Marie Balaguero (avatar)

Marie Balaguero

Etudiante

Abonné·e de Mediapart

11 Billets

0 Édition

Billet de blog 30 novembre 2020

Marie Balaguero (avatar)

Marie Balaguero

Etudiante

Abonné·e de Mediapart

Police armée contre peuple opprimé.

Notre beau pays est en souffrance tout comme son peuple...Ne faisons plus la sourde oreille et battons nous pour nos droits. Organisation!

Marie Balaguero (avatar)

Marie Balaguero

Etudiante

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Nous vivons actuellement une période relativement sombre depuis que notre « cher » Macron a décidé que la vie du petite peuple n’a aucune valeur…Nos cris, sourds, ou stridents, ne sont plus suffisants pour leur faire comprendre notre désaccord total envers les mesures mises en place ; que ce soit pour la gestion du covid-19, pour la gestion des biens publics, nos diverses déclarations imposées, la suppression de l’ISF, les prix en augmentation, et nous subissons également, nous, les personnes précaires sans argent ou boulot, des mesures de plus en plus loufoques qui musèlent nos libertés, limitent tous nos droits, comme ceux fondamentaux de rester en vie dans de bonnes conditions…

Le gouvernement donne du pouvoir aux haut-placés qui pillent les plus précaires, ouvrent des opportunités de sortir de cette situation aux plus riches…Et bien sûr on opprime librement la liberté d’expression en autorisant les forces de l’ordre (agents pénitenciers, policiers, gendarmes, CRS) à être protégées quelques soient les crimes et les bavures qu’ils commettent. Tout ça on pourrait l’éviter avec une grande organisation du côté de tous ces gilets jaunes, black blocs, militants écologiques et tous ces citoyens lambda qui comprennent facilement que ce gouvernement veut nous ensevelir dans un pays autoritaire ; où ils sont sûrs et certains que les plus démunis veilleront à suivre, et bien sûr, on a l’outil nécessaire pour faire taire les masses…on nous sort des muselière pas efficaces à 100% contre le virus mais efficaces en termes de peur et de contrôle...Tout est mis en place pour que notre police fasciste nous pousse à subir de violentes attaques de leur part.

Nous, le petit peuple, avons été témoins de trop de changements en très peu de temps…Un seul banquier à la tête du pays aura suffi à comprendre ce que ça fait de se prendre une fessée qui a tellement résonnée dans le temps et l’espace, que même à l’internationale on plaint les français pour leur mauvais goût à l’heure de choisir un représentant politique. La loi travail, la baisse des aides (APL par exemple) la loi sécurité globale (un nouveau bâillon, moins esthétique qu’un masque à paillettes), repousser la retraite à 63  ans quand le sénat est vide quasiment toute l’année….On vote notre servitude avec grand plaisir et nous on applaudit les soignants au lieu de tous nous soulever contre ce pouvoir dictatorial qui ne veut qu’une chose : Nous exploiter en usant de nos peurs et nos faiblesses, en limitant nos moyens d’agir autant que faire se peut…Nos hôpitaux se meurent, nos écoles ressemblent de plus en plus à des prisons…Et gare à ceux et celles qui oseraient ouvertement dénoncer la situation car, mes chers camarades…Les détenus politiques existent…D’où le fait que de nombreux Gj ou journalistes se retrouvent eux aussi menacés de passer du temps en cellule…Là où à priori nous appartenons…Après tout si la muselière ne suffit pas, il existe d’autres moyens de nous faire taire.

La question que je me pose est : ferez-vous partie de la foule silencieuse qui écoute le président pour décider de la suite de nos vies, ou serez-vous comme l’animal rebelle qui refuse d’obéir à son tortionnaire pour regagner la liberté volée ?
Personnellement je refuse ouvertement de partir directement vers une société comme celle déjà établie en chine ou dans d’autres pays où la force prime sur la raison. Qu’est-ce qui effraie autant les français dans le fait de voter un président comme pourrait l’être Poutou ? Je me pose la question…Tout comme je me demande pourquoi on s’acharne à suivre des scélérats plutôt que de construire, tous unis, une société nouvelle, loin du capitalisme et ses désastreuses conséquences. On permet aux hautes instances de nous utiliser comme gagne-pain quand sur nos tables il en manque…On leur permet de décider de tout quand sans nous ils ne seraient rien d’autre que des hommes et femmes en costard cravate avec l’indispensable outil : l’attaché-case de la honte.

Il est de notre devoir d’agir en conséquence…D’inonder les rues et de faire entendre l’écho de notre profond désaccord et tristesse. Levons le poing bien haut, ne laissons pas les lois liberticides décider de nos mots et nos actions et surtout, surtout, n’oublions pas tous ceux et celles qui ont été victimes de violences policières…Si on les laisse vaincre, on n’aura plus aucune chance de garder tous ces droits acquis au fil des années et des révoltes. La France n’est-elle pas connue pour ses révolutions ? Faisons-lui donc honneur en étant les révoltés d’une république meurtrière et illogique.
Votre fière et dévouée journaliste amatrice, bloquée en campagne faute de transports, qui malgré tout, restera a vos côtés quoi qu'il arrive.
Marie Balaguero.

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.