Génocide

J’avais commencé, début mars, à mettre en pile les exactions commises par Israël . Même avant le 1^er mars, on avait compris que la deuxième phase du cessez-le-feu ne serait pas implémenté. Depuis 15 jours, on voit en accéléré ce qu’Israël fait en Palestine depuis 80 ans : Génocide

Dans les Territoires Occupés :Les troupes israéliennes n’ont plus de limite : plus rien n’est interdit.

Pendant toute la période de « trêve » Israël a perpétré des attaques et des expulsions dans les Territoires occupés, à Jénine, qui a été fermée et sous blocus pendant plus de trente jours, à Tulkarem, à Hébron, à Naplouse. (voir post précédent)

Les témoignages ne laissent plus de place aux doutes:

La censure à Hébron

1er février 2025, G. Lévy et A. Levac racontait ceci dans le journal Haaretz:

La censure militaire a trouvé une nouvelle cible et une nouvelle tâche a été attribué aux gardes militaires qui molestent les Palestiniens aux checkpoints : la fouille des téléphones.  Au cœur du mois de janvier,le quotidien Haaretz racontait l’histoire de Fatma Jabbar, une mère de sept enfants bénévole pour l’association B’TSelem, qui a reçu des coups et subi des humiliations par les troupes stationnées à Hébron, parce que son téléphonait contenait une vidéo d’un soldat des forces d’occupation qui molestait un enfant palestinien handicapé. Cette semaine, il apparaît que ce cas n’est pas exceptionnel mais fait parti d’une routine quotidienne établie . Les soldats ont fouillé les contenus des téléphones portables des Palestiniens passant les checkpoints à Hébron ( pour rejoindre le quartier H2) et ont soumis les Palestiniens à de la maltraitance, des abus. Chaque photo ou vidéo qui ne plaît pas aux soldats conduit à des coups, des interrogatoires et à la détention.

Par exemple, un activiste palestinien a été arrête et molesté sous prétexte d’une vidéo dans son téléphone qui montrait que les forces armées occupantes avait tiré 20 balles sur des maisons familiales à Gaza: l’un de ces balles tué la petite Laila, 2 ans. Il n’y a pas d’Auschwitz à Gaza, mais il y a le génocide.

D’après l’enquêteur pour B’Tselem de la ville d’Hébron ,Manal Jabari, 70 pour cent des habitants du quartier qui héberge un peu moins de 1000 colons et est sous contrôle militaire, ont subi des abus parce que leurs téléphones contenait des choses plus ou moins ostensiblement interdites.Quelquefois la vidéo est un simple clip d’une chaîne d’info, ou une image d’un soldat ou de colons qui circule sur les réseaux sociaux, ou la photo d’un palestinien armé

Ainsi l’histoire d’une autre famille Jabbar. Omar et Ayman, deux frères âgés de 41 et 30 ans illustre cette nouvelle réalité de manière flagrante : les deux frères souffrent d’un handicap. Ayma subit une dégénérescence musculaire et Omar a une plaque de platine dans la jambe suite à un accident.

Mais les soldats n’ont aucune intention de prendre en compte leurs handicaps : ils s’en fichent. Omar a été roué de coups deux fois dans la même semaine , ce qui a nécessité une hospitalisation Dans toutes leurs actions, il semble bien que les soldats n’aient jamais entendu parlé des droits de l’homme, du droit à la vie privé, et de la liberté d’expression.

En tout cas pas les troupes qui surveillent les checkpoints qui assument avoir le droit de faire subir ce qu bon leur semble aux Palestiniens.

On a rencontré les deux frères dans le bureau du défendeur des droits d’Hébron la semaine dernière. Ce bureau est situé au dessus du checkpoint d’Hébron à l’entrée de Shuhada Street, dans le vieux marché . Deux femmes qui passaient par là racontaient qu’elles avaient été retenues plus d’une demie heure au checkpoint avant de pouvoir passer. Les soldats étaient occupés à autre chose, bien sûr. Omar, l’un des eux frères est marié et père de 4 enfants . Il enseigne les maths dans une école élémentaire pour garçons, tandis que Ayman est directeur d’un magasin de vente de vêtements en ligne. Alors qu’il entrait chez lui et téléphonait à son frère pour arranger une rencontre, Ayman l’informa qu’il était retenu au checkpoint du quartier A-Ras. Omar s’y rendit en vitesse et fut à son tour arrêté.

Les soldats lui ont ordonné de mettre les mains dans le dos, puis ils se mirent à fouiller ces messages WhatsApp. De quel droit? Sous quelle autorité ? Ce sont des questions qu’on ne se posent pas à Hébron.Ils lui ont ordonné de s’agenouiller, Omar leur a expliqué qu’il avait une plaque dans la jambe, les soldats ont répondu qu’ils s’en fichaient. Le maître d’école a été retenu pendant deux longues et douloureuse heures, sur le sol, au checkpoint puis emmené dans un bureau où ils l’ont menotté et placé dans la jeep blanche de l’armée qui est devenu un symbole pour les Palestiniens des quartiers d’Hébron.Nous entendons parler sans cesse de ce véhicule effrayent qui emmène les gens loin de chez eux..

Omar a été emmené dans un terrain en plein air et forcé de ramper sur les genoux. Un des soldats a pointé une arme sur sa tête et a menacé de tirer. Plusieurs soldats l’ont frappé, d’autres l’ont maudit, l’on forcé à répété des phrases en hébreu, comme Netanyahu, roi d’Israël où longue vie à Israël.

Vers 18h30, ils ont relâché Omar près du poste de police a Kiryat Arba, la colonie urbaine d’Hébron, lui ont rendu son téléphone et lui ont dit de ne jamais rien sauvegarder dessus. Ayman, quant à lui, a été arrêté vers 9 h du matin peu après avoir quitté son domicile et détenu à A-Ras. Les troupes ont pris son téléphone et sa carte d’identité. Il a essayé de leur dire qu’il souffrait d’une maladie dégénérative, ce qui ce remarque et leur a montré les papiers médicaux. Mais rien n’y fait. Dans son téléphone, ils ont trouvé la photo d’un palestinien armé qui circulait sur les réseaux sociaux. Les yeux bandés, menotté, il fut emmené au poste de Givat Harsin dans le quartier de Kiryat Arba.

On lui a retiré sa chemise, et on l'a forcé a s’asseoir sur un banc métallique. Il avait froid. Il se souvient avoir été bousculé et les soldats s’amusaient à le faire tomber. Après un moment,il se sentit mal et demanda à ses bourreaux de lui tirer dessus. Il a perdu connaissance et quand il a demandé à ces ravisseurs de relâcher un peu la tension des menottes, ils les ont serré encore plus fort. Ils l’on également forcé a chanté des chants israéliens à la gloire d’Israël , avant de le relâcher vers le poste de police.

Les deux frères ont mis du temps à se remettre des ces épreuves. Une semaine plus tard, Omar et son neveu de 12 ans subissaient encore les agressions des soldats, qui ont essayé leurs armes sur eux. Les soldats leur ont ordonné de se déshabiller au checkpoint. Le maître d’école refusa mais fut obligé après que les soldats menacèrent de le tuer. Une fois de plus, ils lui prirent son téléphone , une fois de plus il fut menotté, traîné sur le sol et battu , sa tête dans un sac en plastique, ne pouvant plus respirer. Le petit fut relâché pendant ce temps. Une fois de plus, l’effrayante jeep blanche apparut et Omar fut jeté dedans. Il se souvient avoir été frappé à la tête avec un transistor et emmené dans une pièce où les soldats parlaient à la radio. Certains lançaient des insultes contre le Hamas, d’autres pendant ce temps le battait. Vers 16h30 il entendit une conversation avec la coordination palestinienne et le bureau de liaison, pendant laquelle il fut dit aux soldats que leur captif souffrait d’un handicap. Ils continuèrent a le molester jusqu’à ce qu’un agent du Shin Bet ( la sécurité intérieure -) fit irruption et lui montra une photo dans son téléphone montrant un palestinien armé d’un fusil. « Savez-vous qui il est ? », lui demanda-t-il. Omar répondit que la photo venait d’un site internet arabe et circulait sur les médias sociaux. Ils fut emmené au poste de Givant Harsina qui est surveillé par des policiers et des colons, en tenue civile. Les colons ont commencé a le frapper, mais les soldats les arrêtèrent et se mirent à frapper eux-mêmes. Ils l’ont ensuite conduits au checkpoint et lui ont ordonné de fuir : «  Je compte jusqu’à 4, et je tire ! » Omar s’est précipité, les mains toujours menottées et sa jambe le faisant souffrir. Il s’est réfugié dans une maison sur son chemin. Les habitants l’ont détaché et l’ont fait emmené à l’hôpital. Le médecin de garde à fait son rapport avant de le renvoyer chez lui : saignements dans les jambes et l’estomac suite à des coups sévères.

Haaretz a rencontré le porte-parole des forces armées cette semaine et a demandé des renseignements à propos des deux affaires : «  Cela fait partie de la routine de détenir des personnes pour vérifier les contenus de leurs téléphones pour voir si il y a des photos de palestiniens armés ou de nos soldats ..Nous avons fait des arrestations et des interrogatoires mais nous faisons remarqué qu’en aucun cas nous avons fait usage de la violence . » Nous avons demandé au porte-parole pourquoi les deux frères Jabbar avaient été détenu, mais l’armée a choisi de ne répondre qu’au sujet d’un seul « suspect »

Un journaliste américain qui nous a accompagné le jour de notre visite a demandé a Omar quel était le but de tout ceci. « L’humiliation » , a -t-il répondu « nous mettre la pression pour qu’on parte. Tout le quartier subi la même chose,chaque jour. Un jour, je raconterai cela à mes petits-enfants. »

Le nettoyage ethnique de la  vallée du Jourdain:

Des soldats israéliens ont violemment agressé des frères palestiniens. Lorsqu'ils se sont plaints, la police militaire s'est moquée d'eux.Les deux frères ont déclaré que les soldats les ont battus, leur ont craché dessus et leur ont jeté des objets, laissant l'un d'eux avec une main cassée et des blessures génitales. Lorsque leur avocate s'est plainte des rires des enquêteurs de la police militaire israélienne pendant le rapport, on lui a répondu qu'ils « étaient jeunes et ne pouvaient pas s'en empêcher (Haaretz) Les deux frères ont toujours suivis les règles . Ils ont appelé la police , remplis des dossiers de plainte, et fait appel aux administrations civiles et militaires. Depuis que la guerre contre Gaza a commencé le 7 octobre 2023, ils n’ont cessé d’alerter à propos des colons qui installent des avant-poste près de chez eux. Ces colons les harcèlent,battent leurs enfants,attaquent leurs troupeaux . Ils font irruption dans leurs maisons à toute heure, rien ne les arrête. Pendant le premier weekend de mars, eux et cinq autres familles ont été expulsées de chez elles par des colons armés, certains d’entre eux pratiquant ces expulsions vêtus de leurs uniformes de l’armée.

Massafer Yatta:

Voici le témoignage de Basel Adra, tout juste rentré des Oscars..

"Ce matin là, le lendemain de mon retour de la cértemonie des Oscars. un groupe de colons masqués ont fait irruption chez mes voisins, ont attaque la famille avec des bombes à poivre. Ils ont détruis les téléphones des résistants, tandis qu'n autre groupe attaquait une autre famille du quartier avec des pierres. La politique de terreur et de destructions des propriétés et des vies palestiniennes continuent. Il y a une semain, j'étais aux Oscars et j'étais fier de lancer un appel au monde pour arrêter le nettoyage ethnique du peuple palestinien. J'ai conté en quelques mots ce que subissaient les communautés à Massafer Yatta. Je vous encourage à aller voir le film, si ce n'est pas déjà fait, et j'espère que vous allez nous rejoindre de quelque manière que ce soit dans notre lutte contre l’occupation, jusqu à la fin."via @kivsa_shchor

Jenine:

Pendant ce temps,des maisons ont été bombardées tout au long du mois de février à Jenine. Des pères de famille reçoivent l’ordre de quitter leurs maisons avant que celles-ci ne soient détruites par l’occupant.Beaucoup de maisons ont été bombardé, des familles entières déplacées. Les recommandations des Nations-Unies ne sont pas du respectées ni même écoutées. L’intention génocidaire n’est plus un secret pour personne. Israël cible la totalité du peuple palestinien, selon Francesca Albanese. Toute l’entité devant constituer l’état palestinien est prise pour cible par Israël qui exige que toute la terre, de la mer au Jourdain et au-delà si possible,devienne une entité sioniste.

Nous avons dépassé le délai d’attente.. il faut agir,pour les stopper.Le ministre des affaires étrangères slovène a affirmé que le déplacement forcé des Palestiniens et l’annexion des territoires occupés sont illégaux et absolument inacceptables.. La Jordanie et l’Égypte rejettent le déplacement forcé des Palestiniens en tant que violation patente du droit international.

Bethléem:

En février, nous avons aussi été témoins, à Bethléem, d’attaques de colons qui ont pompé l’eau des égouts pour arroser les cultures palestiniennes avec, sur les terres d’un village nommé Kisan. Le secrétaire du Fatha à Kisan a raconté aux journalistes de Wafa que des colons venant d’une installation illégale ont pompé les eaux usées pour en asperger les cultures . Cet acte malveillant,fréquent, cause des maladies et empêche les agriculteurs de faire pousser le blé, et l’orge. Ces actes ont aussi des effets négatifs sur le bétail. Plusieurs bêtes sont mortes suite au contact de ces eaux usées. Dans la vallée du Jourdain, les résidents de Khirbet Samra sont les descendants de tribus bédouines qui ont été déplacés du  désert du Naqab en 1948.Certaine familles ont aujourd'hui décider de fuir les collines devant la violence incessante et soutenue des colons. Israel est en train de parachever l'annexion de la vallée du Jourdain. Le long de la Route Allon, construite pas Isarel en 1970 pour annexer le territoire à l'est de cette route. Cela fait des décennies que le nettoyage ethnique se poursuit et se consolide dans la vallée du Jourdain. Il s'est accéléré ces deux dernières années. 100 000  dunams de terre ont été vidés de leurs habitants palestiniens , d'après des ONG israéliennes sur place (Yesh Din et Physicians for Human Rights). On rapporte des vols de troupeaux, des incursionc violentes dans les habitations,des déportations dans la vallée. Ces exactions sont encore plus nombreuses depuis qu’Israël a lancé l'opération Murs de Fer en janvier. Cette offensive a forcé 40 00 Palestiniens a se diriger vers des camps de réfugies  - Le jour de l'inauguration de Trump.

M. Abbas requiert l’intervention de l’ONU pour faire cesser les attaques des colons sur les Palestiniens .

Les destructions de quartiers entiers à Jénine, à Tulkarem, les bombardements de dizaines de maisons, les déplacements forcés à Tamoun, à tubas, les destructions systématiques d’infrastructures et la politique qui consiste à tuer par douzaines des familles entières , à blesser des centaines de civils, à arrêter des milliers de Palestiniens, à soutenir le terrorisme des colons qui brûlent des maisons sous l’œil de l’armée, tout ceci pour chasser les Palestiniens de chez eux et de leur patrie demandent l’intervention immédiate des Nations Unies qui doivent forcer Israël et assumer leurs responsabilités qui sont de de protéger l’opprimé contre le nettoyage ethnique , qui est un crime de guerre et un crime contre l’humanité.M. Abbas ajoute que la mise à mort des Gazaouis et le nettoyage ethnique en territoires occupés sont les deux faces d’un même plan. La paix et la sécurité ne seront atteintes que lorsque les Palestiniens jouiront enfin de leurs pleins droits nationaux, politiques et humains sur leur terre. Aujourd'hui 20 mars, le ministres des affaires étrangères israélien a dit que  la campagne militaire dans les territoires occupés dureraient au moins jusqu'à  la fin de l’année.

Situation en Cisjordanie en 2024 (Peace Now)

    Colonies et avant-postes : Au moins 59 nouveaux avant-postes ont été créés, la plupart étant des avant-postes agricoles (« fermes ») impliqués dans l'accaparement de terres et l'expulsion systématique de Palestiniens de la région. Il s'agit d'un nombre sans précédent de nouveaux avant-postes. À titre de comparaison, de 1996 au début de 2023, moins de sept avant-postes ont été créés en moyenne chaque année.

    Postes avancés dans la zone B : pour la première fois depuis les accords d'Oslo, au moins 8 postes avancés ont été créés dans la zone B. Cela signifie qu'au moins 13 % du total des avant-postes établis en Cisjordanie en 2024 étaient situés dans la zone B.
    Des centaines de routes illégales, d'une longueur de plus de 114 kilomètres, ont été tracées pour l'expansion des colonies, empêchant l'accès des Palestiniens, établissant de nouveaux avant-postes et prenant le contrôle de terres supplémentaires.
    Des plans pour 9 884 unités de logement dans les colonies ont été avancés par le Conseil supérieur de planification. En novembre 2024, la mise en œuvre de la décision gouvernementale de juin 2023 a commencé, selon laquelle l'avancement des plans dans les colonies ne nécessite plus l'approbation de l'échelon politique. En conséquence, le Conseil supérieur de planification a commencé à se réunir chaque semaine pour approuver les plans de colonisation et, en l'espace de six semaines, près de 2 400 unités de logement ont été approuvées.

    De nouveaux appels d'offres ont été publiés pour 1 399 unités dans toute la Cisjordanie, à l'exclusion de Jérusalem-Est.

A Gaza

Au cours du mois de février, les forces israéliennes ont violé le cessez-le-feu à Gaza , tirant des rockets à Nuseirat et et des coups de feu à Rafah. 

Une commission d'enquête des Nations unies estime, jeudi 13 mars, qu'Israël tente d'« entraver les naissances » de Palestiniens au sein de la bande de Gaza, dans le but d'accomplir son entreprise génocidaire. Le ciblage des hôpitaux et cliniques, comme la création d'une famine au sein de l'enclave, vise ainsi « à entraîner la destruction physique des Palestiniens ».(l’Huma)

Départs « volontaires « Nous apprenons qu'Israël essaie de vendre l'idée que les Gazaouis partiront « volontairement », alors qu'en fait la plupart des Palestiniens voudraient revenir en masse. « Volontaire », c'est ce que se dit Israël après avoir détruit toutes les infrastructures nécessaires à une existence durable. Israël a empêché l’aide humanitaire d’entrer et à coupé l’électricité.

Samedi dernier, la frappe israélienne qui a tué des humanitaires britanniques na fait aucun remous. Et puis, dans la nuit de lundi à mardi , à partir de 2 heures du matin, les bombes ont littéralement recouverts le sol de Gaza, tuant, détruisant tout sous leurs poids : Feu vert de Trump,silence des autres leaders occidentaux.Plus de 400 palestiniens ont encore été tués en quelques heures, faisant de la nuit de lundi à mardi la plus meurtrière depuis le début du génocide.

C’est pire qu’une autre escalade de la violence . Même pendant le cessez-le-feu, l’armée israélienne a tué plus de 150 palestiniens, montrant qu’il s’en fichait pas mal..de la trêve. Ceci une est une continuité de la campagne génocidaire systémique, alors que  le gouvernement américain a approuvé la vente pour 12 millions de dollars d’armes à Israël.

Plus de 700 personnes ont été tués depuis mardi et 900 autres blessés. La déportation des Palestiniens se poursuit. Aucun prétexte ne justifie ces actes. Israël en est seul responsable . C'est Israël qui a changé les termes du cessez-le-feu en faisant des pseudo réclamations au Hamas. C'est Israël qui a dit que les négociations ne reprendraient que sous le feu, c'est Smotrich et BenGvir qui tiennent Netanyhaou par les ... : " c'est ça,  ou la taule!" Évidemment, le sioniste du Likud ne se fait pas prier! Il tient tellement à sa coalition avec les sionistes religieux qu'il est prêt à tuer des milliers de personnes pour ne pas avoir à comparaître devant les juges.Franchement, qui fait encore la différence entre les intégristes de l'état islamique et les intégristes tueurs sionistes?