
Il faut l’avoir lu pour le croire : Un « collectif » siglé le MWASI - Si, si, ce n’est pas une plaisanterie acronymique, c’est même très sérieux. Car dangereux - ce collectif réunirait prochainement, si j’ai vaguement compris, et ce dans les locaux de la Mairie de Paris s’il vous plait, un « festival » paré du joli nom de... Nyansapo, autre pitrerie phonétique, qui à l’inverse de ce qu’elle pourrait exprimer de prime abord, semble faire au contraire partie de ces manifestations mélanophores récurrentes, disséminées depuis une paire d’années à travers l’hexagone, et dont la cadence s’accroit à la mesure du développement d’un communautarisme anti-blancs criard et incontestable.
Sauf par les obstinés de l'angélisme tous azimuts, bien sûr.
Je n’ai pas consacré plus de temps que l’événement n’en méritait pour en démêler le fond et la vocation, puisque j’ai très vite pigé que l’entrelac d’un vocable exotique dissimulait en vérité un rassemblement voulu exclusif de bonnes femmes noires, dites 'racisées", organisé par une pasionaria (ci-dessus) qui n’a pas forcément la grosse tête mais qui s’est en revanche coiffée d’une sorte de palmier dattier très commode sous le soleil des tropiques, mais beaucoup moins pour se déplacer aux heures de pointe dans le métro parisien.
Évidemment ma réflexion ressortit à la mentalité d’un milieu droitier nauséabond car indiscutablement raciste, avec toutefois cette singularité me concernant, que je suis marié depuis plus de quarante ans à une créole réunionnaise qui a donc du sang blanc, heureusement, mais aussi du jaune et éminemment du noir. Dilemme !
J’en ai deux filles, que je déteste donc pour cette altération génétique, mais qui sont là et bien là et auxquelles je me suis néanmoins habitué. Tellement habitué même que je nourrirais un végétatif instinct de protection à leur endroit, me demandant dans quel camp elles seront amenées ou condamnées à se ranger, voire plutôt dans lequel ne seront-elles pas admissibles quand la bêtise crasse de nos gouvernants de tous bords aura, au profit d’un multiculturalisme à l’anglaise dont on constate ces jours-ci les prouesses, définitivement enterré un des principes majeurs de notre republique : l’intégration absolue de tous à la culture traditionnelle et historique de la nation, dans son évolution actuelle, certes, avec le respect de ses fondements comme condition essentielle à l'acquisition de la citoyenneté française*. Et au maintien dans cette citoyenneté, caractérisée par des moeurs de "genèse" occidentale !
Dans un billet postérieur mais cohérent je raconterai une petite anecdote relative à ces situations équivoques. Survenue place St Marc à Venise, alors que je m'y promenais avec le Mulet il y a un bonne trentaine d’années, elle est restée gravée dans ma mémoire pour l’émotion et la gêne tue qu’elle m’a causée...
*On remarquera que je parle de citoyenneté et non de nationalité française, en ce sens que tout individu accepté et vivant sur notre sol, sous quelques statut que ce soit, devrait se conformer à nos principes républicains et déférer scrupuleusement à notre culture occidentale.
A prendre ou à laisser. Or, c'est tout l'inverse qui a lieu...