Quand l'abattage de vaches à viande ou à lait crée plus d'émotion qu'un génocide et que la mort systématique de milliers d'enfants. Je préfère devenir végétarienne que vivre cette infamie-
Après réflexion et envie de soutenir parce que j'ai l'âme militante et que je vis en Ariège, j'ai décidé que ça suffit le confusionnisme: Aucun des agriculteurs ariégeois de la CR ne me soutiendra jamais,ni moi,ni mon métier, (prof en ruralité: ça veut dire:fainéante, gauchiasse, et autres sobriquets) - ni mon antiracisme - Et ceux de la conf, ç'est quand ça leur chante : on les voit parfois, soutenir les gens de gauche. Qui sera avec nous demain pour soutenir les AESH? Beaucoup d'agricultrices font ce métier en plus de celui de paysanne, mais le monde paysan sera-t-il là demain? - j'ai la réponse ..personne.
Vous connaissez le Syndicat des gardiens de troupeaux? Ceux qui s’occupent des belles vaches en Estive dans la Montagne! Comme c'est bucolique: sous payés, parfois sans papier, conditions d'habitats en montagne hyper précaire... racisme
Alors oui il y a de très bo-bo- livres sur la "ruralité" - pour ne pas dire les barbares - versus les urbains ou les "civilisés ", ça fait parler les Parisiens qui du coup ne parlent plus des barbares de chez eux, les "quartiers": la différence c'est que quand il y a des émeutes "urbaines" les paysans s'en foutent. Quand les maraîchers pleurent parce que les subventions ne vont qu'aux céréaliers,les éleveurs s'en foutent- quand des budgets énormes sont alloués à l'armée, les paysans s'en foutent- quand le chlordécone tue, les éleveurs François Desouche s'en foutent - Quand il faut remettre des produits dans les betteraves à susucre le monde de la CR applaudit. Arrêtez avec la ruralité et l’urbanité, il y a des pauvres et il a des riches c'est tout! Et les éleveurs qui vont se faire caresser la vache au Salon sont pas le plus zàplaindre - En Ariège, si on avait encore nos 2 députés insoumis on en serait pas là mais les éleveurs du cru ont préféré Froger et Panifous qui se contentent de lécher les bouboules de Macron - En plus dès qu'ils balancent du fumier on les plaint mais sinon on raconte partout qu'ils se gavent avec la PAC et les primes pour les bêtes abattues ou bouffées par le nounours. Tant qu'on parlera pas du fond : le racisme, la xénophobie, l'homophobie de gens qui préfèrent leurs bêtes aux humains alors .. argent ou pas, collectivisme ou pas..
Mais la réalité, c'est la CR qui prend la manche quoique fasse la Conf': et les éleveurs bien sûr diront: "on n' est pas RN, on est Sanzétiquettes!" - ils disent toujours ça : même quand ils font venir J.Odoul à Seix - Vous savez ce que c'est pour les paysans-paysannes homosexuelles de vivre au milieu de ces éleveurs?? Et bien il faudrait que des journalistes viennent faire une enquête au long cours avec la coordination VISA, avec l'association des Gardiens de Troupeaux, avec les associations qui tentent faire respecter l'état de droit dans ce monde oublié et pleins de nounours - Le localisme, le masculinisme, voilà leurs idées "progressistes"! Je vous encourage à aller lire quelques infos sur Reporterre..
Alors franchement, non, il ne faut pas créer plus de confusionnisme avant les municipales! Là où pour moi ça cloche,c'est que ce mouvement raccroche encore les complotistes, ça me rappelle vraiment les élucubrations du covid! Et la FI ariégeoise opportuniste tout comme d'habitude, à force de se prendre des coups de canif dans le dos, et bien va, va, vers.. le confusionnisme! Alors que Mélenchon a fait une belle leçon sur la RAISON lors de la commission, voilà encore que des élucubrateurs locaux vont faire passer la FI pour une bande de complotistes émotifs! ça devient très très chiant et ça évite de parler du budget, de l'espérance de vie, des déserts médicaux...Et comme d'hab,les français pensent avec leur estomac: ce qui compte c'est la Belle Blonde au Salon, Fernandel et sa vache.. Help me ! j'en ai marre !!!! ( 0.2% du cheptel bovin est touché: l'état, la MSA et des assos subventionnent alors ça va, arrêtez de nous faire pleurer!! , Partagez plutôt vos estives avec les nouveaux éleveurs, quelques soient leur orientation au lit! )
Et pendant ce temps là..Vive la Guerre!
La guerre et les ménages : Achetez des bons placements!
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La guerre en Ukraine, les tensions au Moyen-Orient et les rivalités en Asie ont replacé la souveraineté militaire au cœur des politiques publiques. Les États européens ont enclenché un réarmement sans précédent : l’Allemagne a voté un plan de 500 milliards d’euros, la France consacre désormais 2,5 % de son PIB à la défense, et plusieurs alliés de l’OTAN visent un objectif de 3,5 % dans les années à venir, contre 2 % auparavant.
Cette dynamique structurelle se traduit par un cycle industriel majeur. Les groupes de défense européens voient leurs carnets de commandes se remplir, portés par des besoins en équipements, en cybersécurité et en spatial. Dans ce contexte, l’investissement privé trouve un rôle stratégique aux côtés des choix étatiques.
Un produit structuré lisible et sécurisé C’est dans ce cadre que Mon Petit Placement lance son Portefeuille Défense 2025–2035. Adossé à trois leaders européens – Rheinmetall (armement terrestre), Safran (propulsion militaire et avionique) et Thales (radars, cybersécurité, spatial) – ce placement permet aux épargnants de s’exposer à un secteur en plein essor, tout en bénéficiant d’une sécurité renforcée.
"Chaque frontière tient jusqu’à la prochaine guerre..." : Des colons se sont rassemblés pour « hisser le drapeau » à Gaza.
Des groupes de colons racontent que l’expulsion des Palestiniens n’est plus qu’une question de temps. , tandis qu’ils font pression sur leurs dirigeants pour hâter la colonisation de Gaza, assiégée depuis tant d’années. Toute la vie à Gaza, tous les bâtiments et toutes les infrastructures ont été aplatis par l’armée israélienne , aplati, anéanti systématiquement pendant le génocide
Le groupe de colons, essentiellement pieux, s’est formé et rassemblé. Ils étaient plusieurs centaines.Tout était organisé avec des autobus, de la nourriture de fête, tandis que les fervents supporters colons se tassaient dans les bus et arrivaient de toute part : de Cisjordanie occupée et de l’intérieur d’Israël. Seuls, des militants du mouvement Standing Together ont affronté ces intégristes avec des pancartes : « Nous ne retournerons pas à Gaza. » Une petite brèche dans ce monde infâme, mais qui n’a pas réussi à adoucir ce rassemblement. « Gaza doit être juive ! », criaient les colons,
« Gaza fait partie de notre héritage ancestral ! Nous y sommes revenus dans le but d’y rester pour toujours!Gaza va être peuplée par des juifs. Gaza est à nous. » , clamait l’organisateur de l’évènement Arnon Segal. Il arrive de Jérusalem-Est, Al Quds, où il vit sur des terrains volés aux Palestiniens. « Gaza doit être juif, nous sommes en train de prendre la bonne directions. » Segal a raconté à Middle East Eye que le début de la colonisation des territoires occupés il y a plus de 50 ans ressemblait à une désillusion. « Maintenant, nous sommes à Gaza,c’est un fait, un choix politique. »
Invasion
Ces colons se sont infiltrés par des brèches, dans Gaza. Ils sont plusieurs douzaines à avoir percé la barrière et à s’être immiscé illégalement dans la bande de Gaza, brandissant des drapeaux . Aucun n’a été empêché ni arrêté par l’armée.Allez voir la prise de vue! https://x.com/T_Nachala/status/2001686633993662683
https://www.ynet.co.il/news/article/hyswao11xwe
Le 28 octobre,
Le bureau des médias de Gaza déclarait le 28 octobre qu’Israël a déjà violé 125 fois le cessez-le-feu, avant qu’il annonce «officiellement » rompre le cessez-le-feu..Des douzaines de personnes avaient été blessées et tuées..
Un correspondant de l’agence de presse Wafa déclare qu’une attaque de drones a ciblé la maison de la famille Al Bana au sud de la ville de Gaza, tuant 4 personnes dont un enfant et un bébé. D’autres personnes sont encore sous les décombres. Les génocidaires ont également ciblé une tente dans le sud du camp de Nuseirat et 5 autres hommes ont été tué dans leur voiture, dans une rue de Khan Younès. Plusieurs attaques aériennes ont été perpétrées dans le camp de réfugiés de al-Shati, ainsi dans les rues avoisinantes à l’ouest de la ville de Gaza dans le quartier d’Al-Zeitoun, et à l’est, partout...
Le 28 octobre,
68 531 personnes avaient été tuées à Gaza depuis le 7 octobre 2023--
au moins 170 402 personnes avaient été blessées et on ne sait pas combien de personnes sont encore sous les décombres, ou sont mortes avant d’avoir pu demander de l’aide ou atteindre une ambulance.
Le 28 octobre, des attaques aériennes massives , tuant au moins 46 enfants et une centaine d’adultes
Le Hamas aurait tué un soldat … alors, en riposte Israël tue des enfants : c’est la logique du génocide .
En plus du massacre du 27 octobre, pendant lequel Israël tua une centaine de personnes dont 35 enfants, Israël empêche la nourriture d’entrer dans les quantités requises et annoncées. Il n’ouvre pas le passage de Rafah. Il continue à tuer et à bombarder les civils. N’importe quoi sert de prétexte. Pendant ce temps, les bulldozers aplanissent, font disparaître les morts qui sont sous les décombres et les preuves : 58 % de la bande de Gaza est occupée et déclarée, je cite : « zone d’extermination. » , ce qui signifie que personne ne doit s’y rendre ou s’en approcher sous peine d’être immédiatement tué, par balle ou par drone, ou d’être détenu. Il semble difficile d’avoir pu tuer un soldat dans cette zone avant de s’être fait descendre...
La métaphore du dogue :
Trump tient Netanyahou en laisse. Il a desserré la laisse qui est maintenant très détendue mais il faut quand même qu’il garde un semblant de tenue en façade : pas de violence trop spectaculaire. Trump essaye de retenir Netanyahou mais la laisse est vraiment desserrée et Netanyahou remue dans tous les sens, agitant la queue et mordant tout ce qui se trouve autour de lui dans la pièce dans laquelle le Hamas ne peut pas rentrer : le moindre militant, supposé militaire ou « terroriste », le moindre humain qui s’approche se fait mordre et tuer.
Netanyahou tire et mord , Trump resserre un peu la laisse….
Le Hamas n’a pas pu, toujours selon Mohammad Sehada accéder à cette zone, à moins que l’un des soldats du groupe ait oublié que le génocide et l’armée des dogues étaient encore là, ce qui à part dans un scénario de film, est impossible. Au plus, le potentiel tueur a été isolé, dans une zone sous contrôle de l’armée des dogues ou bien, comme au Vietnam ou au Japon, il est sorti, hagard, d’un tunnel, croyant que la guerre était finie et s’est rendu compte en sortant qu’elle était encore en cours .. C’est le scénario à Gaza aujourd’hui . Israël capitalise sur le fait que le Hamas a rompu l’agrément et reprend donc immédiatement les bombardements.
Des groupes palestiniens armés avec la bénédiction d’Israël
A la lecture des 20 points du plan Trump, on comprenait qu’au-delà de la première phase (cessez-le-feu et échange de prisonniers israéliens et palestiniens) plus rien n’était assuré. Même le retrait israélien évoqué n’était pas clair, Netanyahou affirmant que ses troupes ne quitteraient jamais totalement la bande de Gaza. Un premier mouvement a bien été enregistré, Israël imposant une « ligne jaune » infranchissable pour les Palestiniens, s’étendant du nord au sud, permettant encore un contrôle de 58 % du territoire en miettes.
Le Hamas devait aussi rendre à cette date les 28 corps des captifs qu’il retient, mais il n’en a restitué que 15 jusque-là, arguant de difficultés pour trouver les dépouilles dans le territoire ravagé par l’offensive israélienne en riposte à l’attaque du 7 octobre.Mais ce mardi 28 octobre les Brigades Ezzedine al-Qassam, la branche armée du Hamas, ont affirmé qu’une nouvelle dépouille d’otage, « récemment trouvée dans un tunnel de Gaza » serait remise à 20 h 00 (heure locale). Avant d’ annoncer dans un communiqué reporter sa remise « en raison des violations commises par l’occupation ».
Le cessez-le feu qui ne commence jamais.. Un cessez-le-feu qui ne sert qu’à faire croire aux soutiens d’Israël que la page est tournée.. Mais l’armée des dogues continue ses attaques sur Gaza, tuant chaque jour depuis. Jared Kushner a beau dire que la bande de Gaza semble avoir été attaqué à l’arme nucléaire, le déni s’installe encore et encore plus profondément.Les bombardiers israéliens continuent de cibler les maisons déjà saccagées, les infrastructures restantes et les ruines de vies. Au début du mois de novembre, des pans entiers des quartiers est de la ville de Gaza ont été détruits par les israéliens. Le 3 novembre, au moins 236 personnes avaient été tuées par l’armée israélienne depuis le soi-disant cessez-le-feu.
Gaza, le 17 novembre 2025, WAFA – Au moins 13 Palestiniens,ont été blessés lundi soir, lorsqu'un drone israélien a largué une bombe sur un groupe de civils dans le quartier d'Al-Daraj, à l'est de la ville de Gaza. Selon les correspondants de WAFA, au moins 13 Palestiniens, dont des enfants, ont été blessés lorsqu'un drone israélien a largué une bombe sur un groupe de civils près de l'école Asaad Al-Saftawi, dans le quartier d'Al-Daraj. Les blessés ont été transportés à l'hôpital baptiste, où l'un des blessés se trouve dans un état critique.Les avions d'occupation ont également largué des bombes aux alentours de la zone d'Al-Sanafour, dans le quartier d'Al-Tuffah, et ont tiré des coups de feu près de la rue Mushtaha, dans le quartier d'Al-Shuja'iya, à l'est de la ville de Gaza.
GAZA CITY — Vendredi matin, les Palestiniens de Gaza se sont réveillés sous de fortes pluies hivernales qui ont inondé les rues, transformé les décombres en boue et détrempé les tentes, créant une situation encore plus dangereuse et misérable pour les centaines de milliers de personnes déplacées par la guerre génocidaire d’Israël et vivant sans abri digne de ce nom.
« Nous avons été inondés par la pluie, nous et nos enfants », a déclaré à Drop Site Raed Al-Kafarna, qui a été déplacé avec sa famille de Beit Hanoun à Gaza. « Notre tente a été inondée et détruite. Nous n’avons rien pour nous protéger de la pluie. Nos vêtements sont trempés. Le sol de la tente est entièrement recouvert d’eau. »
Les jeunes enfants d’Al-Kafarna se tenaient à côté de lui, pieds nus dans la boue, pendant qu’il parlait. À l’intérieur de sa tente, le sable et la boue s’étaient répandus sur le sol, trempant les maigres biens de la famille.
Le service météorologique palestinien a émis des avertissements annonçant de nouvelles crues soudaines dans certaines zones de Gaza, avec des vents violents, des pluies abondantes et des orages prévus dans les jours à venir. Les agences de l’ONU rapportent et confirment qu’Israël empêche l’entrée de caravanes et mobil-homes et de tout matériel en dur.Les tentes sont également interdites, ce qui fait que les Gazaouis, déplacés à de multiples reprises, vivent dans des abris de plus en plus précaires, qu’ils ne peuvent pas réparer.toutes les tentes sont inhabitables, des centaines d’entre elles ont été inondées par la pluie mêlée aux eaux usées qui remontent. Il est également très difficile d’enterrer correctement les défunts.Le 9 décembre, mon ami Yasser écrit qu'ils attendent tous les innondations annoncées, que la pluie va tomber pendant au moins 20 heures d'affilée avec la tempête Byron qui arrive et qui a frappé Chypre et la Grèce.La plaine côtière de Gaza va être touchée, prévient-il.Pour les personnes déplacées, la situation est hautement critique.
Prisons et droits de l’homme
Outre les prisons « classiques » où Israël torture et emprisonne sans jugement, la prison souterraine de Rakefet dépasse encore toutes les horreurs.
Israël détient des douzaines de Palestiniens de Gaza à l’isolement dans une prison souterraine d’où ils ne voient jamais le jour. Ils sont privés de nourriture et on leur interdit de recevoir des nouvelles de leurs familles ou du monde extérieur.D’après le Comité Public Contre la Torture, (PCATI)
Parmi ces détenus, au moins deux civils qui sont emprisonnés sans charge ni procès : un infirmièr détenu en tenue médicale et un jeune vendeur épicier, d’après les avocats du Comité contre la Torture en Israel , qui représente les deux hommes.Ils sont détenus dans le complexe souterraine de Rakefet depuis le mois de janvier. Ils ont été régulièrement battus et ont subi de la violence de manière soutenue ainsi que des actes de torture qui sont bien documentés dans d’autres centres de détention israélien.
La prison de Rakefet a ouvert ses portes au début des années 80 pour héberger une poignée des plus dangereux malfaiteurs israéliens mais a fermé peu de temps après sur des révélations de traitements inhumains . Depuis le 7 octobre, Ben Gvir, ministre d’extrême-droite, l’ a faite rouvrir. Les cellules, la petite cour, et la salle d’audition pour les avocats sont toutes en sous -sols ce qui fait que les détenus ne voient jamis la lumière naturelle. La torture s’est amplifiée depuis le 7 octobre 2023. Cette prison, construite pour 15 personnes, en contient plus d’une centaine aujourd’hui, d’après le comité public contre la torture
Depuis « le cessez-le-feu » Israel a relâché 1700 prisonniers palestiniens, la plupart détenus dans procès, sans même de charges ainsi que 250 prisonniers qui avaient été jugés par des tribunaux israéliens. Israël a remis en prison plus de mille palestiniens, depuis, dans les mêmes conditions. Même si la guerre est officiellement terminée, des Gazaouis sont encore illégalement emprisonnés dans des conditions qui violent le droit international et toutes les conventions. Bien que Ben Gvir insiste auprès des médias israéliens pour dire que ces nouveaux détenus sont tous de dangereux terroristes, le comité public israélien contre la torture témoigne de l’enfermement dans cette geôle d’un infirmier de 34 ans tandis qu’il pratiquait sur son lie de travail en décembre 2023 ainsi que d’un adolescent qui passait un checkpoint en octobre 2024. La majeure partie des personnes emprisonnées par Israël depuis le début des représailles génocidaires sont des civils, indiquent les documents israéliens auxquels le Comité a eu accès. Les conditions de détention sont dégradées et inhumaines, « par principe » relate le directeur Tal Steiner. Des détenus, anciens et actuels ainsi que des lanceurs d’alerte de l’armée ont détaillés ces violation incessantes des droits humains. Une seule forme continue et brutale d’abus est mentionnée : la privation de lumière. Cette forme de torture engendre des troubles psychologiques majeurs. Il est difficile de se sortir indemne de mois de privation de lumière. La santé physique est aussi affectée, notamment à cause de la perturbation du cycle jour- nuit, età l’impossibilité d’assimiler la vitamine D. Les prisonniers ne voient pas la lumière du tout, et sont conduits en bas d’un escalier très raide par des soldats lourdement armés dans une pièce envahi d’insectes morts. Les toilettes sont tellement sales qu’elles sont inutilisables. Ce sont les conditions rapportées par les avocats et qui concernent la salle de « réunion ». Mais quelle est la situation pour les prisonniers ? Les détenus sont amenés là pliés en deux, avec des gardes qui poussent leurs visages contre le sol, pieds et mains entravés. Saja Misherqi Baransi, l’autre avocat sur le terrain affirme que cela fait 9 mois que ces gens sont emprisonnés là et qu’ils y resteront « jusqu ‘à ce que la guerre s’arrête ».
Les prisonniers libérés pendant la trêve ont témoigné des conditions de leur détention : cellule sans fenêtres ni ventilation, surpeuplées, suffocantes et sans air, coups, attaques de chiens, gardes piétinant les prisonniers, pas de soins médicaux, privation de nourriture , promenades réduites à moins de 5 minutes tous les deux jours, retrait des matelas dès 4 heures du matin, laissant les pauvres ères dans des cellules vides pour les reste du temps ; « C’est la place naturelle des terroristes.., » a dit Ben Gvir, « sous-terre. »
Les colons attaquent sans relâche des villes et des villages palestiniens.
La cueillette des olives est entravée partout. De nombreuses personnes sont agressées chaque jour : des paysans, des soignants, des journalsites et toute personne qui apporte son soutien aux villageois . Selon le Croissant Rouge, ces personnes sont battues, certaines au point d’être hospitalisées.A Naplouse, à Yatta, à Bethleem, partout, les colons massacrent et pillent.
Le 28 octobre à Jenine, les forces armées israéliennes ont pris d’assaut le village de Anza au sud de la ville, saccageant de nombreux commerces .Elles ont également assailli plusieurs maisons dans le village de Kharouba , pillant et cassant tout ce qui se trouvait à l’intérieur.Les autorités occupantes ont forcé des familles palestiniennes à quitter leurs maisons à proximité du camp de réfugiés. Les habitants des rues Medina et al-Ghanem ont été expulsés. Quinze habitations ont été ciblées. Le prétexte est toujours le même, les génocidaires décrètent la rue ou le village « zone militaire fermée. » Les forces occupantes ont tué 3 jeunes hommes et détiennent leurs corps dans le village de Kafr Qud, à l’ouest de Jénine.
Après avoir vidé de ces 30 000 habitants le camp de réfugiés de Jénine, les forces armées occupantes étendent leur action de nettoyage ethnique dans les quartiers avoisinants le camp et dans les villages autour de la ville.
L’agence Wafa rapporte les témoignages de sources locales. Les forces d’occupation ont envahi le village avec les forces armées renforcées puis ont encerclé un site agricole et tirés à balles réelles sur les trois jeunes hommes , les tuant puis emportant leurs corps. Les forces armées ont ensuite continuées leurs agressions à Jenine, dans le camp dévasté, dans les villes et les quartiers voisins. Depuis le mois de janvier , l’armée a causé la mort de 55 personnes à Jenine , en a blessés plus de 200, et commis des douzaines d’arrestations.
Pendant cette période, Israël a démoli plus de 600 maisons, 33 % des habitations du camp de réfugiés. 22000 personnes ont été déplacées . Les raids s’intensifient chaque jour à Jénine et dans les villages et villes alentour.L’armée détient des résidents, fouille les maisons. Les colons participent aux pillages .
Le 28 octobre, des colons incendient des véhicules autour de Ramallah, dans la village de Atara.
Palestinians report: Settlers set fire to cars in the West Bank village of Atara
Le monde se tait. Le monde ne sanctionne pas.
Le 20 novembre, les forces occupantes génocidaires ont déplacés physiquement la ligne jaune, matérialisée par ces plots de béton peint en jaune. Ils ont ainsi volé 58% de la bande de Gaza. Les blocs sont déplacés, et les colons gagnent ainsi des mètres. si on se réveille du mauvais côté du plot parce qu’il a été déplacé par les génocidaires pendant la nuit, on risque la mort. Alors c'est la panique et de nouvelles vagues de déplacement.
Credit: MS. SHARON MENGERSEN - avocate et survivante du génocide.
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La reconstruction de Gaza , le développement immobilier et les infrastructures, tout cela arrivera mais derrière la ligne jaune. Cela arrivera dans la partie de la bande de Gaza qu’Israël a volé aux Palestiniens . Et, quand tout cela sera reconstruit, plus personne ne remarquera que seuls les juifs pourront y vivre.
Le nettoyage ethnique voulu par Trump est en train de se mettre tranquillement en place: l'immobilier devient lucratif quand les terres sont volées! La démolition pour construire des parcs sera financé par les Américains et par les placements financiers des Européens. On entre dans l'ère de la dépravation, l'ère des dépravés, des violeurs, des criminels qui ont le vent en poupe. Les Sales Connes n'ont qu'à bien se tenir : qu'elles soient des femmes, des hommes, des enfants, gare à elles, à eux, à nous. Il faut se taire et accepter toutes les compromissions.