonucléaires dans les étoiles, s'est reconverti en militant écologique et en partisan du réchauffement climatique anthropique. Il fait partie de la mouvance des caniculs-bénis, avec le glaciologue GIEC-subventioné Jean Jouzel, le charlatan Al Gore, Nicolas Hulot, José Bové, Noel Mamère, les militants de Greepeace, du WWF et autres bobos...
Hubert Reeves est médiatiquement rentable, grâce à son accent québéco-bourguignon et à sa barbe de prophète.
Remarque : la science nommée "climatologie" n'existant pas, les "climatologues" sont donc des "scientifiques" auto-proclamés"

ah ah ah ah ah

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