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Outre cette histoire de soufflé qui m’a valu un soufflet (mais pas agressif cette fois. Utile) du sieur Herbacée, où mon brouillon retrouvé prouve que le correcteur automatique du site* peut aussi faire des siennes, j’avais commis l'opinion suivante dans un billet sur Macron... qui a été supprimé par la Rédac (!), va savoir pourquoi mais c’est pas grave : « Ceci dit il me paraît (Macron) être de la mouture politicienne habituelle bien qu’il s’en défende, en particulier ses prétentions de préserver les conditions actuelles de prestations de la Sécu en seraient le signe évident : On ne peut continuer sur ce rythme de dépenses, souvent inutiles du point de vue thérapeutique ( !), je m’en suis expliqué, anecdotes à l’appui, depuis mon tout petit mais réaliste niveau d’analyse. Je pense que là il (toujours Macron) confond masse électorale et chasse aux canards sauvages. »
Nous avons tiré les rois hier chez de vieux copains, avec la "vieille bande", et j’y étais voisin de table d’une fort jolie femme, Surveillante hospitalière de la petite cinquantaine, amie d’un de ces vieux chnoques. La pauvre, il lui faut à cet égard une sacrée patience, et un sacré dévouement, mais c’est une autre chose qui la mentionne ici : Je la connais pour être détachée de la politique car exclusivement passionnée par son métier. Et autant elle est très belle, autant elle ne mâche pas ses mots dans le boulot. Stricte. Je la verrais d'ailleurs bien un jour Surveillante Générale. Quand cette autre charmante dame, Mme Guignot, prendra sa retraite.
Elle m’a taillé un uniforme de première au gouvernement socialo, dont Macron qu’elle estime avoir été de mèche à 100% dans des restrictions budgétaires drastiques imposées par son ministère... alors qu’il a fallu aux personnels médicaux accueillir à bras ouverts et bien sûr gratos les vagues successives d’immigrés qui déferlent actuellement sur la France.
J’avais déjà exprimé, il y a quelques mois sur ce blog, la colère d’une Secrétaire des Admissions à La Fontonne (Hosto d’Antibes) un matin où deux "Syriens" ou assimilés m’étaient passés devant, sans s’encombrer d’un ticson numéroté. Elle était folle de rage : « On ne nous a pas augmentées depuis deux ans d’un euro mais on doit se farcir gratuitement, et en souriant, tous ces étrangers qui ne savent même pas dire merci : Tous leur est dû. La faute à ces Associations de fadas qui leur disent qu'il sont ici chez eux » (A trois mots près, que j'ai euphémisés, c'était son discours)
La belle infirmière, quant à elle, est totalement d’accord avec moi et sa collègue secrétaire sur le fait d’une gabegie supplémentaire** en faveur de ces immigrés ingrats, mais en revanche s’insurge-t-elle contre une restriction des moyens et des personnels soignants qui n’a d’ores et déjà rien à envier au pronostic et au tableau cataclysmique de l'avenir de la Sécu, dépeint à l’avance par les adversaires du candidat catho s’il accède au pouvoir.
Il ne pourra beaucoup plus serrer la vis, sinon freiner judicieusement, en effet, certains remboursements de traitements et de médications de conforts dont souvent l’efficacité est des plus contingentes. J’en ai dit deux mots sur mon aventure en Caisson Hyperbare l'hiver dernier : la fantaisie de 80 séances a coûté dans les 80 mille euros à la société, alors que j’étais compétent pour juger très vite de leur inutilité : Aurais-je dû casquer ne serait-ce que 10 euros la séance, qu’à la vingtième et au constat des radios non évolutives, j’aurais bronché et mis les pouces. Plus apte à lire lesquels clichés que les généralistes en charges de la boutique, qui eux avaient la foi du charbonnier dans leur technique. Je ne leur en veux donc pas mais à moi, d’avoir dépensé bêtement du pognon public.
...Parce que je ne payais pas, coquin de sort !
* Je le branche toujours par crainte des fautes d'orthographe et grammaire (nombreuses)
**. car les immigres ont bon dos et ne sont pas seuls responsables du déficit de la Secu, loin de la. Mais ils y ajoutent indéniablement et cela met hors d'elles les personnes que j'ai évoquées. Il semblerait surtout que leur comportement soit en cause, peu reconnaissant.