Dans le monde du fonctionnariat il y a donc des gens très méritants. Ils ne sont pas morts avec mon Père : Je suis soigné en ce moment à l’hôpital d’Antibes. Pas cherché de complications (« Va, à Paris ou à Lyon... c’est là qu’officie le Professeur Tartempion, de mes amis... ») Des clous. J’ai eu contact avec une médecin-cheffe de service qui ne lève jamais le ton, parle clair et net et tout marche ainsi dans sa boutique. Les Infirmières sont nickel-chrome comme les salles. Une gentillesse réconfortante, une efficacité impeccable sans faire le moindre volume. L’autorité du « patron ».
Je suspecte cette dame émarger pour 5 à 6000 euros à tout casser, quant à ses collaboratrices n’en parlons pas : personne ne vient à l’hosto en Ferrari ni même en BM... alors que ces professionnels ont une importance sociale éminente. De tous les... (Charte !) (Je m’énerve en repensant aux propos d’une furieuse et à ses « Hé ! Vous les toubibs et les dentistes » interpelant ces professionnels en grève il y a quelques jours. Pauvre inconsciente) de tous ces refoulés qui conspuent le milieu médical et ses parallèles, j’aimerai voir quand l’un d’eux se retrouvera avec une chtouille comme celle que j’ai chopée, ou avec simplement de gros problèmes dentaires, s’ils ne va pas apprécier d’être pris en main par la Médecine française, excellente. Moi encore j’ai bien gagné ma croûte dans le privé (en bossant comme un con), mais vous avez pléthore de médocs qui ont des appointements de porteurs de citrons à la Mi-Temps d’un Match OM/PSG et auxquels on devrait vouer un respect immense, dix fois la bandaison que ces cons de footeux éprouvent à la vue de cet anencéphale serbo-suédois qui crache sur la FRANCE, car ces gens, hommes et femmes "en blanc" se donnent eux à donf dans une carrière et un fonctionnariat qui ne poussent pourtant pas à l’effort, mais plutôt à « toucher régulièrement sa paie » comme disait mon Père sous les cahiers de notes et d’avancement de ses subordonnés qu’il déconsidérait...
Ça c’est vrai aussi. Jai vu aussi une nette amélioration des services de la Poste. Mais allez demander, un détail sur la mentalité du Français d’aujourd’hui qui est rarement fier de travailler, allez demander à un facteur de remettre seulement sa casquette traditionnelle. Je ne parle même pas du costard. Et je ne m'étends pas sur les effectifs ahurissants de gens inutiles casés dans les services de mairies ou de l'administration pour atténuer la courbe du chômage : Là je deviens dingue de colère. Nous faisons rire l'Europe avec cette hypertrophie phénoménale.
Bref : Le Français dans sa majorité n’aime plus le TRAVAIL. Beaucoup trop d'assistanat. Supprimez-en la moitié de ces aides, vous verrez qu'ils vont y prendre goût à bosser toutes ces feignasses de chômeurs professionnels (j'en connais des wagons. Des...WA... GONS!), et qu'ils vont en trouver du boulot.