Destop.
Un débat de présidentiables ?... Allons donc : Une poissarde agressive, ou plutôt une hyène qui se tortillait en ricanant sur sa chaise; et un jeune homme au contraire poli et cérébral, à la mémoire documentée - sinon une grosse ânerie sur le chômage en 2000 - mais un peu et même très léger dans l'affrontement de ce qui n'était pourtant qu'un néant éristique. Il lui faudra sans doute quelques soutiens d'expérience, à la voix naturellement et donc durablement impériale plutot qu'impérative, pour gouverner et s'imposer en tous secteurs. Surtout à l'étranger. Mais enfin, tout ça s'apprend.
Dommage qu'il n'ait pas compris la dangerosité de l'immigration massive, de l'islam, ni pris acte de l'entrisme et de la duplicité concertée de ses vecteurs.
Ses palinodies, sur l'ISF par exemple d'ambiguïté, son manque assumé de patriotisme, et de temps à autre qq envolées lyriques inquiétantes, ou quelqu'incise terminologique dont l'ésotérisme participe soit du cryptisme maçonnique (?), soit du complexe d'un recalé par deux fois à Normal Sup : bon pour les chiffres et leur rationalité. Hermétique, tel un Marius, à ces excursions futiles de l'esprit qui ont nom philosophie.
Et pour en finir avec elle, car elle le vaut bien, tant de papiers fébrilement compulsés pour n'avoir que pataugé en boucle dans les leitmotivs frontistes, dans la vulgarité d'un atavisme familial, dans la méprise documentaire, dans la critique outrancière ou même diffamatoire du passé adverse et, par rares moments contraints, proféré pro domo et en toute connaissance de leur irrecevabilité les pires conneries perspectives.