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L'a-t-il bien descendu (l'escalier) ? En marque d'estime particulière...
J’ai abordé cet article sélectionné par le « Journal » avec beaucoup de réserve, car je ne suis ni un économiste et encore moins un génie intellectuel, mais dès lors qu’il fût distingué par MDPart, la curiosité de ce que pouvait émettre un potentiel spécialiste du genre a été plus forte que ma prévention. Bref, je voulais rigoler un brin avant d’aller dormir, et je n’ai pas été déçu. D’autant que les commentaires appendus sont du même métal... Entre plomb et mercure. Monomaniaques, inutiles et hors-sujet. Comme d'hab'...
La syntaxe, deux ou trois fois bizarrement saucissonnée par un « professionnel » (Un éditeur!), laisse libre cours comme il fallait s’y attendre à l'inévitable couplet américanophobe (ce qui n’est pas sans une certaine logique je le reconnais) (Je déteste moi-même cette nation, ou plutôt cette population qui nous méprise et dont les dirigeants nous manipulent pour leurs stricts intérêts), mais ce qui est encore plus vrai est cette candeur avec laquelle l’auteur raconte que les Allemands acceptèrent (sous l'ère Schröder) des sacrifices « citoyens » très efficaces, au profit de la « grande » industrie nationale et d'une Économie qui vacillait... Et que ce n’est sous-entendu pas du tout-du tout dans les intentions des Français de se plier à l'exercice, comme les Américains voudraient les y voir, afin de contrer le plus rapidement possible une Germanie redevenue arrogante (je raccourcis mais c’est le principe évoqué). De mon modeste point de vue, j’ai dit ma méfiance à l’encontre de Macron, ce financier propulsé dans la politique française par une force occulte phénoménale : le "gros" pognon. La caresse de Blomberg, je l’ai dit aussi, a fini de me persuader d’où venait précisément ce nerf de la guerre.
Donc je conçois peu ou prou, avec risque d'erreur profonde, et assume la théorie complotiste de l’article en question, là n’est pas le problème, mais ce qui me fait me marrer c’est le tricotage conclusif auquel je n’ai rien pigé, toutefois voué à discréditer le projet économique du deus ex machina surgi de chez Rothschild; alors qu’il y a fort à parier que si ce nouveau roi de notre république monarchique trouvait le courage d’appliquer la cure allemande à la France, les mêmes causes créant les mêmes effets, nous aurions là le moyen le plus direct de nous sortir de nos dettes européennes et d’un déclin de plus en plus sensible de notre cote planétaire.
Mais non, ce serait trop facile... ou plutôt difficile en efforts consentis, et donc pas français. De faire les choses simplement.