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"Aussitôt élu, le vainqueur croit l’être sans partage : son mandat ne saurait avoir de limites. Trop de maires, plutôt dans les villes où l’argent n’est pas rare, se comportent en tyranneaux, imposant à des majorités prosternées des choix qu’ils ont seuls inspirés. Le maire n’est plus seulement le premier : il est le maître et tout doit s’incliner quand il commande !"Eric de Montgolfier, ancien procureur

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Billet de blog 7 mai 2021

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"Aussitôt élu, le vainqueur croit l’être sans partage : son mandat ne saurait avoir de limites. Trop de maires, plutôt dans les villes où l’argent n’est pas rare, se comportent en tyranneaux, imposant à des majorités prosternées des choix qu’ils ont seuls inspirés. Le maire n’est plus seulement le premier : il est le maître et tout doit s’incliner quand il commande !"Eric de Montgolfier, ancien procureur

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Valérie Pécresse, n'appelez pas "écologique" ce qui n'est qu' "écu-logique"!

Valérie Pécresse offre à VJeanbrun, le label "écu-logique" pour ses réalisations de saccage de squares, de bitumage et de pavage des espaces verts, de détérioration de la Roseraie de l'Haÿ-les-Roses

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"Aussitôt élu, le vainqueur croit l’être sans partage : son mandat ne saurait avoir de limites. Trop de maires, plutôt dans les villes où l’argent n’est pas rare, se comportent en tyranneaux, imposant à des majorités prosternées des choix qu’ils ont seuls inspirés. Le maire n’est plus seulement le premier : il est le maître et tout doit s’incliner quand il commande !"Eric de Montgolfier, ancien procureur

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Illustration 1

Label accompagné d'une subvention de 4 millions d'euros, payée par les Franciliens et qui part en réalité  directement à l'aménageur Citallios. 

Grâce à cette manne de Valérie, le coût des travaux payés par les l'Haÿssiens, au lieu de diminuer, a augmenté d'autant. Bizarre...

D'autre part, VJeanbrun supprime du projet l'équipement public, une salle polyvalente, sans supprimer son coût de 800 000 euros mais en le rajoutant au prix déjà faramineux d'une place de 3000m2, prix atteignant maintenant la modique somme  de 6,1 millions d'euros, c'est à dire du 2000 euros/m2 pour de l'enrobage et des petits pavés. Bizarre...

Quant à la Roseraie de l'Haÿ, dite "Roseraie du Val de Marne",  privée de son  square qui la protégeait de la ville et la mettait en valeur sur sa partie Nord, elle évolue très négativement et dans l'indifférence générale. Elle est pourtant officiellement un conservatoire unique en France de rosiers botaniques rapportés au 19 ème siècle des quatre coins de la Terre et de rosiers horticoles anciens.Y survit encore la fantaisie des  multiples hybridations  qui ont été tentées par l'homme au 19 ème et au 20 ème siècles. A la mort de Jules Gravereaux en 1916, elle comptait 8500 espèces botaniques et variétés. Aujourd'hui dans le monde, on parle de 45 000 espèces et variétés de roses.

A l'Haÿ? Entre 2000 et 3000 seulement. Il faut protéger la biodiversité de la Roseraie de l'Haÿ  et reconstituer ses collections quand cela est possible.

La Roseraie ne doit pas  servir d'appât pour la promotion immobilière.

Il serait logique d'attribuer un label écologique à un projet qui aurait pour but de sauver la Roseraie de  l'Haÿ-les-Roses alors que le projet actuel  est uniquement "écu-logique".

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