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Billet de blog 4 avril 2017

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Sur cette "histoire" de mariage pour tous...

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Par leurs excès, machicots et chaisières de Grand-messes ont discrédité l’opposition, pourtant légitime, au seul projet abouti et exploit politique du mandat Hollande : le Mariage pour tous. 

Je m’étais expliqué en son temps sur cette « histoire ». Je ne vais pas y revenir sinon pour rappeler qu’on ne risque pas, certainement pas de me voir  jeter la pierre aux individus affectés de l'anomalie qu’est l’homosexualité, car c’est incontestablement un état anormal. Il ne faut pas mentir pour ménager une susceptibileite certes très compréhensible, mais les choses sont ce qu'elles sont.

Heureusement civilisée et éclairée dorénavant par la science sur le fait qu’il ne s’agit pas de perversion mentale mais d’un agencement exceptionnel de la nature, et dès lors que son expression sociale n’est pas provocatrice comme ces conneries abjectes du type gay pride, que notre société ménage donc à cette partie de la population des droits au bonheur et à une intégration parfaite en son sein, c’est une chose indiscutable.

Mais pour ce qui me concerne, éduqué dans un culture judéo-chrétienne, j’éprouve un attachement strict aux notions de Famille et donc de Mariage, ciments de notre société et de notre nation, et c’est peu de chose, voire d’apparence dérisoire, mais intangible que de réserver le mot mariage, le caractère sacré ou solennel de la cérémonie, à l’union d’êtres de sexes conçus à parité pour assurer la Cosmogonie, c’est à dire selon moi la continuité du développement du « Monde ». De ce qui existe.

Je m’opposais au but évident d’une gauche "bouffe-calotte" et de gens chez lesquels la subversion et la contestation systématique sont un mode d’existence, leur rejet de la société traditionnelle perpétuant une détestation, autrefois fondée  mais devenue aujourd’hui stupide du Catholicisme, et sans doute sont-ils habités d’une haine inconsciente de soi car ils semblent tout simplement malheureux de vivre.

Quant à la présence d’enfants et à leur éducation dans un contexte homosexuel, surtout masculin, méfiance. Je ne me fie pas du tout à la spécificité militante des études et donc des conclusions sur le sujet, dans un sens comme dans l’autre.

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