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Billet de blog 9 mai 2015

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Les fumisteries du 11 Janvier

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A deux pas de la Place d'Italie.

A ceux-là de parisiens, les histoires de "Je suis Charlie", ça ne leur en touche pas une sans faire bouger l'autre, c'est le cas de le dire : Ils n'en ont rien à foutre...

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Un faiseur de Presse-internet me reprochait récemment de ne voir dans le 11 Janvier dernier qu'un rassemblement fugitif de 4 millions de gnous affolés. Il lui disconvenait surtout que j’eusse qualifié  Pelloux de bouffon,  de charlots obscènes feu le quarteron d'« humoristes » assassinés par les frères Kouachi, et Charlie-Hebdo soi-même de verrue sur le nez d'une très fumeuse "impertinence  française".

Mônsieur en avait fait un petit caca nerveux.

Depuis, notre aînée, elle aussi abonnée à l'Obs et venue ces jours-ci nous voir avec la cadette, m’a en gros expliqué les théories démographiques  d'Emmanuel Todd. Todd vient justement  de publier un "brûlot" la supercherie du 11 Janvier mais je n’ai pas voulu lire son interview dans l’Obs : Dès lors qu’il considère les musulmans de France  comme une minorité (Quelques 7 à 8 millions quand même), et une minorité maltraitée, quand on voit le bordel qu'ils foutent dans le pays une telle ineptie m'a démotivé.

Voilà maintenant qu’une ancienne ministre, passée en 2013 de la politique à la chronique bobo sur Canal +,  chaine de télé pipol par excellence... avant de s'en retourner siéger au Conseil d’État, Jeannette Bougrab, fille de Harki décoré de la légion d’Honneur, publie à son tour un livre, mais dans un autre registre : sur ses amours secrètes avec le dessinateur Charb.

On doit s’attendre à tout de la balistique cupidonienne, mais là, entre une franco-algérienne à maroquin umpiste, tendance suicidaire (Mouai...) et un compromis d’anarcho-gauchiste saupoudré de "satirisme" pré-pubère (Qui lui l'était certainement... suicidaire) (...Et en attendant  prébendier assidu de nos impôts pour ce qui m’importe), il aura fallu une trajectoire foutrement vicieuse au carreau fatidique.

Mais enfin, passons, là n’est pas le problème.

Il n’y a d’ailleurs de réel problème, sinon que la dame en question « sort » ces jours-ci, vite torché, un bouquin dit-on laudatif sur la personnalité de son concubin. Sinon aussi que la famille Charbonnier, via le frangin de l’obsédé de l’entre-fesses et des enc...lages en séries, n’est pas du tout d’accord sur le principe.

Dramaturgie parisienne. A déguster entre salade et dessert aux Deux-Magots.

J’y suis allé : c’était sympa.

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