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Billet de blog 7 mars 2017

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C'est donc lui le chef.

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Bon, maintenant qu'il n'a pas lâché le morceau, faut faire avec, d'autant que je ne dois pas jouer les hypocrites: j'avais opté pour lui à la Primaire.

Et donc pour le défendre je vais revenir sur ledit "Penelopegate". On fait court : je connais un dentiste qui a chopé ses diplômes à l'arrache (Kek, puisque tu vas des fois sur mon blog - Quelle surprise et quel plaisir de t'avoir parlé après 40 ans! -  te souviens-tu du "coup de main" ultra sympa d'Hanoun pour la Biochimie? Je lui dois d'avoir ensuite gagné ma croûte durant 42 ans).... Et justement de l'avoir bien gagnée. Quand on pense qu'un député gratte autour de 5000 net plus les "à côtés", va pour 10/12 mille euros, ce n'est pas moi qui avec ma chignole  professionnelle les faisais fréquemment*, vais lui jeter des tomates, et encore moins l'opprobre incontinent que lui balancent ces pattes-pelues de juges français.

C'est moche d'avoir sucré ce qui aurait dû échoir à des malheureux secrétaires qui se sont, eux, vraiment tapé le boulot pendant que mémère faisait des confitures... Et élevait ses moutards, ce qui est a mon sens et au demeurant le plus noble métier du monde.

5 ou 7 cent mille euros accaparés en 20 ans pour un politicien réélu, donc satisfaisant, ce n'est pas du vol, comme ce fut le cas, eh oui! ...  car cela semble être du vol caractérisé, de la famille Luhaka-se servir. Et en 2 ans!!!

En ce qui concerne la politique proposée, c'est celle qui convient aux nécessités impérieuses du statut actuel de la France. Il va devoir  de toute façon en rabattre de sa rigidité, non doctrinaire, mais d'un pragmatisme inconditionnel, s'il veut tenter de rassembler les ostracons d'un parti divisé que c'est rien de le dire.

Je ne sais pas, toutefois j'ai comme l'impression que son  "obstination" tant critiquée de droite et  de gauche, jointe à ce qui devient pour pas mal de gens un début d'aversion à l'encontre de l'incontestable hégémonie médiatique et de l'acharnement de ses médiocres compilateurs/distributeurs d'informations, bref la conjuration du pouvoir socialiste, des journalistes et d'une justice taubirienne, cette situation confère à Fillon une image de guerrier, de Chef de la politique. Or, cette notion philarchique n'est pas un vain mot. Dans le souk actuel ou vit la France, elle aspire à un guide.

Pour ne pas redire une fois de plus que les Français verraient enfin revenu un homme d'Etat, mais qui lui a vraiment des couilles.

Eh bien si, je l'ai redit 

* il est évident que je pousse un peu le bouchon, juste pour titiller les irritables

mais en fait c'est arrivé 

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