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Billet de blog 4 janvier 2016

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Marius n'est définitivement pas "Charlie"

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On va encore se faire un peu de pognon?...

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Un éphémère échange de propos – il valait mieux qu’il le fût...- hier, avec deux amis médecins dont je citais il y a peu l’exploit d’avoir sauvé de la noyade un petit roumain, dans le cap d’Antibes, me fait revenir sur le phénomène Charlie-Hebdo.

En effet ces deux bons copains pédiatres sont passés dans la soirée, avec leurs épouses, boire une coupe de Bollinger et prendre des nouvelles de la vieille chose.

On en arrivé à évoquer la Légion d’Honneur décernée à titre posthume au quarteron d’ « humoristes » dessoudés par des cinglés musulmans en Janvier 2015.

Je l’avais dit, les deux thérapeutes ont eu une jeunesse très à gauche, l’un d’eux le demeurant un tantinet. L’autre est guéri.

Du coup j’ai eu droit à une réflexion en chœur, mais sotto voce connaissant mes tendances, presque embarrassés, comme quoi leur abonnement à Charlie-Hebdo avait distrait leur vie d’étudiants et ils gardaient ainsi à ces gens une tenace sympathie. Certes je leur opposais que si chacun est libre de ses goûts, le fait de consacrer la Légion d’Honneur à ces individus, qui, « rebelles » par profession certainement autant que par conviction, se seraient de toute façon sentis obligés de refuser de leur vivant (encore que...), cette distinction était selon moi un scandale.

Philou et Michel sont des médecins, donc pas des abrutis, ça ne risque pas, et de très bons amis, mais l’évidente supercherie politicarde, digne d’un gouvernement socialiste, ne semblait pas ternir du moindre nuage leur sens de l’éthique et de la pudeur... D’ailleurs, l’un d’eux, chez qui le ton monte assez vite dès le deuxième verre, et qui donne alors dans une agressivité assez « verte », était prêt, je connais l'oiseau, à balancer son mépris pour breloques et fariboles à l’usage de militaires et autres crétins du même acabit. Je crois néanmoins que mon regard, attentif malgré une quinzaine de chimio à cette heure, fut  encore assez aigu pour l’en dissuader. Nous en sommes donc restés là... et avons vidé une seconde boutanche. C’était le mieux à faire.

Pour dire mon sentiment définitif sur des gugusses comme ce Charb et consort : leur acharnement, subventionné rappelons-le, et depuis des lustres car leur torchon ne faisait plus recette, les lecteurs  étant sans doute las de leurs cochonneries, leur entêtement à publier des obscénités antireligieuses relevant d’une cour d’école primaire et de merdeux acnéiques alors que ces types, éventuellement pampérisés pour d'aucuns d'âge canonique, avaient le statut social d’adultes, j’en suis certain maintenant, manifestaient par cette obstination méchante et perverse leur jalousie eschatologique à l’encontre des « croyants », de ceux que ne hante pas la crainte du néant post-mortem.

Tout bouffe calotte militant est un mec qui est mal dans sa peau et que la sérénité des déistes dérange.

Attention, SVP!... Reprécisons pour la énième fois que je ne mets pas les pieds à l’église, que mes recommandations à mes filles et à mes copains sont d’en faire un minimum question bondieuseries, exclusivement pour ne pas perturber Bobonne, le jour où je dévisserai mon billard. Précisons aussi que des grenouilles de bénitier comme les deux vieilles toupies, les deux chaisières à noms à charnière qui ont viré Frigide Barjot et mis le grappin sur la Manif pour tous me sortent par les yeux, et qu’elles, elles, méritent peut-être des vexations de ce genre. Mais pourquoi donc ces c...nards de prétendus humoristes s’évertuaient-ils à blesser gratuitement les derniers dévots chrétiens. Pas très clair dans son Petit-bateau tout ce monde-là. Un déficit patent. De quoi je ne sais, mais il leur manquait de toute manière quelque chose pour être de vraies gens. Des gens normaux.

Les musulmans ont réglé le problème.

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